MikeBrant s'installe au 181-183 avenue Victor-Hugo dans le 16 e arrondissement de Paris [20].Le 28 octobre 1970, il sort Mais dans la lumiĂšre (100 000 exemplaires Ă©coulĂ©s) et remporte le Grand Prix RTL [21].En revanche, sa chanson Ă©crite et composĂ©e par son ami MoshĂ© Michael Tchaban, Why do I love you ?, n'est pas diffusĂ©e sur les radios françaises au motif qu'elle est Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-Lard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1816 Betty marchait Ă  cĂŽtĂ© de ses nouvelles amies et aurors, LoreleĂŻ et Eden. Elle venait de finir sa formation avec Eden, et c’était la premiĂšre mission que sa chef Morgane avait bien voulu lui confier. Donc pour Betty, c’était sa premiĂšre patrouille, par consĂ©quent elle Ă©tait toute enjouĂ©e Ă  se balader dans la montagne, Ă  la recherche d’un moindre incident suspect. En effet, quelques heures plutĂŽt au QG des Aurors, on leur avait signalĂ© un rapport d’incident au alentour de la grotte, voir dans la grotte en discutant avec ses amies, et en montant la garde, elles arrivĂšrent devant cette Ă©norme grotte. Betty n’y avait jamais Ă©tĂ© auparavant
 L’aspect extĂ©rieur Ă©tait d’ailleurs tout sauf accueillant. Les grosses pierres Ă©taient d’un gris foncĂ©, et donnaient l’impression qu’elles allaient s’écrouler sur les 3 jeunes elles prĂȘtĂšrent attention au bruit qui Ă©manait de la grotte, les Aurors comprirent vite que ce qui se tramait Ă  l’intĂ©rieur
Tendant l’oreille avec un peu plus d’attention, elles entendirent la voix d’un mangemort et s’engouffrĂšrent rapidement de la de celle-ci Ă©tait profondĂ©ment lugubre. La faible lumiĂšre du jour Ă©clairait quelques peu la grotte mais Betty pour mieux voir ce qui Ă©tait en train de se dĂ©rouler sous ses yeux prononça Lumos !Un mangemort que Betty n’avait jamais vu en raison de sa toute nouvelle arrivĂ©e dans le groupe des Aurors Ă©tait en train de lancer un sort, Incarcerem Ă  une jeune fille qui ne devait pas ĂȘtre plus ĂągĂ©e qu’une deuxiĂšme LoreleĂŻ et Eden Ă©taient alors cachĂ©es derriĂšre un roc de pierre. Lorsqu’elle regardĂšrent avec plus d’attention la scĂšne, Betty s’aperçut que la jeune prisonniĂšre du mangemort n’était autre que VĂ©nus, une jeune serdaigle avec qui elle avait discutĂ© quelques semaines plus tĂŽt
Elles sortirent alors de leurs cachette, et Betty s’avança en lançant Finite Incantatem » ce qui libĂ©ra la jeune fille de lemprise du s’avança en courant vers Venus, tout en jetant "Protego totalum !"Betty et VĂ©nus sortirent Ă  reculons, le sort les empĂȘchant de toutes attaques du mangemort, puis Ă  la sortie de la grotte, Betty pris la main de VĂ©nus et elles transplantĂšrent toutes deux, devant le parc de Poudlard. Betty la ramena Ă  pied, dans l’enceinte du chĂąteau oĂč VĂ©nus serait enfin en sĂ©curitĂ©.HRPG avec accord de vĂ©nus pour la faire sortir. InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1817 LoreleĂŻ faisait sa premiĂšre patrouille, c 'Ă©tait assez frustrant d 'ailleurs, du moins premier jours vraiment dehors Ă  faire ce qu'elle avait toujours rĂȘver de faire, elle espĂ©rait ĂȘtre Ă  la hauteur. Et puis l'autre chose qui la gĂȘnait c 'Ă©tait de se retrouver dehors. LoreleĂŻ avait passĂ© tout le reste de sa jeunesse Ă  Poudlard Ă  se cacher des mangemorts dont son pĂšre qui la cherchait surement encore et toujours pour la tuer aprĂšs avoir essayer de la recruter et jeune femme avait une Ă©lĂ©gante robe noir jusqu'au sol, une pĂšre de botte et une cape noir avec un capuchon fourrĂ©e en fourrure de couleur noir aussi. Elle avait ses cheveux solidement attachĂ©s en chignon, ses ongles coupĂ©s de prĂšs et portai un maquillage lĂ©ger. Elle suivait Betty et Eden d'un pas lĂ©ger en fourrant les mains ballante, baguette dans une serait bien une premiĂšre patrouille au calmeDit elle, sa voie Ă©tait douce, mais assez froide et cassante. Lore n'Ă©tait pas le genre de fille qu'on apprivoisait facilement, distante, solitaire mis un cƓur en or quand on la connaissait vraiment. Elle ne connaissait que de peu ses compagnes d 'armes. En mĂȘme temps ce qu'elle disait Ă©tait ironique mĂȘme si rien ne paraissait, les femmes avançait s'enfonçaient vers une grotte suspectĂ©e et elle devait allĂ© y faire un rapport....*J'aime pas çà, pas çà du tout*Comme si au fond d'elle des instincts de survie remontait Ă  la surface d'un de ses temps troubles oĂč la mort lui avait passĂ© de peu. Son teint devint pĂąle, sa main se resserra sur sa baguette. A croire qu'elle sentait de loin le monstre se cachant lĂ  . Lore continua de marchĂ© et entendit une voie de loin, et gĂ©nĂ©ralement le ton ne lui Ă©tait pas inconnu et surtout un sort lancĂ©. Elle logea la paroi rocailleuse suivant Betty avant de voir celle-ci agir. Lore dĂ©couvrit une fille qui Ă©tait attachĂ©e par des liens magique et devant elle.... un mangemort. Le cƓur de Lore ne fit qu'un tour, elle suivit Bettyet se cacha derriĂšre un rocher avec Eden aussi elle vit Betty foncer sur la fille, un regard,un sort puis on entendit un "pop" avant que la fille et Bet ne partent. Tout en une fraction de seconde alors que LoreleĂŻ lançait un sort en mĂȘme temps que Betty. Son geste fut rapide et sa bouche tellement dĂ©terminĂ©e, tellement habituĂ©e Ă  prononcĂ© çà...Sectumsempra !A vrai dire tout alla si vite que sa baguette envoyait les jets,son coup partit sans qu'elle prit conscience de l'endroit oĂč il irait dans la grotte. A vrai dire, il y avait une chance sur cent qu'il touche le mangemort. Et puis c 'Ă©tait pas le but, sa premiĂšre rĂ©action fut de protĂ©ger le dĂ©part de Betty pour ne pas que le mangemort aie le temps de rĂ©agir sur elle. Et puis, se sort avait de quoi en faire rĂ©agir plus d'un rien qu'en prononçant ce simple mot, mĂȘme sans baguette. Magie noir oui, elle venait Ă  peine de sortir de Poudlard et les maigres sorts de bases qu'elle connaissait ne lui servait pas beaucoup. Et puis dans des cas ainsi, la mĂ©moire sortait ce qu'elle pouvait et ici se fut le rĂ©sultat du bourrage de crane de son pĂšre alors qu'il la tenait captivĂ©e. La magie noir, elle l'avait en horreur mais dans ses cas si, elle prĂ©fĂ©rait la faire apprĂ©ciĂ©e par les gens qui l'utilisaient, qu'ils voient ce que çà fait... Mais tout alla si vite, LoreleĂŻ continua Ă  jeter des sorts aprĂšs celui faisant apparaitre les blessures GastroEt un de plus partait censĂ© vider les entrailles. Eden Ă©tait aussi lĂ , mais chacune sa spĂ©cialitĂ©, sa force. Lore attaquait, Eden protĂ©geait. Un tout une force, il fallait faire vite, elle Ă©tait deux, elle et Eden, pour LoreleĂŻ s 'Ă©tait son premier dĂ©fis, sa revanche sur la vie .DerniĂšre Ă©dition par LoreleĂŻ Evana le Jeu 10 DĂ©c - 1817, Ă©ditĂ© 1 fois Jude RoseburyGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Jude Rosebury, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 La sorciĂšre, aprĂšs avoir fait deux formation, Ă©tait allĂ©e voir Morgane au Qg. Celle-ci l'avait prĂ©venue qu'il y avait eu des rapports d'incidents aux alentours de la grotte. Alors, elle avait demandĂ© Ă  Eden, ainsi qu'Ă  Betty, qu'elle avait formĂ© il n'y a pas longtemps, et LoreleĂŻ. Eden n'avait pas vraiment eu le temps de se changer, gardant les vĂȘtements de l'entrainement, un peu sale, mais peut importe. Elle avait juste mit sa cape par dessus, pour arranger un peu cette apparence nĂ©gliger, qu'Eden dĂ©testait. Toute trois Ă©taient parties ensemble patrouiller, pour la sĂ©curitĂ© des lieux. Patrouillant depuis un certains temps, elle s'approchĂšrent de la grotte pour finir. Entendant des voix, et le nom d'un sort, elles se raprochĂšrent toute trois. Un mangemort ! Eden savait tout de suite qu'il s'aggissait de cela, Ă©tant donnĂ© que cette personne Ă©tait sous une cape noir, large, et en face d'elle.. Une fille ? Elle portait une tenue de serdaigle, et tenait son chat dans ses mains. Alors Eden prit sa baguette d'instinct. Elle resta dans l'entrĂ©e de la grotte, derriĂšre un rocher avec Betty et LoreleĂŻ. Puis Betty se leva avec LoreleĂŻ. Eden resta derriĂšre le rocher pendant que Betty partit Ă  la dĂ©fense de la jeune fille, et LoreleĂŻ jetait des sorts pour distraire le ne savait pas trop quoi faire pour le moment, alors elle dit sans mot Protego . Le bouclier devrait pouvoir la proteger pour un sortilĂšge. Alors Eden se leva, s'approcha, toujours surement, pour ne pas risquer de se faire avoir par le mangemort. Tendant sa baguette pointĂ©e sur le Mangemort, elle murmura Metalo Scencio .Un filet de metal sortir de sa baguette en direction du mangemort. Normalement, celui-ci devrait se retrouvai piĂ©gĂ©, et ci il tentait de se liberer, il se ferait surement des entailles, car les liens se resserent. Elle tourna la tĂȘte, et regarda LoreleĂŻ lancer des sorts. Elle attaquait, et Eden protegait la sortit, mĂȘme si elle avait jetĂ© un petit sort d' se rapprochant de LoreleĂŻ, toujours avec son bouclier, et mit son bras devant le torse de son amie et collĂšgue, et pointa sa baguette. Elle lança Ragnarok sans mot dire. A cet instant, un mur invisible de protection apparut entre la mangemort et les deux aurors. Elle dit alors - Ce n'est pas beau de s'attaquer Ă  moins fort que soit.. Seriez vous si peut sĂ»re de vos sorts ?AprĂšs cette phrase lĂ , Eden tourna la tĂȘte vers Allez, on devaient partir, maintenant que Venus Ă©tait sauve, plus rien ne les retenaient ici. MĂȘme si Eden avait envie de se battre, elle devait faire attention, et ne pas risquer sa vie juste pour une envie de combat. Elle se concentra, pensa Ă  sa destination avec determination. " QG des aurors.. " pensa t-elle. Les deux aurors s'en allĂšrent alors.. MaĂźtre de jeu Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]MaĂźtre de jeu, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 Le membre 'Eden Bolton' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'Combats Sections Act' InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Dim 17 Jan - 154 [PrivĂ© Nymphadora]Il Ă©tait tard, au moins dix heures du soir, Will Ă©tait allongĂ© sur le canapĂ© prĂšs de la cheminĂ©e, les yeux fermĂ©, on aurait pu aisĂ©ment croire qu'il dormait. Une petite tape sur l'Ă©paule rĂ©veilla le jeune homme dont les mĂšches blondes tombaient devant ses yeux *serait p'tetre temps d'aller s'faire couper les cheveux* pensa Will. La petite tape en question venait de LĂ©to, son elfe, qui se tenait devant lui avec son Ă©ternel air soumis. Il portait dans la main droite un chandelier et dans la main gauche l'un des pyjamas du jeune homme. L'elfe s'inclina bien bas puis fit- Voulez-vous allez vous coucher, ou prendre une tasse de ThĂ© ?- Merci LĂ©to mais je ne veux pas de thĂ©, et je n'ai pas sommeil, je ne dort aurait pu croire Ă  une phrase ironique, ou encore Ă  une façon de se mettre en avant mais Will ne voulait rien de tout cela, depuis le jours ou il avait Ă©tĂ© mordu par Akshay Lecter, l'homme qui lui avait sauvĂ© la vie, Will n'avait pas dormit une seule seconde comme pouvait le constater ses lĂ©gĂšres cernes sous les yeux. En fait en ce moment Will n'avait envie de rien mise Ă  part une seule chose, manger. En effet, il lui fallait sa dose de sang, sa drogue. Mais pas question de sortir dans la rue et de prendre la vie de la premiĂšre personne qui croiserait son chemin. Non, il devait prendre des prĂ©caution et n'attaquer qu'un se releva d'un coup, sans prĂ©venir. LĂ©to sursauta puis s'Ă©carta de son maitre comme pour lui donner plus d'espace. Will regarda LĂ©to droit dans les yeux puis lui fit- On y va LĂ©to, emmĂšne moi Ă  PrĂ©-Au-Lard, prĂšs des PrĂ©-Au-lard ? Mais monsieur .. A cette heure ?- Oui Ă  cette conversation Ă©tait close, Will n'avait pas envie de se justifier et surtout il avait faim, une chose qui pouvait le rendre insupportable. Le blondinet posa sa main sur la minuscule Ă©paule de LĂ©to qui disparut dans un PLOP sonore. AussitĂŽt les pieds de Will rencontrĂšrent une surface dure et poussiĂ©reuse, il venait de se poser sur l'un des sentier menant aux sommets des Montagnes. Will regarda son elfe de toute ça hauteur et lui fit- LĂ©to rentre, ne reviens que si je t'appelle. Bonne ne fit pas rĂ©pĂ©tĂ©, tourna les talons et transplana Ă  nouveau, Will Ă©tait seul. Cependant il ne devait pas trainer, son dĂ©sir devenait de plus en plus fort, il fallait qu'il trouve un animal le plus vite possible sinon le premiĂšre humain qu'il croiserait serait lui aussi se tapait dans l'ombre en attente d'une proie, immobile, silencieux, sans mĂȘme un mouvement de poitrine signalant qu'il respirait, Rien. AprĂšs environs dix minutes d'attente un gros chien, Ă  la fourrure marron passa Ă  prĂšs de 5 mĂštres de lui en se dirigeant tranquillement vers une grotte sans se douter du danger qui le menaçait. Will guetta l'animal en attendant que le moment propice arrive. Et il arriva, lorsque le chien eu fait deux pas dans la caverne Will courra Ă  toute allure dans sa direction, jamais il n'avait couru aussi vite, ses pouvoirs de vampire et sa faim devait aiguiser tout ça. Lorsqu'il arriva Ă  ses cĂŽtĂ©s Will se jeta sur lui et lui prit le cou avec sa main gauche et le plaqua contre la parois de la grotte Ă  moins de deux mĂštres de l'entrĂ©e, si quelqu'un passait par lĂ  il verrait tout la scĂšne, mais personne ne marcherait dans le coin Ă  cette heure ci. Will coinça l'animal contre la paroi et saisit la peau de son flanc Ă  laide de ses deux mains, le chien essaya de se dĂ©battre et de s'Ă©chapper mais en planta ses deux crocs aiguisĂ© avec une immense satisfaction, il allait pouvoir combler sa faim. Lorsque ses crocs transpercĂšrent la peau de ce pauvre animal une quantitĂ© importante de sang sortit de son corps que Will s'empressa d'avaler. AprĂšs avoir avalĂ© le plus de sang possible Will laissa tomber Ă  terre la dĂ©pouille du chien, la rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  voir. Will avait du sang pleins les mains, partout sur sa chemise et sur le coin des lĂšvres, mais le pire Ă©tait l'animal, il avait le cou entier de dĂ©chiquetĂ©, ainsi qu'un aspect rien de tout cela n'Ă©tait inquiĂ©tant comparĂ© Ă  se qui allait arriver. un bruit de pas se fit entendre, puis quelqu'un entra dans la grotte et se retrouva Ă  moins de deux mĂštre en regardant Will de haut, l'homme Ă©tait toujours Ă  genou Ă  considĂ©rer le cadavre du chien. Lorsque le nouveau venu s'Ă©carta lĂ©gĂšrement et que la Lune fit assez de lumiĂšre Will pus apercevoir la visage de cette Lupin se tenait devant lui Ă  observer son ami Ă  genou du sang sur les mains, la chemise et au bord des lĂšvres, devant une dĂ©pouille de chien dont le cou Ă©tait entiĂšrement qu'est se que tu fais lĂ  ? fit Will d'une voix desesperĂ©. Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Dim 17 Jan - 352 Il Ă©tait fort tard, mais, ces temps-ci, la jeune Nymphadora Ă©tait prise d'insomnies chroniques... Elle qui sans enfance aurait tuĂ© pĂšre et mĂšre pour rester dans son lit commençait Ă  en avoir peur, peur de rester seule sous les draps, peur de mourir dans son sommeille. Vous allez me dire Ă  dix-neuf ans, fort rare sont les personnes qui meurent en dormant, mais, dans le monde actuel, tout devenait possible. C'est surtout, je pense, que la jeune femme n'aimait plus habiter cette maison sans la prĂ©sence d'Emy, vĂ©ritable fĂ©e du logis, qui y apportait sa joie et sa bonne humeur et que maintenant la modeste maison n'Ă©tait plus qu'un cinq piĂšces assez banal et bordĂ©lique. Nymphadora avait voulu, Ă  maintes reprises, la mettre en vendre, mais c'est une chose ardue que des vendre ses souvenirs aux premiers venus. Une autre option s'Ă©tait offerte Ă  elle, l'abandonner et y revenir lorsque la nostalgie se ferait trop poignante sur le cƓur de la jeune journaliste. La dĂ©cision prise, il ne lui manquait plus que le courage d'aller Ă  l'agence immobiliĂšre et acheter un nouvel endroit oĂč vivre bien loin d'ici....Quoi qu'il en soit, les aiguilles de l'horloge avoisinait les trois heures du matin, lorsque Nymphadora enfila une cape noir assez sobre et qu'elle remonta le capuchon sur sa tĂȘte pour se protĂ©ger du vent. Pas la tĂȘte Ă  aller chez "Lucette', le cafĂ© du coin oĂč se rassemblaient tous les vieux soulards de PrĂ©-au-Lard, pas la tĂȘte Ă  aller prendre une claque de souvenirs Ă  la maison en ruines, la tĂȘte Ă  rien Ă  vrai dire... Elle erra sans but, marchant sans prendre conscience de la direction que prenaient ses pieds, scrutant chaque demeure du coin de l'Ɠil et s'imaginant pour les familles qui y vivaient des histoires plus rocambolesque les unes que les autres. Untel trompait sa femme avec la femme du voisin, l'autre battait ses enfants ou s'adonnait Ă  la prostitution pour subvenir Ă  ses besoins depuis que son mari Ă©tait aux abonnĂ©s absents... Le genre d'histoires dĂ©biles qu'on lit dans des magasines moldus et qui se vendent comme des petits prit place sur un banc tout en chantonnant une vielle chanson apprise chez les moldus et dont les paroles auraient donner envie au plus gaie des hommes de se suicider. L'air hagard, elle ne reprit ses esprits que quand elle sentit une truffe sur ses genoux. Elle n'Ă©tait pas fort pour tout ce qui Ă©tait poilu, qui avait quatre pattes, qui bavait ou qui sentait une odeur incommodante, mais lĂ , elle ne put y rĂ©sister. Face Ă  elle se tenait son sosie, mais en chien ! Seul, abandonnĂ©, l'air ailleurs et qui n'avait pour occupation que le vagabondage nocture. Elle posa sa main sur le haut de sa tĂȘte et entreprit de le caresser. - DĂ©solĂ©e mon beau, mais je n'ai rien d'autre Ă  t'offrir. Je n'ai pas pour habitude de me promener avec des os ou de la nourriture pour chienBon sang, elle Ă©tait dans un dĂ©chĂ©ance totale si elle commençait Ă  parler avec des animaux ! Conversation qui ne dura pas longtemps vu que Roucky de son flair incroyable capta, au pieds de la montage, un fumet qui lui mit la bave aux babines. Nymphadora le suivit, question d'instinct, de curiositĂ©, elle savait qu'il y avait une grotte lĂ -haut et avait une envie soudaine d'y mettre les pieds. Alors qu'elle montait progressivement et qu'elle se trouvait, approximativement, Ă  deux mĂštres de la dite grotte, un spectacle inhabituel se dĂ©roula devant ses yeux. Un humain Ă©tait entrain de bouffer le gros toutou, une personne normal aurait eu peur, aurait prit la fuite et aurait une pensĂ©e triste pour le pauvre petit Milou. Nymphadora, non, elle se demande juste si le type de la grotte sera rassasiĂ© avec un chien. Pour en avoir le cƓur net, la jeune femme entra dans la grotte et y aperçu Will agenouillĂ© devant le cadavre et rempli de sang. Tomber nez Ă  nez avec sa consƓur ne semblait pas lui plaire visiblement. - Ce que je fais lĂ  ? Je viens constater que tes parents ne t'ont pas appris les bonnes maniĂšres et que tu manges vraiment comme un porc. Mais qu'avait-il donc cru ? Que sept litres de sang allait lui faire tourner de l'Ɠil ? Ou qu'elle allait partir en courant, crier Ă  qui veut l'entendre qu'une crĂ©ature bouffait les animaux domestiques ? CrĂ©ature ! Non, Will n'Ă©tait pas une crĂ©ature ! S'Ă©tait un... Un... Quelque chose. - Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? Elle se servit de sa baguette pour arroser le journaliste et lui rendre un aspect et une odeur digne de ce nom. Elle mit feu au cadavre du chien pour pas qu'il se fasse bouffer par toute sorte de bĂȘtes et que ça finisse par sentir le cadavre en putrĂ©faction dans tout PrĂ©-au-Lard, ce qui finirait par rameuter tout les villages dans la grotte et certaines personnes risqueraient de se poser des questions qu'ils ne devraient pas. Nymphadora dĂ©tailla de haut en bas le jeune homme et sa conclusion fut qu'il avait une sale mine. - Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le messageInvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Lun 3 Mai - 2207 dS'il s'Ă©tait attendu Ă  une Nymphadora choquĂ© ou apeurĂ©, Will c'Ă©tait lourdement trompĂ©. En effet, la jeune femme n'avait mĂȘme pas sourcillĂ© en voyant le corps dĂ©chiquetĂ© du chien ou encore le sang que Will avait partout sur lui. Le jeune homme Ă©tait perplexe, d'un cĂŽtĂ© il Ă©tait content que Nymphadora lui tombe dessus et pas n'importe quel idiot du village, il aurait voulu crier Ă  qui voulait l'entendre qu'un vampire se trouvait dans la montagne et Will aurait Ă©tĂ© obligĂ© de le tuer, mais d'un autre cĂŽtĂ© Nymphadora Ă©tait une personne qu'il connaissait ...Nymphadora, d'une voix neutre, comme si c'Ă©tait une parole de toute les jours lui fit- Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? - Oui, un vampire .....comme Ă  son habitude, Nymphadora ne se laissa pas dĂ©monter et prit les devants, elle se chargea de nettoyer Will d'un coup de baguette magique, se que soit disant passant Will n'aima pas des masses, puis elle fit bruler le cadavre du chien, ainsi pas une seule bĂȘte ni odeur ne viendrait signaler le massacre. Un peu honteux de la sitation Will marmona un timide "Merci" puis se Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irais mieux aprĂšs ...Bien sur Will ironisait, mais il Ă©tait vrai que son appetit n'Ă©tait pas totalement satisfait, il aurait payĂ© chĂšre pour boire un peu de sang humain, rien qu'un peu ... En fait, plus Will y reflechissait plus il pensait que Nymphadora avait soulevĂ© un point important Bien qu'il Ă©tait toujours assez costaud son manque de nourriture commençait Ă  porter prĂ©judice, ses joues commençaient Ă  se creuser et des cernes apparaissaient sous ses yeux. Pas de doute, un dernier morceau lui ferait beaucoup de tourna rapidement les talons et s'engouffra en courant plus profondĂ©ment dans la grotte en prenant soin d'attraper solidement Nymphadora par le poignĂ©e. Connaissaint Nympha, Will ne doutait pas une seule seconde que se qu'il allait lui proposer lui plairait, dans le cas contraire une fois partie ils ne pourraient tourner les talons ...AprĂšs avoir couru durant une bonne minute Will s'immobilisa le long de la paroi et renifla bruyamment vers le fond de la grotte. Les sens en Ă©veil il resta silencieux quelques secondes puis il continua sa course mais cette fois plus lentement, plus discrĂštement en marchant Ă  pas de loups ...Cinq-cents bon mĂštres plus tard, Will s'arrĂȘta en faisant signe Ă  Nymphadora de faire de mĂȘme. aussitĂŽt un grognement sonore s'Ă©leva, puis un deuxiĂšme diffĂ©rends. Will aussi commença Ă  grogner, moins fort. Peu Ă  peu deux silhouette furent distinguable, des silhouette animal. En fait, les deux jeunes gens virent quelques secondes plus tard que deux magnifique loups leur faisaient face, les crocs sortie avec un air tout sauf deux loups, plus agressif que jamais faisaient face Ă  Nymphadora et will ... Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Mar 11 Mai - 1624 - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irait mieux aprĂšs ...- Ca ferait quoi si tu me prenais un peu de mon sang ? Si tu pointes tes grandes dents quelque part dans mon corps, est-ce que je me transformerais en vampire ? Si je peux rester humaine, alors vas-y fais le et bouffe un peu de mon sang, mais bon si je dois troquer ma belle dentition pour des dents pointues comme les tiennes laisse tomber. On trouvera bien un moyen de te nourrir. On pouvait ĂȘtre mĂ©chante, froide et cruelle comme Nymphadora, celle ne voulait pas pour autant dire que l'on ne possĂ©dait pas un cƓur et et que l'on ne se serait pas coupĂ© en quatre pour ses amis. Ça lui dĂ©chirait les tripes de voir Will si faible et aussi mince qu'un manche Ă  balais, tandis qu'il lui tournait le dos, elle le regardait de haut en bas, ce n'Ă©tait plus vraiment le fringant jeune homme qu'elle avait connu des mois auparavant. La jeune brune fit apparaitre une petit coupole et se coupa le poignets tout en Ă©vitant les veines, elle n'Ă©tait pas suicidaire tout de mĂȘme, et laissa son sang couler dans le rĂ©cipient. Une fois celui-ci plein, elle referma sa coupure et tendit le sang Ă  son ami. - Me regarde pas avec tes yeux de chien battu et bois ça vite fait bien fait avant que je te le fasse ingurgiter par le nez. Que cela reste entre nous Will, il est hors de question que tu te ramĂšne avec tout tes petits amis au sang froid pour que je vous nourrisse tous, mais si jamais tu as encore besoin de sang, n'hĂ©site pas. Rapide comme il Ă©tait, Nymphadora ne se rendit pas compte que le vampire lui prenait le poignet et l'obligeait Ă  s'enfoncer Ă  l'intĂ©rieure de la grotte. Elle ne savait pas si elle devait lui foutre une bonne raclĂ©e ou le laisser la tirer comme un vulgaire jouet, dans le cas oĂč il voudrait se battre contre elle, il savait dors et dĂ©jĂ  qu'il n'avait aucune chance contre sa comparse. Effectivement, Nymphadora utilisait dĂ©jĂ  sa baguette comme une arme mortelle que Will tĂ©tait toujours le sein de sa mĂšre ! Il courait assez vite et la jeune brunette avait quelque peu du mal Ă  la suivre surtout qu'elle et l'athlĂ©tisme ça avait toujours fait deux, mais il dĂ©cida enfin Ă  s'arrĂȘter. - Tu joues Ă  quoi lĂ  ? Il lui plaqua nĂ©gligemment la main contre sa bouche afin qu'elle se taisse, apparemment, ils n'Ă©taient pas seuls dans la grotte et Will arrivait Ă  sentir cette prĂ©sence qui devait ĂȘtre tout sauf humaine Ă  en juger par les grognements qui se faisaient entendre. Hooo...Will voulait donc s'amuser et invitait sa jeune amie Ă  participer Ă  ce petit combat, mais quel gentil jeune homme tout de mĂȘme. Il est vrai que Nymphadora n'avait plus combattu quelque chose ou quelqu'un depuis quelques semaines, il Ă©tait temps de reprendre du service ! Son adversaire serait donc un loup, en espĂ©rant que ce ne soit pas un des loup-garous reconnus par le ministĂšre mais un bĂȘte loup qui regrettera bien vite d'ĂȘtre venu dans cette grotte. - Je prends celui de droite, ok ? EuroraLĂ©gendePoufsouffle Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Eurora, le Ven 2 Juil - 1458 [HJ Je pense que je peux poster ici depuis le temps qu'il n'y a pas eu de rĂ©ponse... roll ]Eurora ne comprenait pas ce qui lui arrivait ; elle n’avait pourtant bu que trĂšs peu et elle sentait la tĂȘte lui tourner horriblement 
 Dans sa maison, Ă  PrĂ©-au-Lard, elle Ă©tait accroupie sur le sol et tournait les pages d’un album photo oĂč quantitĂ©s de photos lui renvoyait des sourires emplis d’amour 
 Mais ces sourires appartenait au passĂ©. Bel et bien au passĂ©, se dit-elle. Les traces de son chagrin envahirent le bleu Ă©tincelant de l’ocĂ©an de ses yeux et une larme – comme une perle – se mit Ă  rouler sur sa joue
 Sans doute l’alcool qu’elle avait ingĂ©rĂ© en fut la cause elle n’en savait rien mais quoiqu’il en soit, cela aggravait son chagrin et le faisait apparaĂźtre au grand jour alors que normalement elle chercherait Ă  le dissimuler... Pleins de choses Ă©taient coupables de son actuel Ă©tat
La solitude lui pesait ce soir lĂ , plus que d’habitude ; elle avait envie de sentir la prĂ©sence de ses amis prĂšs d’elle, de son fils, d’Akshay, de ses soeurs mais une autre pensĂ©e s’insinuait dans son esprit elle ne voulait pas les dĂ©ranger 
 Cela ne la regardait, elle et elle seule. Cette bouteille avait semblĂ© si tentante 
 Elle n’avait su y rĂ©sister 
 Y noyez son chagrin ? Sans doute eut-il Ă©tĂ© dans son intention. Et pourtant, elle ne cessait de penser encore, sinon davantage, Ă  tout ce qui occupait son esprit
 Vacillante, elle tenta de se relever mais retomba par terre, lĂąchant un petit Oups ! » alors que le craquement significatif d’un transplanage brisait le silence
 Aaaah ! » et boum, elle bascula en arriĂšre, soudainement surprise de l’arrivĂ©e impromptue d’Orion
 Qu’est-ce que ... ?!! » L’elfe, s’inclinant devant elle, lui rĂ©pondit alors, les yeux exorbitĂ©s en voyant dans quel Ă©tat sa maĂźtresse s’était mise
 Orion et NaĂŻla ont pensĂ© que vous aviez peut-ĂȘtre besoin d’aide, maĂźtresse Eurora
 »Les vapeurs de l’alcool aidant, La jeune femme Ă©clata de rire puis laissa Ă©chapper un Ă©clat de rire
 Oups, tu m’as fait peur ! 
 Moi ? M’aider ? Bien sur que non, je ne me suis jamais sentie aussi
 Aussi bien... Hips 
 Je pourrai gravir le mont Blanc ! »  Elle rit Ă  sa propre plaisanterie, mĂȘme si celle-ci n’était pas forcĂ©ment drĂŽle 
 Ce que sembla songer Orion mais il n’ajouta rien. Il s’approcha de quelques mĂštres, tentant de saisir le bras d’Eurora mais cette derniĂšre se dĂ©roba ... Je pourrai mĂȘme aller sortir dans les rues et chanter Ă  qui veut entendre ! »Elle se sentait libre, pour la premiĂšre fois, libre de toutes contraintes ! C’était certain ! Jamais elle ne s’était sentit la libertĂ© de faire ce qu’elle veut, d’aller oĂč elle voulait 
 Oups, elle tituba, se rattrapant au rebord de la table
 OulĂ , est-ce normal que le sol tangue tant ... On se croirait en pleine mer sur un navire ... Madame, vous devriez vous coucher je crois
 »La silhouette d’Eurora s’immobilisa, puis se retourna lentement
 Un instant, elle sembla recouvrir toute sa raison puis, une lueur effrayĂ©e passa dans son regard, le temps de comprendre ce que dormir signifiait
 Non, dormir je ne veux pas
 Je veux ĂȘtre libre ! Libre de choisir, libre d’aller, libre de 
 De choisir mes dĂ©cisions et Ă  qui je donne mon soutien ! »Elle ne savait trop pour quelles raisons elle avait prononcĂ© ces derniers mots
 Tout se mĂ©langeait dans son esprit, tous les Ă©vĂšnements de ces derniers temps, toutes ces contrariĂ©tĂ©s
 Tout s’était rĂ©uni, concentrĂ©, et tout Ă©tait sortait ce soir lĂ  en mĂȘme ces mots, elle avança tel un chĂąteau branlant en direction de sa porte d’entrĂ©e et alors qu’Orion demeurait sans bouger, et sans savoir ce que le mieux Ă©tait de faire, il l’observa sortir parmi le sombres de la nuit
 Une fois dehors, la jeune PhĂ©nix ne sentit pas mĂȘme la fraĂźcheur saisissante de cette nuit d’étĂ© 
 Sa vision Ă©tait incertaine mais elle ne se demanda mĂȘme pas comment elle parvenait Ă  mettre un pas devant l’autre. Le lendemain, elle aurait certainement une migraine atroce mais pour le moment, elle ne voulait plus penser Ă  rien ! POURQUOI ?!!! » fut sa premiĂšre parole alors qu’elle adressait cet seul mot, plus au ciel qu’à quiconque d’autres. Seul le silence de la nuit lui rĂ©pondit alors qu’il lui renvoyait l’écho de sa propre voix. Elle attendit quelques secondes que ce dernier se tut pour enfin bouger un orteil et descendre les marches de la maison
DĂ©ambulant dans la ruelle, son pied finit par se prendre dans quelque chose ; elle se pencha et maugrĂ©a aprĂšs ces gens qui n’étaient pas mĂȘme capables de ramasser leurs ordures
 C’est alors qu’elle reconnut le visage d’Azphel, les traits de l’un des directeurs de Maison et tout le poids de ses responsabilitĂ©s revint sur ses Ă©paules et Ă©galement ce qu’elle avait ouĂŻe dire de ce qu’on attendait d’elle
 QUI avait Ă©tĂ© crĂ©er le principe selon il Ă©tait "normal" de soutenir ceux avec lesquels on travaillait ?!! QUI que je l'Ă©trangle !!! Personne. EmprisonnĂ©e ce soir par les vapeurs d'alcool, Eurora ne se sentait pas libre de ses opinions et de ses actions... Ce fut l’air fier et dĂ©jĂ  triomphant – Ă  moins que ce soit dĂ» Ă  quelques retouches sur la photo – d’Azphel qui eut raison d’elle et la fit tressaillir, comme saisit d’un lourd pressentiment
 *Des mots ! Que des mots ! * ET POURQUOI devrais-je soutenir forcĂ©ment les personnes avec qui je travaille ?!! Le monde est-il ainsi fait qu’il ne permets pas mĂȘme Ă  l’Homme de faire ce que bon lui semble, de penser ce qu’il veut, de prendre les dĂ©cisions qu’il veut ?!!! »Un tressaillement la saisit, peut-ĂȘtre l’alcool qui coulait dans ses veines en Ă©tait coupable mais aprĂšs qu’un long frissonnement l’eut saisie, elle laissa Ă©chapper une sorte de rĂąle mais au contraire de ce qu’un Ă©tranger aurait pu penser en la voyant ainsi, elle ne tomba pas, Ă©croulĂ©e sur le sol
 Dans sa main, ses doigts se refermĂšrent sur l’affiche, la froissant puis la laissant retomber par terre, en une boule de papier informe. Elle n’y faisait plus garde Ă  prĂ©sent, prit dans ses dĂ©lires amplifiĂ©s Ă  la fois par son dĂ©sespoir et Ă©galement pas les vapeurs de l’alcool circulant dans ses veines qui lui donnait la force cependant de ne pas s’ contraire elle continua d’avancer, telle une somnambule, vacillant de temps Ă  autre sur ses pieds, se retenant quelquefois au mur d’une maison dĂ©crĂ©pite. D’un seul mĂȘme Ă©lan, toutes les injustices et mĂ©saventures dont sa vie avait pu ĂȘtre parsemĂ©e se diluĂšrent dans son esprit, amplifiant cette impression de se sentir comme 
 vidĂ©e. Pourquoi ne pourrait-on pas ĂȘtre maĂźtre de son destin, et de SES pensĂ©es ! Tout simplement car elle voulait ĂȘtre elle-mĂȘme, car elle ne voulait pas se plier Ă  ce que la plupart des gens penserait qu’elle ferait
 A ce qu’ils pensaient qui Ă©tait normal de faire 
 Pourquoi ne pourrait-elle soutenir les gens qu’elle voulait ? Si son statut de directrice l’obligeait ainsi Ă  soutenir forcĂ©ment ceux avec lesquels elle travaillait, alors elle rejetait son insigne, et en mĂȘme temps ses responsabilitĂ©s ! Elle n’en voulait plus, voilĂ  ! Si elle avait un insigne, elle la jetterait au sol et marcherait dessus, l’écraserait jusqu’à ce qu’elle ne soit plus ... Si du moins cela lui impliquait d’effectuer des actes dont elle ne pensait pas un mot ! Vous pouvez me prendre tout ce que j’ai, mais certainement pas ma libertĂ© ». Cette fois, il s’agissait d’un murmure. Un murmure prononcĂ© face au mur contre lequel elle se trouvait. La norme ?!! Pourquoi la norme existait-elle dans la sociĂ©tĂ© ? Il n’y avait pas de normes. Sans crier garde et criant Ă  qui pouvait l’entendre, elle s’écria
 Je soutiendrai ce qui me semblera bon et ce que JE voudrai ! Jamais vous ne m’obligerez Ă  penser comme vous le souhaitez ! JAMAIS !! »Seul le silence lui rĂ©pondit. Dans la nuit, ses paroles lui semblĂšrent vide de sens, tout comme elle avait l’impression que son corps n’était plus empli que d’un vide saisissant 
 A tel point qu’elle en ressentit un vertige atroce..S’aidant d’avec sa main, elle se recula du mur et reprit sa marche 
 Les rues toujours autant silencieuses
 Elle dĂ©chiffra au passage plusieurs affiches pour les Ă©lections ministĂ©rielles dans lesquelles elle donna des coups de pieds dedans
 Marre de ces Ă©lections
Marre de tout ce qu’elle pensait Ă©tait toujours remis en question
 Marre de tout, elle souhaitait oublier tout ! Elle ne sut pas pendant combien de temps elle dĂ©ambula Ă  travers les rues
 Elle ne savait jusqu’oĂč elle marchait ainsi mais elle marchait. Ce qui Ă©tait certain c’était qu’elle montait en altitude ; Ă  plusieurs reprises, elle grimpa des collines qui paraissaient immenses ou alors c’était sa vision troublĂ©e qui les faisait paraĂźtre si immense
 Le dĂ©cor bougeait, aussi
 Beaucoup 
 D’ailleurs, avant d’arriver au sommet, elle trĂ©bucha Ă  maintes reprises
Jusqu’à parvenir Ă  la grotte qui dominait tout le village de PrĂ©-au-Lard devant lequel, en maĂźtresse des lieux, elle se planta telle une statut la reine d’un empire sur lequel elle n’avait plus nulle emprise. JE SUIS LIBRE ? vous m’entendez ?!! LIBRE d’apporter mon soutien Ă  qui JE veux !... soyez VOUS AUSSI AUSSI LIBRE QUE MOI ! »  Elle s’effondra ensuite, Ă  bout de souffle et de forces, Ă  mĂȘme l’herbe. La nuit Ă©tait bien avancĂ©e
 C’est alors que l’amoncellement de tout ce qui occupait son ĂȘtre soumis Ă  diverses forces et tortures extĂ©rieures la fit s’ébranler et laisser les larmes envahir ses yeux et ses joues
Elle avait l’horrible impression d’ĂȘtre invisible
 La sensation de n’ĂȘtre qu’un jouet du destin dont celui-ci s’amusait Ă  jouer de ses Ă©motions, de ses sentiments, de tout d’elle
 Dans l’état dans lequel elle se trouvait, elle ne sentit mĂȘme pas une main lui saisir le bras, la relever puis l’entraĂźner dans le Pop » distinctif du transplanage
 Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Ven 30 Juil - 1547 Une lĂ©gĂšre implosion de la grotte... Une gerbe de flamme rouge teintĂ©e or... Une plume... Un phĂ©nix et un jeune homme... Perceval venait de se faire tĂ©lĂ©porter par son PhĂ©nix en ce lieu de recueil fort bien reculĂ©; assez pour satisfaire l'envie de solitude de le style de construction de sa maison qui permettait de l'isoler du brouhaha extĂ©rieur, Perceval se retrouvait atteint par les cris de ses voisins... Les seuls qui montaient assez haut dans les aigus pour que leurs voix puissent ĂȘtre entendu par l'hĂ©ritier dĂ©chu des nobles Bright. Actarius Ă©tait Ă©puisĂ©... extĂ©nuĂ©... Lasse de devoir subir, quasiment tout les soirs, l'audition de ses satanĂ©s de voisins moldus qui, jamais, Ô grand jamais, n'Ă©tait fatiguĂ© de se disputer. LĂ , c'Ă©tait monsieur qui disputait sa femme pour une paire de chaussette non lavĂ© -comme s'il n'en possĂ©dait qu'une seule-... AprĂšs, c'Ă©tait madame qui rĂ©primandait monsieur parce qu'il avait omit de ranger sa chaussure dans le placard. C'Ă©tait tout simplement absurde, barbant et purement insupportable!Le sorcier Ă©tait vĂȘtu d'une longue robe noire Ă  l'ancienne -les hommes portaient des robes par le passĂ©, au Moyen-Age-, qui lui tombait tout juste au dessus des chevilles et Ă  laquelle Ă©tait accrochĂ©e une cape tout aussi noire maintenue par une broche d'argent frappĂ©e des armoiries de la famille du jeune homme. Ses longs cheveux noirs de jais, proprement coiffĂ©s et regroupĂ©s dans sa nuque en une fine queue de cheval les cents pas, tournant et encore tournant en rond, Fafnir son phĂ©nix sur ses Ă©paules, Actarius ne faisait pas trĂšs attention, ne surveillait pas ses arriĂšres... Il ne s'attendait de toute façon pas Ă  ce que la grotte dans laquelle il Ă©tait venu se rĂ©fugiĂ© soit le refuge d'on ne sait quel crĂ©ature magique ou d'un quelconque sorcier Ă  l'esprit plus tordu que le sien. Qui aurait la brillante idĂ©e, Ă  part lui, de venir dans un tel lieu par une nuit aussi noire, le ciel Ă©tant dĂ©nudĂ© de la dĂ©esse lune? Certainement une personne dĂ©nuĂ© de bon sens... Ou une personne... comme lui. Enfin, ce n'Ă©tait que des suppositions sans fondements! Il Ă©tait seul dans cette grotte et il Ă©tait pratiquement sĂ»r qu'il ne serait pas dĂ©rangĂ©! Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Ven 30 Juil - 1807 ASA la maison, tout semblait beaucoup trop calme pour la jeune Amy qui depuis cinq ans Ă  prĂ©sent avait toujours eu l'habitude d'entendre quelqu'un respirer chez elle. Son fils et sa fille Ă©tait partie pour plusieurs jours grĂące Ă  un camp de vacances qui les avaient emmenĂ©s Ă  la montagne au delĂ  des frontiĂšres. C'Ă©tait avec une grande tristesse qu'elle les avaient laissĂ© sur le quai de la gare le matin mĂȘme et elle s'Ă©tait enfermĂ© dans une morositĂ© qui ne lui ressemblait pas. ParticuliĂšrement nerveuse, elle avait Ă  plusieurs reprise dans la journĂ©e laissĂ© Ă©chappĂ© de magnifiques jurons qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle depuis la naissance de ses enfants. Elle s'Ă©tait totalement laissĂ© emportĂ©e, se rendant compte qu'elle touchait Ă  nouveau du bout des doigts la perfection de la libertĂ© bien que, pour rien au monde, elle n'aurait changĂ© quelque chose de sa vie actuelle. C'Ă©tait ce qu'elle dĂ©sirait au plus profond d'elle mĂȘme, elle le savait. En faisant le bilan, malgrĂ© de nombreuses erreurs et de remises en questions, l'ancienne Auror semblait plutĂŽt satisfaite du rĂ©sultat final. Lucas, Lola c'Ă©tait tout ce dont elle avait son lit, les yeux ouverts comme jamais, le sommeil n'arrivait pas Ă  venir. Depuis plusieurs heures dĂ©jĂ  la jeune demoiselle tournait et tournait encore dans son lit dans l'espoir que ses yeux se ferment et que, sans s'en rendre compte, elle s'endorme aussi simplement que cela. Mais rien n'y faisait... A croire que les dĂ©mons de la nuit avaient choisis de se liguer contre elle. Se rĂ©signant, Amy se leva, enfila une tenu bateau et sortit de sa chambre. Elle passa devant les chambres de ses enfants et fut parcouru d'un frisson qu'elle dĂ©testait, tout Ă©tait trop calme et le silence monotone la dĂ©rangeait. Elle sortit de chez elle et fut surprise par la douceur de la nuit. Elle ignorait encore oĂč elle se rendait, presque automatiquement, la jeune mĂšre marchait tout droit. ASAu creux de sa main droite, elle tenait sa baguette toujours prĂȘte Ă  ce qu'il lui arrive quelque chose. En tant qu'ancienne Auror elle savait que le danger pouvait ĂȘtre partout. Tout l'avait marquĂ©, tout l'avait plus ou moins blessĂ©, elle Ă©tait Ă©corchĂ©e vive devant la dur rĂ©alitĂ© que pouvait donnĂ© la vie. Les combats, la haine, la violence, tout Ă©tait terminĂ© Ă  prĂ©sent, c'Ă©tait beaucoup trop d'Ă©motion et beaucoup trop dangereux pour ses enfants. MĂȘme si elle avait protĂ©gĂ© sa maison de tout les sorts possible et inimaginable, il Ă©tait hors de question que des reprĂ©sailles quel conque soit fait, voilĂ  pourquoi il Ă©tait prĂ©fĂ©rable de quitter se monde de brute et faire comme ci l'insouciance Ă©tait de retour. Un monde parfait, sans ombre au la jeune femme, une petite grotte. Amy se sentit d'un seul coup submergĂ© par son esprit aventureux. MalgrĂ© tout ce qu'elle essayait de se faire croire, une vie sans dangers n'Ă©tait pas sa vie. D'un "lumos" bien formulĂ©, sa baguette s'Ă©claira et la demoiselle s'engouffra sans hĂ©siter dans les profondeurs rocailleuse qui s'offrait Ă  elle. Son coeur se mit Ă  battre un peu plus fort, un peu plus vite et l'ancienne Auror retrouvait ses vieilles habitudes de femme combattante. Elle avait appris Ă  maitriser son souffle, Ă  maitriser l'adrĂ©naline et Ă  foncer droit devant la tĂȘte baissĂ©. Tellement vite qu'elle ne se rendit pas compte que quelqu'un d'autre Ă©tait dans la grotte. Visiblement le jeune garçon ne l'avait pas vue mais beaucoup trop surprise de croiser quelqu'un dans cette endroit prĂ©sumĂ© dĂ©sert elle ne put s'empecher de lui aboyer dessus "Bordel ! Qu'est-ce que vous foutez ici !" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Sam 31 Juil - 321 Depuis un bon moment maintenant qu'Actarius faisait les dix mille pas dans la sombre et froide grotte. De quoi faire pĂąlir le hĂ©ros le plus courageux qui est jamais existĂ© lui mĂȘme. Fafnir, silencieux comme jamais, somnolait tranquillement ses les Ă©paules de son ami et maĂźtre. Enfin, tranquillement est un bien grand mot!Seulement une demie-heure maintenant que Perceval Ă©tait lĂ  avec son PhĂ©nix lorsqu'il fut obligĂ© de sursauter pour on ne sait qu'elle raison. Une voix fĂ©minine, venu de derriĂšre lui voletait au dessus de la tĂȘte. Cette damoiselle devait ĂȘtre fort en colĂšre ou beaucoup trop mĂ©fiante. Quoiqu'il en soit, la main droite sous sa cape, Actarius libĂ©ra l'une de ses baguettes et tendit la main lentement face Ă  la blonde ?, la menaçant de la sienne tout en lui montrant, Ă  travers ce mĂȘme geste, qu'elle n'a pas grand chose Ă  craindre de lui; pas grand chose du pourrai vous retourner la question chĂšre madame. Que faites-vous en un endroit si reculĂ©?!Ce n'est qu'aprĂšs cette phrase qu'Actarius posa rĂ©ellement les yeux sur l'invitĂ©e de derniĂšre minute. Tout en elle exultait la beautĂ©, provoquait le dĂ©sir en Perceval. Il avait connu cela avec une autre... Une jeune fille sortie de chez Serpentard... Était-elle vĂ©lane? Certainement, oui! Elle Ă©tait beaucoup trop magnifique pour ĂȘtre une pure dĂ©esse naturelle; c'est Ă  dire, les autres espĂšces...Qui ĂȘtes vous, trĂšs chĂšre?Si ce n'Ă©tait une VĂ©lane, que pouvait-elle d'autre pour provoquer un si grand trouble dans l'esprit et le cƓur de l'aristocrate? A moins... A moins que ce ne soit, tout simplement lĂ , que la manifestation de la beautĂ© de la gente fĂ©minine. Quel homme pouvait se vanter d'ĂȘtre plus sĂ©duisant et plus agrĂ©able Ă  regarder qu'une femme... comme celle face Ă  Perceval? Sans doute, aucun! Toutefois, c'Ă©tait, mĂȘme si au sens thĂ©orique, de mĂȘmes ĂȘtres, deux espĂšces de vie totalement diffĂ©rentes. Un homme ne pouvait se comparer Ă  une femme et l'inverse non plus ne pouvait ĂȘtre possible. Ainsi allait la pensĂ©e du jeune sorcier...______________Rp tout simplement merdique! J'avais j'ai sommeil P Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Lun 2 AoĂ» - 1135 ASRĂ©pondre Ă  une question par une autre question. Amy Ă©tait l'une de ces nombreuses personnes qui utilisaient cette tactique afin de ne pas rĂ©pondre Ă  quelqu'un ou a quelque chose de gĂȘnant. Mais lĂ  visiblement, c'Ă©tait son mystĂ©rieux interlocuteur qui s'en servait. De nature trĂšs entreprenante, la jeune femme n'avait pas l'habitude qu'on lui rĂ©siste et qu'on est le dessus sur elle, son statut de VĂ©lane en Ă©tait la preuve vivante, user de ses charmes pour dĂ©stabiliser son adversaire lorsque celui ci Ă©tait un homme lui plaisait particuliĂšrement. Elle ne bougeait pas et le fixait d'un regard Ă  en faire frissonner plus d'un. Ce n'Ă©tait pas un endroit reculĂ©. C'Ă©tait une grotte. Une grotte. Un endroit oĂč normalement personne ne vient y passer du bon temps, et encore moins un endroit ou deux personnes ne viennent y passer du bon temps. Enfin, jusqu'Ă  maintenant la ballade Ă©tait plaisante mais depuis qu'elle avait sa baguette pointĂ© devant le jeune homme, le cĂŽtĂ© touristique de la ballade semblait assez lointain. ASIl semblait dĂ©stabiliser, lĂ©gĂšrement obnubiler par le visage d'Amy qui prenait un malin plaisir Ă  lĂ©gĂšrement se cambrer pour accentuer l'effet produit. Il Ă©tait jeune Ă  premiĂšre vue, il devait avoir une vingtaine d'annĂ©es Ă  tout casser. C'Ă©tait presque mignon de le voir aussi troublĂ©. Il lui demanda Ă  nouveau, plus directement cette fois qui elle Ă©tait rĂ©ellement. Il lui tendit sa main, lentement, comme pour montrer qu'elle n'avait strictement rien Ă  craindre et qu'elle pouvait en faire de mĂȘme Ă  son tour. Il se fourrait le doigt dans l'oeil et bien profond tout de mĂȘme s'il pensait rĂ©ellement qu'elle avait la trouille. Elle avait vue bien pire malheureusement et ce garçon Ă©tait loin du faire peur. Mais malgrĂ© tout, sens de la diplomatie oblige, elle baissa sa baguette tout aussi lentement mais la gardant fermement entre ses doigts. "Amy Swan"ASLança t-elle comme ça. C'Ă©tait pas grand chose, elle aurait trĂšs bien pu mentir et sortir un tout autre nom que le sien comme elle aurait fait d'habitude par prĂ©caution. Pourtant lĂ , c'est tout naturellement qu'elle avait balancĂ© ça comme ça. Dans sa main droite, elle tenait toujours sa baguette et maladroitement elle serra la main de son interlocuteur toujours inconnu jusqu'Ă  maintenant. Elle le regarda droit dans les yeux comme pour appuyer le fait qu'elle savait trĂšs bien qu'elle lui plaisait. Physiquement du moins car pour l'instant les dialogues n'Ă©taient pas trĂšs constructif."Et vous ?" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Mer 4 AoĂ» - 246 Perceval se perdait dans un dĂ©dale de pensĂ©e toute plus contradictoire les unes que les autres. Il lui faudrait sĂ©rieusement se revoir... tomber sous le charme d'une dame, qu'en plus il n'avait jamais croisĂ© n'Ă©tait pas concevable. Il ne pouvait se permettre d'Ă©prouver une faiblesse pour les femmes qu'il rencontrait. Surtout pas lorsqu'il rencontrait ladite femme dans une grotte quelque part dans le grand Ouest. Oui, les moldus diraient qu'il avait l'avantage puisqu'il Ă©tait un homme mais en magie, la puissance ne comptait pas sur la force. Elle comptait sur l'expĂ©rience et l'esprit. L'expĂ©rience? Certes, Perceval Ă©tait plus ou moins connaisseur en magie -noire, blanche, grise, mĂ©tisse et tout ce que vous voudrez- mais, le seul fait d'observer l'invitĂ©e surprise lui faisait savoir qu'elle Ă©tait bien plus expĂ©rimentĂ©e que lui. Ne manquerait plus qu'elle soit susceptible! Un mot mal placĂ©, un phrase mal exprimĂ©e et peut-ĂȘtre bien qu'un Avada Kedavra serait pas trĂšs loin...Le jeune garçon, revenant Ă  la rĂ©alitĂ©, rangea sa baguette dans ce qui devait ĂȘtre un Ă©tui, lĂ  oĂč "Ă©tui" devait se trouver. Il loucha rapidement vers la poitrine de la dame en face de lui. Rapidement? Plus vite que "The Flash" ou Speedy Gonzalez! Il prenait soin de se retenir de dĂ©tailler ses formes et ses atouts tout en sachant, pertinemment bien, que la pression qu'elle exerçait sur lui Ă©tait visible Ă  des kilomĂštres Ă  la ronde et qu'elle en Ă©tait parfaitement consciente. D'ailleurs, il, pendant un trĂšs court laps de temps, juste ce qu'il faut pour battre un cil, se maudit en silence. Il se maudit d'avoir un corps beaucoup trop sensible Ă  la beautĂ© fĂ©minine! Si seulement le corps humain pouvait fonctionner sans cƓur... Ca me rappelle un conte ça, pas vous? Soit, Swan? Jolie nom pour une jolie crĂ©ature; Tout se tient! Swan, comme, littĂ©ralement traduit, "Cygne". Eh bien, oui, cette fille Ă©tait un cygne. Un cygne blanc avec tout ce qu'il a de plus gracieux. Sa ou plutĂŽt, ses courbes. Ses longs cheveux blonds ?, chĂątains ?, entre les deux ?, comparables aux longues et fines plumes d'un cygne adulte... Cette femme n'avait rien de comparable. Elle devait ĂȘtre vĂ©lane... Perceval en Ă©tait plus que sĂ»r! Si la vie le lui permettait, il lui poserait la question dans le seul but d'assouvir sa maladroitement qu'elle, il lui serra la main, la relĂącha, puis plongea son regard dans le sien. Le regard qu'elle lui portait le troublait en son ĂȘtre mais il n'allait quand mĂȘme pas se laisser faire. Surtout pas par quelqu'un qui rencontrait Ă  peine! Il se serait peut-ĂȘtre laissĂ© faire s'il la connaissait plus et qui sait...? Soutenant donc son regard sans ciller, l'Ex-Serpentard avala ses deux derniers mots avant de rĂ©pliquer sur ton totalement Bright. EnchantĂ© de faire votre connaissance... Miss ou Mrs Swan?Perceval se força Ă  remettre ses idĂ©es en place, reprit contenance, se fermant -dans la mesure du possible- Ă  toute contemplation de la belle. Fafnir, dĂ©cidant de lĂącher son maĂźtre dans moment pareil, prit son envol, quittant donc son Ă©paule, et s'en alla par l'ouverture de la grotte. Perceval savait que le PhĂ©nix ne serait pas loin et qu'il serait prĂšs Ă  intervenir en cas d'altercation, toujours est-il qu'il Ă©tait un peu inquiet -pour la premiĂšre fois- en se retrouvant face Ă  une femme avec un tel charisme...Dites moi, si je ne me trompes point, vous devez avoir du sang de vĂ©lane. Est-ce faux?Pourquoi lui poser cette question?! C'Ă©tait une maniĂšre de lui avouer l'attirance physique qu'il ressentait pour elle en l'observant! Qu'est-ce qu'il pouvait ĂȘtre idiot parfois... InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Sam 11 Sep - 1132 Les deux loups qui leur faisaient face Ă©taient immense, ils paraissaient affamĂ©s, chose qui ravit Will, surement Nymphadora. Ils pouvaient ĂȘtre sur d'une chose, il y allait avoir du sport. Les grognements Ă©taient de plus en plus sonores, aussi bien du cĂŽtĂ© des chiens galleux que du cĂŽtĂ© du vampire, les crĂ©atures Ă©taient prĂȘte Ă  se battre, la seule sorciĂšre prĂ©sente l'Ă©tait Je prends celui de droite, ok ?- Tes dĂ©sires sont des ordres ma la bataille fut lancĂ©, par Nymphadora qui se jeta sur le loup de droite en lançant divers sorts plus destructeurs les uns que les autres, elle faisait preuve d'une habiletĂ©, d'une rage et d'un talent extraordinaire, mieux valait avoir une femme comme ça dans ses rangs que chez ses ennemies, chaque coups, chaque sorts faisaient mouche. Cependant le loup faisait preuve d'une vitesse et d'une agilitĂ© incroyable, le combat serait de son cĂŽtĂ© avait laissĂ© le loup attaquer, ce dernier avait lancĂ© les hostilitĂ©s dĂšs l'instant ou Nymphadora Ă©tait partit se battre. Il Ă©tait monstrueux, affamĂ© et fou de rage, mais cela restait un chien stupide, un ennemi des vampires, Will ne lui ferait aucun cadeau. Lorsque le chien voulu le mordre au visage Will esquiva in-extremis le coup puis lui arracha l'oreille gauche d'un vif coup de canine. Le sang du loup commençait Ă  couler au fond de sa gorge, contrairement au sang humain celui-ci n'Ă©tait pas des plus dĂ©sagrĂ©able gout dĂ©concentra Will l'espace de quelques secondes, se qui suffit au loup pour le mordre profondĂ©ment Ă  l'Ă©paule. La douleur Ă©tait supportable mais cela suffit Ă  rappeler au vampire qu'il n'Ă©tait pas Ă  l'abri d'une fin souvent, lorsque Will Ă©tait touchĂ©, aussi bien son corps que son Ă©go, le vampire perdu son sang froid. En poussant un grognement sauvage il sauta sur le loup la main tendu vers le coup de la bĂȘte qu'il rĂ©ussit Ă  attraper. Ne souhaitant pas abattre la bĂȘte si rapidement Will planta ses canines dans le cou de la bĂȘte puis d'un geste vif arrache tout se qui se trouvait dans sa bouche, le rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  petit geste de la main il essuya le sang qui coulait le long de ses lĂšvres puis se tourna vers Nymphadora pour assister Ă  la victoire de son compĂšre qui ne devrait plus tarder. Le loup qui arriverait Ă  mettre Nymphadora Lupin au tapis ne devait surement pas fouler le sol de cette planĂšte.[Pas terrible mais ces temps-ci l'inspiration n'est pas super ] Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus
-33% Le deal Ă  ne pas rater Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  29,99€ € € Voir le deal Immortel Paris L'Ange-Cornu +2SunieAriana6 participantsAller Ă  la page 1, 2 AuteurMessageArianaNombre de messages 123Ordre Seth...Date d'inscription 20/08/2007Sujet Comme jadis... Dim 24 Jan 2010 - 1709 La seth Ă©tait confortablement installĂ©e, assise dans l'un des salons privĂ©. Elle devinait que son compagnon prĂ©fĂšrerais l'ambiance plus rĂ©servĂ©, et surtout, l'absence de regards dĂ©sagrĂ©ables. Bien assise sur les coussins moelleux, car chaque salons avaient un ameublement diffĂ©rent, elle buvait tranquillement un verre d'absinthe, souriant de ses dents de fauve, sa langue fourchue de vipĂšre dardant l'air autour d'elle. DĂ©cidĂ©ment, elle se sentait bien a Paris. Mais il faisait trop froid...dĂ©cidĂ©ment. Et dans ces moments ou la tempĂ©rature extĂ©rieure Ă©tait trop basse, la seth se trouvait dans un Ă©tat semi comateux, seul ses yeux se dĂ©plaçant, observant les alentours. LovĂ©e, elle attendait. Et qui d'autre que ClĂ©menceau venait la dĂ©ranger aurait affaire a elle...Mais qui voudrais se frotter a une dame a l'allure d,assassin? Et comme il n'y avait que trĂšs peu de moltanor en ville, pas la peine de s'angoisser. Rare Ă©tait les immortels qui apprĂ©ciait la compagnie des seths et de leur allure de serpents. Et ce n'Ă©tait pas aujourd'hui qu'ils allaient faire diffĂ©rent. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Ven 29 Jan 2010 - 1848 La lourde porte de l'Ange Cornu s'ouvrit aprĂšs un court Ă©change verbal entre le portier et quelqu'un qui cherchait apparemment Ă  entrer. Sunie passa alors le cadre pour enfin rĂ©ussir Ă  entrer dans l'auberge d'immortels, Ă  peine eu-t-elle fait un pas que, tout en fermant la porte, SamaĂ«l lui dit"Je doute d'avoir fait le bon choix en te laissant entrer, j'ai une mauvaise impression Ă  ton propos, sans compter que ton mot de passe n'est plus valide. La seule chose qui fait que je te laisse entrer est que tu est une immortelle sans aucuns doutes et que ton visage me dit quelque chose, n'oublie pas le mot de passe que je viens de te dire car je ne serais pas aussi clĂ©ment la prochaine fois."Sunie acquiesça et observa un peu l'intĂ©rieur avant de s'y avancer. Elle avait changĂ©, Ă  peine quelques mois avaient passĂ©s depuis que Vilya lui avait rendu l'usage de ses jambes et elle marchait dĂ©jĂ  comme avant. Sa silhouette avait changĂ© d'autant qu'elle arrivait Ă  se tenir droite maintenant, sa posture ne trahissant plus son ancien handicap. Elle portait un Ă©pais manteau de fourrure de castor qui lui arrĂȘtait aux genoux pour se tenir au chaud. Ses cheveux noirs semblaient avoir encore pris en taille, arrĂȘtant autrefois Ă  ses hanches, elle les arboraient maintenant jusqu'Ă  la mi-cuisse tout en les laissant dĂ©tachĂ© en permanence. Elle portait son traditionnel maquillage rouge et avait fait particuliĂšrement attention Ă  ne pas manquer un seul trait. Un Ă©tui de cuir sous le bras elle se dirigea vers une table libre prĂšs du centre de la salle et s'y assis, laissant son manteau sur le dossier de la chaise voisine. Elle portait une grande robe entremĂȘlĂ©e de rouge vin et de noir dans laquelle elle Ă©tait sublime. Cela n'empĂȘchait pas la majoritĂ© des gens dans la salle de la regarder comme si elle fut une humaine, c'est-Ă -dire comme si elle ne collait pas au dĂ©cor et n'avait rien Ă  y faire. Quelques personnes Ă©changĂšrent de courtes phrases afin de savoir si quelqu'un la connaissait, ceux qui Ă©taient plus loin semblaient soit curieux ou ennuyĂ© par son absence d'aura. Ceux qui Ă©taient plus prĂšs semblaient plus sur les nerfs, agressifs voir, car son aura ne collait avec aucune de celle qu'elle devrait avoir en tant qu'immortelle. Elle ouvrit son Ă©tui et le regard de plusieurs passa de l'agacement au questionnement lorsqu'elle en sortit son violon. Celui-ci, au contraire de sa propriĂ©taire, n'avait pas changĂ© pour un sou, fait de l'Ă©bĂšne de la meilleure qualitĂ©, avec ses reliures de bronze reluisantes et ses gravures en or. l'archet qui suivit Ă©tait beaucoup plus banal, un archet des plus normal qui pouvait ĂȘtre achetĂ© pour une poignĂ©e de francs probablement. Sunie regarda autour d'elle un instant et remarqua que la plupart des regards Ă©taient fixĂ©s sur elle, la majoritĂ© Ă©taient curieux mais certains demeuraient alertes, prĂȘts Ă  tout. Sunie se leva debout et plaça le violon sous son menton et porta lentement l'archet sur les cordes, elle testa dĂ©licatement chacune d'entre elle, toujours et encore accordĂ©es. Elle laissa ensuite le flot de ses Ă©motions guider l'archet, la chanson n'Ă©tait pas joyeuse, ni triste, la peur, le rejet et la mĂ©lancolie y Ă©tait omniprĂ©sente mais on pouvait y trouver l'espoir. Tant d'Ă©motions Ă©taient charriĂ©s par le son du violon, tranquillement les gens se rassirent, Ă©coutant la mĂ©lodie bien que certains n'eut aimĂ© pour rien au monde le violon, ils Ă©coutaient tout de mĂȘme, l'endroit devenant silencieux d'un seul coup. Sunie l'ignorait mais son violon avait la facultĂ© de catalyser sa prĂ©sence, rendant le son non pas hypnotique, mais le rendant capable de transmettre les Ă©motions. Ă  cet instant son aura Ă©tait presque palpable, si fort mais fragile Ă  la fois, il ne quittait pas la salle toutefois, le son ne pouvant porter son pouvoir plus joua durant un bonne dizaine de minutes, n'arrĂȘtant de jouer que lorsqu'elle en sentit le besoin. À ce moment, tout les gens de la salle et mĂȘme certains des salons Ă©taient prĂ©sents et Ă©coutaient, certains avaient les larmes au yeux, d'autres semblaient perdus dans leurs souvenirs, aux moments de leur longue vies marquĂ©s par ces Ă©motion. Une fois terminĂ© elle rangea l'archet puis le violon dans l'Ă©tui et se rassit, laissant les gens revenir Ă  eux-mĂȘme, son aura se rĂ©sorbant lentement suite Ă  l'arrĂȘt de la musique. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 31 Jan 2010 - 1544 Le portier eut une crise de cƓur lorsqu'il vu l'ange de la mort. Il atterrit devant l'ange cornu comme un ange noir, sorti tout droit des cieux. Ses ailes noires et son regard froid. Cypher plongea son regard dans celui du mortel, la voie caverneuse de la crĂ©ation rĂ©sonna dans le crĂąne du pauvre homme "Soit tu ouvre cette porte, soit je te tue et je l'enfonce avec ton cadavre."l'homme fixa devant le Valkar armĂ© de sa faux. Il n'avait pas l'air de bonne humeur. Samael... tĂ©taniser par le colosse qu'il avait devant lui ouvrit. "Je ne veux pas tuer ta race, mais je viens simplement chercher quelqu'un. Si tu fais quoique ce soit, je te tuerais. J'exterminerai Ă©galement, les immortels que tu cache dans ton refuge. SI tu ne veux pas de bain de sang, tu ferme ta gueule et tu me laisse faire mon travail."Il garda le mĂȘme regard froid en passant Ă  cĂŽtĂ© du portier. La figure fantomatique du Valkar avança Ă  travers les tables. Les immortels regardĂšrent la crĂ©ature sans trop savoir quoi penser. Il Ă©tait pied nu, ne portait qu'une toge comme vĂȘtement. Son regard Ă©tait vide, sans par l'Aura de sa proie, Cypher, avança jusqu'Ă  la table de Sunie. Il resta plantĂ© devant, le corps droit comme une barre de fer et le visage sans la moindre traces d'Ă©motions. Machinalement, il finit par dire d'un ton froid et direct "Vous avez rendez-vous avec mon maĂźtre, immortelle hybride." VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 FĂ©v 2010 - 1701 Vigortsen avait Ă©tĂ© surpris d'entendre un violon. Il sortit des toilettes oĂč il Ă©tait allĂ© se dĂ©barbouiller puisque rentrant d'une poursuite d'un criminel mortel qui c'Ă©tait terminĂ©e pour se dernier derriĂšre les barreaux. A peine fut-il sortit qu'il reconnu Sunie, SA Sunie, jouant sur un superbe violon en Ă©bĂšne. Il s'adossa Ă  la porte, en retrait dans l'ombre pour ne pas la perturber et fut embarquĂ© par les sentiments de sa jeune arrĂȘta de jouer, il resta dans le vague des Ă©motions durant quelques minutes, l'observant s'asseoir sur sa chaise. Il fini par se dĂ©cider Ă  la rejoindre lorsqu'un immortel aux sombres ailes et Ă  la feau menaçante s'approcha d'elle. Il n'aimait pas ce personnage pieds nus vĂȘtu d'un bout de tissu crasseux, il l'aima encore moins lorsqu'il entendit ce qu'il dit Ă  Sunie. *Qu'est-ce que c'est que cette histoire de rendez-vous?* Se dit-il amĂšrement. L'instinct lui conseilla d'ĂȘtre mĂ©fiant, aussi dĂ©cida-t-il de se diriger vers la porte du en marchant, il glissa une main dans la poche droite de son manteau et referma la main sur la paire de menottes. Il se dĂ©plaçait silencieusement, l'air de rien. Son comportement ne pouvait le trahir puisqu'il avait l'habitude de suivre ses cibles et que jamais il n'avait Ă©tĂ© repĂ©rĂ©. Lorsqu'il passa Ă  quelques mĂštres dans le dos de l'immortel ailĂ©, il jeta un regard Ă  sa douce et lui fit un clin d'oeil. Ce petit signe disait *Ne t'inquiĂšte pas, je suis lĂ *. Il attrapa sa biĂšre sur la table et s'adossa Ă  un pilier, seulement cinq mĂštres derriĂšre toujours dans la poche fermĂ©e sur les menottes, il attendit prĂšs Ă  bondir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 FĂ©v 2010 - 2029 Cypher regarda l'arriver de virgotsen d'un air froid et impassible. Il vu de coin de l'Ɠil cette ĂȘtre peu plaisant. Il Ă©tait sur ses gardes. Comme de nombreux immortels dans l'auberge d'ailleurs. Il gardait nĂ©anmoins le regard sur Sunie. Il parlait machinalement en gardant un ton froid. "Je me rĂ©pĂšte, vous avez rendez-vous avec mon maĂźtre Aemon Targaryan. Sur son ordre, je dois vous mener Ă  lui. Je n'ai pas reçût de directive sur la maniĂšre de vous conduire Ă  lui. Je ne cherche pas Ă  faire un massacre, mais les ordres de mon maĂźtre sont immuables. Je vous demande donc de me suivre, de votre plein grĂ©. Sans quoi hĂ©las, je devrai prendre des parla Ă  l'attention de la foule. "Je n'ai aucune instruction sur vous, immortels. Je ne suis venu que pour reconduire madame. Je ne pense pas que personne ici n'a d'objection ? d'ailleurs, la dĂ©cision vous reviens." SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1347 Sunie terminant de ranger son violon lorsque SamaĂ«l laissa entrer un ĂȘtre Ă©trange qui ne semblait pas ĂȘtre le bienvenu. On aurais dit un cadavre tant sa peau Ă©tait terne et ses habits laissaient vraiment Ă  dĂ©sirer. Il avait quelque chose de terrifiant, sa posture, son ton, mais surtout sa faux ne lui donnaient pas un aspect trĂšs commode. Lorsqu'il se dirigea vers elle Sunie se figea, que pouvait-il bien lui vouloir. Lorsqu'il s'adressa Ă  elle, son ton lui glaça le sang, il Ă©tait plat et fixe, comme une machine et cet homme connaissait ses origines hybridĂ©s, qu'Ă©tait-il donc. Il lui dit qu'elle avait un rendez-vous avec quelqu'un puis, lorsqu'elle ne lui rĂ©pondit pas, il ajouta que ce n'Ă©tait pas un rendez-vous mais bien une demande Ă  ne pas refuser. Il ne semblait pas trĂšs amical, menacer la foule d'immortels prĂ©sents dans l'ange cornu n'Ă©tait pas une mince affaire. Elle avait vu Vigo, quand elle avait croisĂ© son regard celui-ci lui avait fait un clin d'Ɠil pour qu'elle sache qu'il Ă©tait lĂ  et prĂȘt Ă  agir. Sunie rassembla tout son courage et s'adressa au valkar lui faisant face"Je suis dĂ©solĂ©e de vous dire que votre *rendez-vous* ne m'intĂ©resse pas, je ne connais pas votre maitre et je n'ai donc rien Ă  lui dire, en plus vous me parlez sans vous prĂ©sentez et vous voulez que je vous suive sans discutions, non mais quel manque de classe. Vous croyez vraiment que je vais suivre quelqu'un d'armĂ© et qui me menace sciemment d'utiliser la force si je suis contre. Partez d'oĂč vous venez oiseau de malheur, vous gĂącher l'ambiance."Sunie ne savait pas trop si c'Ă©tait une bonne idĂ©e de refuser mais elle n'allait tout de mĂȘme pas suivre cette chose qui semblait ĂȘtre un valkar mort. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1712 Vigortsen grimaça lorsqu'il entendit la rĂ©ponse de Sunie, cela ne prĂ©sageait rien de particuliĂšrement bon. Si le valkar l'Ă©nervait trop, il risquait de voir Liliana prendre le contrĂŽle, et lĂ  tout aussi puissant qu'il fĂ»t c'est Ă©tait fait de lui, Ă  coup voici que l'autre s'adressa Ă  toute l'assemblĂ©e. Lorsqu'il demanda si quelqu'un voyait une objection Ă  se qu'il embarque Sunie, Vigo s'Ă©tait dĂ©jĂ  Ă©lancĂ©. N'Ă©tant qu'Ă  cinq mĂštres et dans une salle basse de plafond, le Valkar pour peu qu'il remarque Vigo qui se trouvait dans son dos, ne pourrait user de ses ailes. Mais Ă  la vue de la distance qui les sĂ©paraient, de l'habiletĂ© de Vigo Ă  fondre en silence sur sa proie et du fait que l'autre lui tournait le dos, c'Ă©tait presque impossible qu'il fasse quelque chose, d'autant que l'endroit Ă©tait fort allait user d'une technique d'apprĂ©hension fort peu commune. Il allait user du poids du valkar contre lui. Au dernier instant de sa course, il fit une glissade afin de faucher les chevilles de l'oiseau maudit. Cela comportait plusieurs le valkar sautait juste avant que vigo ne le fauche, ne pouvant user de ses ailes, il retomberait sur lui, mettant ses chevilles Ă  portĂ©es des rĂ©ussissait Ă  se rattraper plus ou moins aprĂšs avoir Ă©tĂ© fauchĂ©, Vigo n'aurait qu'Ă  tendre la main pour lui passer les menottes aux tous se passait comme prĂ©vue, le valkar tomberait en arriĂšre et viendrait s'emprisonner tout seul dans les menottes, grace Ă  son propre le valkar Ă©tait assez rĂ©actif pour sauter en avant, Vigo le cueillerait Ă  l'atterrissage grĂące Ă  une sautait en arriĂšre, se serait encore plus facile, il lui suffisait d'attendre que les chevilles passent Ă  portĂ©es de ses passer les menottes Ă©tait LA spĂ©cialitĂ© de trĂšs rapide, l'effet de surprise Ă©tait total du fait de l'attaque totalement silencieuse que Vigo tous les cas, Vigo avait fait sortir sa lame de sa manche, prĂšs Ă  l'utiliser si besoin ce qui normalement ne devait pas ĂȘtre le cas. Si tout se dĂ©roulait bien, Vigo aura passĂ© les menottes avant mĂȘme de devoir user de sa lame. En thĂ©orie, le valkar n'avait aucun moyen d'Ă©chapper aux menottes grĂące Ă  cette attaque et une fois qu'il serait prisonnier ne serais-ce que de l'un des bracelets, tous ses pouvoirs seraient annulĂ©s. Il deviendrait simple mortel ailĂ© et armĂ© d'une valkar Ă©tait idiot. En entrant dans la taverne, il annulait sa plus grande force, celle de Ă©dition par Vigortsen le Jeu 11 FĂ©v 2010 - 300, Ă©ditĂ© 2 fois CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1853 Cypher regarda la demoiselle, il n'en avait vachement rien Ă  faire. Il Ă©couta les paroles de l'hybride sans la moindre expression faciale. Il en avait rien Ă  foutre de la ramener en morceau. il allait poursuivre sa conversation lorsque Virgotsen fonça en direction de l'immortel. il effectua un placage, dans un plus grand des silences, avantages que les sens amĂ©liorĂ©s de Cypher soit toujours actifs. il effectua donc son placage et tenta de faucher les chevilles du Valkar. Sa tentative de placage ne s'effectua cependant pas, comme il l'avait prĂ©vu. Lorsque l'attaque principal de Virgotsen fut effectuĂ©, Cypher d'une simple action de pensĂ© activa sa vitesse surhumaine. ContrĂŽlant celle-ci avec la maĂźtrise d'un MarĂ©chal, il propulsa son corp d'un saut rapide et ne utilisant son dernier pouvori de cĂ©lĂ©riter plana un peu un plus loin. Il contourna avec une agilitĂ© et une vitesse surprenante le corps de Virgotsen qui ce relevait de son placage. Avec une vitesse surnaturelle, il lui porta un coup de pied ossature mĂ©lange entre du titane et de l'acier - poids total du corps environ 3 tonnes. Il stoppa directement Ă  quelques dizaines de mĂštres du Luna. il avait peu ĂȘtre perdu ses ailes, mais la cĂ©lĂ©ritĂ© d'ArnĂ©us Valkar avait Ă©tĂ© sa spĂ©cialitĂ©. DerniĂšre Ă©dition par Cypher le Jeu 11 FĂ©v 2010 - 1549, Ă©ditĂ© 1 fois SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 10 FĂ©v 2010 - 2343 Sunie ne vit pas Vigo se prĂ©parer et fut surprise lorsqu'il s'attaqua Ă  ce drĂŽle d'oiseau. Mais lui apparemment ne fut pas surpris le moins du monde et esquiva sans mal l'attaque tout de mĂȘme bien planifiĂ© de Vigo. Ce n'Ă©tait pas tant sa vitesse de rĂ©action qui l'Ă©tonna mais la force avec laquelle il envoya Vigo valser contre le mur en un seul coup de pied. Sur le coup Sunie figea sur place, il venait tout de mĂȘme de frapper son amant mais pourquoi avait-il fait cela. Puis une fraction de seconde plus tard elle Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© de lui pour essayer de le rattraper avant qu'il ne tombe au sol. Comment elle avait fait cela, elle n'en avait pas la moindre idĂ©e, mais elle rĂ©ussit, sans toutefois rattraper Vigo, Ă  empĂȘcher celui-ci de se cogner lourdement Ă  terre. À peine la scĂšne reprenait sa vitesse normale et que les gens s'exclamaient de ce qui venait de se passer que Sunie Observait Vigo sous toutes ses coutures pour voir s'il Ă©tait blessĂ©."Vigo, ca va, pourquoi t,a fait ca, fallait pas, ca va?"Elle resta ainsi dos Ă  Cypher afin de s'occuper de Vigo, elle n,en Ă©tait pas moins alerte mais son amant Ă©tait peut-ĂȘtre blessĂ© et elle tenait Ă  s'occuper de lui s'il Ă©tait blessĂ©. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 FĂ©v 2010 - 2024 Vigortsen ne compris pas complĂštement ce qu'il se passa. Il reçu un coup de pied extrĂȘmement violent qui l'envoya voler un peu plus loin, il s'Ă©crasa contre le mur, mais grĂące Ă  une paire de mains, il ne s'Ă©croula pas trop mĂ©chamment au sol. C'est donc un peu sonnĂ© et les cottes endoloris qu'il se redressa sous le regard de Sunie."Ca va, ça va, merci. Il frappe fort le bougre."Il posa sa main sur l'une des Ă©paules de Sunie et nota la couleur jaune de ses yeux. Il se redressa, chancela briĂšvement avant de se mettre debout puis regarda Sunie. Il lui parla dans un murmure Ă  peine audible mĂȘme pour elle."DĂšs que tu le peux, sauve toi et fonce chez moi, je te rejoins."Puis immĂ©diatement aprĂšs, il se tourna vers le "valkadavre", se postant devant sa compagne. Il avait eu suffisamment de rĂ©flexes pour ne pas lĂącher ses menottes lors de son Ă©chec. En revanche, il avait eu beaucoup de chance de ne pas s'empaler lui mĂȘme sur sa propre plongeĂąt ses yeux dans ceux de l'oiseau et ce dernier pouvait y lire la dĂ©termination et la colĂšre."Au cas ou cela t'aurais Ă©chappĂ© oiseau de malheur, elle ne veut pas te suivre. Si ton maitre veut lui parler il n'a cas se bouger le cul au lieu d'envoyer son chien de garde. Menacez encore une fois ma compagne et vous ĂȘtes une volaille morte qui me servira de dĂ©jeuner Ă  NoĂ«l."Il Ă©tait bien remontĂ© et attendit la rĂ©ponse Ă©ventuelle de l'autre. Il reculait doucement vers la porte en poussant Sunie dans cette direction, toujours en se tenant entre elle et le valkar. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 FĂ©v 2010 - 2126 [i]Cypher fut trĂšs surprit de ne pas avoir causĂ© plus de dĂ©gĂąts. Dommage... il aurait aimĂ© rendre le combat rapide. Puis, il vu l'immortel qui s'Ă©levait devant lui. Bravoure ? Cela ne voulait rien dire pour l'ancien Valkar. " Tu parle immortel ? Dommage que de part mon coup, je n'aille pas couper ta langue. Sa m'aurait Ă©viter d'entendre tes menaces. Moi un simple poulet ? Je te trouve bien faible, pour voir Ă©tĂ© projeter si loin, par une simple poule. D'ailleurs, j'ai trĂšs mauvais goĂ»t. De nombreux immortels, s'y sont cassĂ©e bien des dents. "Lorsque Virgotsen poussa Sunie vers la porte, l'ange de la mort poussa un soupir. Il regarda rapidement le plafond... deux Ă©tages... hummm...plancher de bois verni ? " Elle peut courir, mais elle ne peut rien contre moi, ou mon maĂźtre. TĂŽt ou tard, mon maĂźtre viendra la quĂ©rir. Alors ? Tu vas t'Ă©carter ? OĂč je vais ĂȘtre obligĂ© de dĂ©truire ton code gĂ©nĂ©tique ? Je n’ai aucune objection Ă  te combattre, mais mon devoir n'est pas de te tuer."[/i] Aemon TargaryenNombre de messages 115Date d'inscription 07/11/2009Sujet Re Comme jadis... Mar 16 FĂ©v 2010 - 009 Une ombre Ă©tait poster dans la pĂ©nombre. L'attente Ă©tait terrible mais le grabuge Ă  l'intĂ©rieur de l'Ă©tablissement laissait prĂ©sager que le plan avait bel et bien mis en marche pour la capture de l'hybride. À la moindre vue de la sortie de celle-ci l'ombre entrerait en action. Attendant sa proie avec impatience avec une salve d'anesthĂ©siant dans ses deux mains au moindre cri Marcus se tenait prĂȘt ainsi que Targaryen juste sur le mur oĂč menait la porte que sa crĂ©ation avait emprunter. Bien sur il pourrait entrer mais il valait mieux passer inaperçu pour le moment. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 17 FĂ©v 2010 - 1149 Sunie recula derriĂšre Vigo et le laissa la pousser vers la porte, aprĂšs tout comment pouvait-elle espĂ©rer faire quoique ce soit, elle n'utilisait ses pouvoirs que de façon instinctive et souvent ceux-si ne voulaient pas fonctionner lorsqu'elle le voulait. Leur position n'Ă©tait pas prĂ©caire mais vu la vitesse Ă  laquelle le valkar bougeait, elle pouvait le devenir bien vite. Sunie regardait le dos de Vigo, se rappelant toutes les cicatrices qu'elle y avait vu, voulait-elle vraiment qu'il se risque Ă  en cumuler une autre, ou pire. Mais elle savait qu'aller avec cette chose qui ressemblait Ă  un valkar ne pouvait que lui amener des problĂšmes, peu importe qui Ă©tait son maitre, elle ne voulait pas finir comme cet homme. Mais que faire?Soudain tout devint noir, un noir d'encre insondable, seule une petite lueur rouge brillait au loin, semblant ĂȘtre Ă  des kilomĂštres. En un clin d'Ɠil la lueur Ă©tait devant elle, une belle orbe rouge sang similaire Ă  du verre, la lumiĂšre provenait du plus profond de la petite sphĂšre qui devait ĂȘtre grosse comme le poing. Sunie tendit la main vers celle-ci et entendu une voix, la voix qu'elle damnait Ă  chacune de ses pertes de contrĂŽle, la voix de sa NĂ©mĂ©sis, Liliana."Alors, dans le trouble encore une fois?"Elle ne semblait toutefois pas aussi haineuse qu'Ă  l'habitude, plutĂŽt irritĂ©e et ironique. Sunie ne savait pas trop quoi faire, elle regarda autour, Ă  perte de vue il n'y avait rien, pas de sol, pas de murs, que cette petite orbe. Qu'allait-elle donc faire avec elle, Ă  chaque fois qu'elle lui parlait elle se sentait faible et Liliana lui volait les commandes mais cette fois il n'en Ă©tait rien."Alors, il t'as coupĂ© la langue sans que tu t'en rendre compte?""Non, qu'est-ce que tu veux salle garce."Liliana Ă©clata de rire"Alors, tu n'as rien d'autre Ă  faire que m'insulter? Qu'est-ce que tu compte faire contre cet espĂšce de valkar, pleurer, demander Ă  maman de venir t'aider? Pour une fois que je te demande ton opinion, t'as pas Ă  te plaindre.""Quelle sournoiserie es-tu en train de me faire cette fois? OĂč est-ce qu'on est en premier, pourquoi tu n'a pas pris le contrĂŽle tout de suite comme Ă  ton habitude espĂšce de pute.""Mais ma parole, arrĂȘte de me jeter des compliments, tu va me faire rougir. Je t'offre de l'aide et tu ne semble pas comprendre que je suis autant en danger que toi, Ă  ce que je sache on a encore le mĂȘme corps, non? Alors tu va me laisser contrĂŽler pour lui foutre une raclĂ©e parce que ton baiseur professionnel d'amoureux m'a... BlessĂ©e avec ses menottes Ă  la con, normalement je crois que nous devrions nous voir face Ă  face en reflets de miroirs, voilĂ  ce qu'il me reste, pas beaucoup j'en consent mais je suis encore lĂ  et moi je les contrĂŽle les pouvoirs, pas toi.""Et alors, ce n'est pas ton corps, c'est le mien, Ă  chaque fois oĂč tu prend le contrĂŽle tu fout tout en l'air et tu fait des choses qui me dĂ©goutent. Et si tu est si faible, comment tu ferais pour garder le contrĂŽle de toutes façons."C'est lĂ  le problĂšme j'ai besoin de toi, je ne dit pas que je t'aime et t'embrasserais, j'ai besoin de toi et sa s'arrĂȘte lĂ . Tu as tout ce qu'il me manque prĂ©sentement, le contrĂŽle, l'Ă©nergie, la vigueur, vois tout ce qu'il me reste, je peux Ă  peine survivre. Et je ne voudrais pas jouer les casse-pieds mais si je meurs tu ne vaudra pas mieux, tu mourras aussi. Alors, devant l'impasse, il ne reste qu'une seule option, accepte moi, intĂšgre moi, ne faisons qu'une, nous serons plus fortes et tu pourra survivre, n'essaye pas de dire qu'il y a une autre issue, tu l'as goutĂ© aussi bien que moi, il y a une autre personne de l'autre cĂŽtĂ© de la porte, les effluves de l'air de mentent pas."Sunie se tut, elle avait raison... mais qui lui disait que ce n'Ă©tait pas une autre de ses sournoiseries bien mieux planifiĂ©e que les autres, aprĂšs tout n'Ă©tait-ce pas sa spĂ©cialitĂ©, mentir et tromper? Il y avait beaucoup Ă  perdre qu'elle dise oui ou non, ce valkar ou bien la garce qui partageait son corps, ne restait qu'Ă  savoir lequel reprĂ©sentait le plus grand mal."Alors tu dit que tu veux m'aider, pourquoi, qu'est-ce que tu as Ă  y gagner quelle conneries vas-tu faire?""Rien, pense-tu vraiment que je puisse faire quoique ce soit aussi affaiblie? Je prend ton estime comme un compliment mais j'ai Ă  peine la force de me garder en vie, encore moins celle de te dominer comme Ă  l'habitude, fait moi confiance, je ne pourrais pas faire plus de dĂ©gĂąts que ce que j'ai dĂ©jĂ  fait."AussitĂŽt que Liliana prononça le mot confiance Sunie Ă©clata de rire"Moi, te faire confiance? PlutĂŽt mourir aprĂšs une longue agonie."Liliana soupira, Sunie ne semblait pas comprendre Ă  quel point sa situation Ă©tait prĂ©caire, ses forces s'amenuisant Ă  simplement lui parler, la taille de l'orbe diminuant peu Ă  peu. Pour la premiĂšre fois SUnie lut de la franchise et non de la malice dans la voix de Liliana"Écoute, c'est ta derniĂšre chance, si tu ne dit pas oui je vais mourir et tu peux parier que je t'emmĂšne avec moi dans la tombe. Sois tu accepte de devenir une seule personne avec moi ou tu meurs avec moi, n'est-ce pas simple.""Tu as l'air tellement sincĂšre que je te croirais, si seulement tu ne m'avais pas pourrie la vie autant, peut-ĂȘtre que j'aurais dit oui, maintenant laisse moi partir d'ici."Un autre soupir de la part de Liliana"TrĂšs bien, tu me pousse dans mes derniers retranchements. Ne dit pas que tu ne l'aura pas cherchĂ©."L'orbe fonça alors sur Sunie, la percutant Ă  la poitrine, projetant celle-ci Ă  une distance qui lui sembla incroyable. Lorsque Sunie se releva elle ne voyait plus la sphĂšre rouge mais la lueur semblait Ă©mettre de son propre corps dĂ©sormais. Sunie se demandait quelle sournoiserie Liliana avait encore commise, lorsqu'elle se sentit mal, sa tĂȘte semblant vouloir exploser tant la douleur Ă©tait ceux qui l'observait, Sunie sembla absente quelques fractions de secondes, le regard dans les vapes. Puis elle s'effondra sur le sol sans plus de cĂ©rĂ©monies, son aura disparaissant d'un seul coup, ses yeux affichant alors la seule couleur qu'ils n'avaient jamais pris, le noir. Quiconque aurait pris le temps de regardĂ©, il aurait constatĂ© qu'elle ne respirait plus . Graduellement, son corps s'enveloppa d'une fumĂ©e noire et malodorante disparaissant de vue en quelques secondes. La fumĂ©e, toutefois, n'arrĂȘta pas son avancĂ©e et se rependit tel un tapis de brume sur le sol de l'auberge. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 FĂ©v 2010 - 1810 Son regard dorĂ© transperçait littĂ©ralement le valkadavre de ses reflets jaune comme deux Ă©tincelles devant un chalumeau, prĂȘts Ă  cracher de gigantesques flammes. Si ses yeux n’étaient pas particuliĂšrement terrifiants, on devinait une bonne puissance et une trĂšs forte dĂ©termination. Ainsi, le dĂ©nommĂ© Cypher put lire dans ces yeux que s’il voulait embarquer Sunie de force, une lutte terrible Ă©claterait en prĂ©ambule. C’est l’un des pouvoirs que confĂšre l’amour, celui de multiplier la force, la puissance et la dĂ©termination lorsque l’ĂȘtre tant aimĂ© est menacĂ©. De la mĂȘme maniĂšre qu’une mĂšre est prĂȘte Ă  donner sa vie pour sauver ses enfants, un amant irait jusqu’à condamner son Ăąme pour sauver sa distinguant tout cela dans les yeux de Vigortsen, le valkar put noter une autre chose, l’absence totale de peur, ce qui le rendrait encore plus farouche et dĂ©terminĂ©. Il put Ă©galement sentir que si l’amoureux de Sunie devait frapper, ce serait pour faire sentait sa douce reculer dans son dos, mais il sentait Ă©galement qu’elle le faisait avec hĂ©sitation. Aussi, passa-t-il sa main gauche dans son dos et attrapa celle de l’hybride qu’il serra fort. Il tourna alors la tĂȘte, gardant son Ɠil droit sur le valkar et lui murmura quelques mots. - Je t’ais jurĂ© que jamais je ne laisserais personne te faire du mal et que je ferais tous pour que l’on ne t’en fasse pas. Ne m’empĂȘche pas de tenir ma promesse quelle qu’en soit l’issue. »Il serra un peu plus fort encore la douce et tiĂšde main avant d’ajouter - Je t’aime mon cƓur. »Alors reprit le bras de fer que les deux immortels se lançaient du regard. Puis Vigo sentit quelque chose. Un bruit retentit derriĂšre lui, un bruit inquiĂ©tant. Il se retourna brusquement pour voir sa belle Ă©croulĂ© au sol, sa cage thoracique ne bougeant plus. Elle ne respirait devint comme fou et se jeta Ă  genou Ă  ses cĂŽtĂ©s. Ses yeux, noirs comme les tĂ©nĂšbres, une couleur qu’il ne leur avait jamais vue et qui lui glaça le sang. Une larme perla et c’est dans une rage titanesque qu’il se redressa, lentement avant de faire face Ă  l’auteur prĂ©sumĂ©. Pour lui, seul le valkadavre pouvait ĂȘtre responsable de cet Ă©tat. Il avait due user d’un pouvoir obscur quelconque et maintenant sa raison de vivre, son cƓur Ă©tait visiblement morte. - Qu’as-tu fais engeance dĂ©moniaque ? Que lui as-tu fais ? TU ES MORT ! »Les derniers mots avaient Ă©tĂ© prononcĂ©s dans une sorte de rugissement. Une voix mĂȘlant humain et loup. Vigo ne dĂ©sirait plus qu’une unique chose, atomiser le piaf. Aussi laissa-t-il sa place Ă  son second lui, un Ă©norme loup-garou couleur de l’or de prĂšs de deux mĂštres cinquante de haut. A la grande surprise de Vigo, il put garder le contrĂŽle de la bĂȘte ce qui Ă©tait habituellement impossible. Il se rendit alors compte que sa fureur Ă©tait telle que l’ñme de la bĂȘte Ă©tait terrĂ©e dans son coin, ne se rendit pas immĂ©diatement compte de la fumĂ©e noire et poussa un rugissement de fureur pure qui fit trembler le bĂątiment. La gueule grande ouverte, il dĂ©voila ses dents dont les plus grandes, les canines Ă©taient de la taille d’un poing fermĂ© du valkar. Son hurlement durant vingt bonnes secondes, secouant toutes les personnes prĂ©sentes et leur hĂ©rissant le poil. Puis il fit claquer sa mĂąchoire dans un CLAC » sec et la fumĂ©e lui enveloppa les pattes arriĂšre et il se retourna de avait disparue, invisible dans les volutes de cette Ă©trange fumĂ©e noire. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 20 FĂ©v 2010 - 2021 Deimos... SaletĂ© de cochonnerie. Comment... ah oui, elle est hybride. Cypher ce questionna un moment, Quel clan Ă©tait-elle ? Enfin... Cypher d'un puissant coup d'ailes, propulsa l'air. Comme un grand Ă©ventail, il propulsa la fumĂ©e dans le coin de la salle. Cette tentative avait pour but de simplement faire disparaĂźtre la fumĂ©e. Il regarda un court instant le plafond... Bonne idĂ©e. Puis... le Luna dans un rugissement bestial, transforma son corps en forme de guerre. Contrairement aux Sadizar, les Luna contrĂŽlaient leur forme de guerre. Au moins, les menottes ne serait plus un problĂšme, comment pourrait t'il les utiliser avec des aussi grosse pattes ? Cependant, les griffes de Virgotsen... risquait de lui faire mal. Durant les 20 secondes, ou le Luna hurlait, il en profita pour s'injecter une seringue. Puis d'une voie grave " En plus d'ĂȘtre une erreur de la nature, tu est complĂštement stupide. Tu pense me vaincre ? Parfait. Cependant, tu sera mort pour rien. Je n'ai rien fait Ă  cette hybride, elle a simplement utiliser le pouvoir de Deimos, des SĂ©thites. Tu veux donc toujours de battre ? BĂȘte ?"Il chargea sa cĂ©lĂ©ritĂ©, concentra son pouvoir et prĂ©para son corps Ă  esquiver. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mar 2 Mar 2010 - 1314 Le temps Ă©tait flou, depuis combien de temps Ă©tait-elle lĂ , qui Ă©tait-elle donc, laquelle des deux femmes dont elle avait les souvenir Ă©tait vraiment elle, comment savoir? D'ailleurs que c'Ă©tait-il passĂ©, pourquoi n'arrivait-elle pas Ă  se rappeler qui elle Ă©tait, ce qui venait de se passer ou encore tout ce qui prĂ©cĂ©dait ses interrogations. Tout cela Ă©tait des plus Ă©trange, comment cela pouvait-il arriver. Elle se dĂ©cida finalement Ă  ouvrir ses yeux mauves et fut surprise de ne voir qu'une sorte de brume noire, oĂč pouvait-elle bien ĂȘtre. Au bout de quelques secondes le brouillard se dissipa et elle pu voir ce qui l'entourait, elle ne fut pas Ă©tonnĂ©e de voir tant de gens tout comme de voir cette Ă©trange crĂ©ature poilue devant elle ou encore cet Ă©trange homme ailĂ© plus loin. Qui pouvait donc ĂȘtre tout ces gens? Elle rĂ©flĂ©chit quelques instants puis se rĂ©signa Ă  chercher dans les souvenirs Ă©tranges et sans sens des deux femmes qu'elle semblait si bien connaitre. Elle chercha une Ă©ternitĂ© qui ne dura qu'une seconde puis rĂ©ussit Ă  se faire une semblant d'idĂ©e sur le pourquoi elle Ă©tait lĂ . Elle Ă©tait venu jouer d'un instrument de musique qu'une des deux femmes savait trĂšs bien utilisĂ© puis l'homme aux ailes Ă©tait venu la voir en causant toute une commotion auprĂšs des autres personnes prĂ©sentes. Il faisait peur Ă  la femme avec l'instrument de musique mais pas Ă  la seconde qui semblait dĂ©terminĂ©e Ă  lui casser la gueule au sens propre du terme. Ensuite la bĂȘte poilue qui grognait devant elle face Ă  l'homme oiseau Ă©tait au dĂ©part un homme qui avait tentĂ© d'attaquer ledit homme oiseau sans grand succĂšs, s'attirant les foudres de la jeune femme au violon qui semblait tenir Ă  cette seconde de rĂ©flexion, elle s'assit lentement par terre, le dos contre le mur, ignorant les personnes autour ou leurs rĂ©actions, qu'avait-elle Ă  en faire de toutes façons. Elle chercha alors encore dans les souvenirs des deux femmes et vit qu'elle Ă©tait Ă  Paris, une grande ville... elle chercha immĂ©diatement ce que voulait bien pouvoir dire une ville et cueillit quelques concepts dans les souvenirs parfois clair de la jeune femme au violon, Sunie, ainsi se faisait-elle appeler puis dans ceux plus nĂ©buleux, incomplets et emplis d'Ă©motions noires de Liliana, l'autre femme. Une seconde passa pour toute la durĂ©e de ses recherche, mais qu'est-ce qu'une seconde pour elle, qu'est-ce que cela reprĂ©sente vraiment pour son esprit troublĂ© par l'absence de tout souvenir ou premiĂšre fois elle regarda autour d'elle et vit d'Ă©tranges choses qui soutenaient d'autres choses tout aussi Ă©tranges que deux ou trois personnes calmes portaient Ă  leur bouche. Comme les fois prĂ©cĂ©dant elle chercha dans les souvenirs de ses deux jeunes femmes et trouva ses rĂ©ponses, une table et un verre, apparemment des choses banales qui Ă©taient construites pour un but utilitaire. Mais qui Ă©tait-elle?Pourquoi Ă©tait-elle?OĂč?Pourquoi...hrp, dĂ©solĂ© pour le dĂ©lais, des Ă©vĂšnements dans la vie rĂ©elle m'ont volĂ© mon inspiration pour un temps hrp VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1247 Lorsque le valkadavre se mit Ă  battre de ses ailes dĂ©charnĂ©es, La fumĂ©e se retira lentement. Bien conscient que c’était la pire des choses Ă  faire, Vigo se retourna pour voir si Sunie Ă©tait toujours lĂ . Personne ne pouvait savoir en cet instant Ă  quel point il Ă©tait soulagĂ© de la voir s’asseoir contre un mur. Elle semblait totalement perdue mais au moins Ă©tait-elle en vie. La pression de l’adrĂ©naline redescendit d’un coup dans les veines de l’homme Ă  la vue du magnifique corps de sa chĂšre et tendre intacte. RassurĂ©, il fit un bond pour se tenir de nouveau face Ă  l’oiseau mal faisant et grogna lorsqu’il parla. Une fois que son adversaire eu terminĂ©, Vigo se dressa de toute sa hauteur et rĂ©pondit d’une voix rauque, grave et gutturale Ă  la limite du grognement. Je ne suis pas plus une erreur de la nature que toi. Je suis un Luna et toi un Valkar. Seulement tu n’es qu’un chienchien enragĂ© Ă  la botte de ton maitre prĂšs Ă  commettre des atrocitĂ©s pour t’attirer les gratitudes d’un ĂȘtre qui te tient en laisse. Un Valkar vient en aide aux faibles, il ne les attaque pas. Ton maitre n’est pas un Dieu qui a le droit de dĂ©cider de la vie des autres. S’il veut Sunie il lui faudra me tuer mais cela lui coutera la vie. De mĂȘme pour toi ose seulement l’effleurer et je rĂ©duirais ton squelette en poussiĂšre pour ensuite emballer le tout dans tes ailes en lambeau. Quiconque approchera Sunie avec des intentions nĂ©fastes apprendra ce qu’est la colĂšre d’un loup-garou. »Comme pour confirmer ce qu’il venait de dire, Vigo empoigna une table qu’il lança en direction du valkar de toute sa force. Autant dire que si le piaf n’arrivait pas Ă  l’esquiver, il se retrouvera projeter contre le mur du fond dans lequel il finirait incrustĂ©. Joli tableau en perspective. A l’instant mĂȘme oĂč il eu lancĂ© ladite table, Vigo se tourna vers sa dulcinĂ©e et l’attrapa avec son Ă©norme patte gauche. Il avait Ă  peine attrapĂ© la jeune femme qu’il plongea son regard dans celui de Sunie et qu’il lui dit rapidement Ne t’en fais pas ma Sunie, je vais te sortir de lĂ . »Surement put-elle voir dans l’or de ses yeux la sincĂ©ritĂ© de ses mots et l’amour qu’il avait pour elle, mĂȘme en cet instant 
 s’élança alors Ă  une impressionnante vitesse au vue de sa masse pas loin de 800 Kg vue sa taille en direction de la cuisine. Ainsi il pourrait fuir par la porte de derriĂšre sans avoir Ă  tourner le dos au valkar. Si le valkadavre se plaçait devant lui, il goutterait de sa patte et de ses griffes dont un seul coup l’enverrais assurĂ©ment voler sur prĂšs de dix mĂštres. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIÈRE TOI!Rang Amiral-MarĂ©chalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1838 Thilix dormait dans le fond de l'ange cornu et tout le raffut l'avait rĂ©veillĂ© mais il aimait la scĂšne qui se passait devant lui, une bataille Ă©tait imminente c'Ă©tait sĂ»r puis ça Ă©clata, le Luna Ă©tait en furie, le Valkar sur ses gardes, il adorait regarder les combats comme dans le ColisĂ©, ça lui rappelait le bon vieux temps ou il Ă©tait une des attractions prĂ©fĂ©rĂ©e de tous. Puis sa vodka se renversa Ă  cause de toute l'action, ce fĂ»t la pire erreur qu'ils avaient pu faire depuis le Pourriez-vous sortir? Moi pas vouloir dĂ©truire endroit ici, toujours ĂȘtre confortablement installĂ© et autres immortels pas faire chier moi mais si vous faire conneries dans cette place moi ĂȘtre obliger de sĂ©vir. Et quand moi ĂȘtre fĂącher moi pas ĂȘtre gentil gentil. Toi homme aux ailes, doit savoir ça! Et moi me foutre de tes griffes! Parce que toi pas ĂȘtre assez puissant contre moi! Alors moi ĂȘtre gentil aujourd'hui et demandez gentille ment, mais une seule fois, aprĂšs c'est le dĂ©sastre!Il regarda Cypher un moment puis maintenant la bĂȘte qui Ă©tait Ă©norme puis se retourna s'asseoir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 7 Mar 2010 - 1831 Cypher entendant la voie, du Sadizar qui l'avait battu, resta de marbre. Il avait un Loup Garou or en face de lui. "Tu gaspille ton talent Luna, tu est comme ceux de ta race territoriale et bestiale. Je te conseille de me remettre la fille, avant que ce combat ne soit nĂ©faste pour nous deux. Tu va essayer de me tuer ? Tu ne ressortira pas indemne de ce combat. Je peux te le jurer. Mon maĂźtre veux que je l'amĂšne Ă  lui. Ses intentions, je m'en balance. Puis le lycan, propulsa vers lui une table. Le Valkar, esquiva avec cĂ©lĂ©ritĂ©, le projectile improvisĂ© avec aisance et Ă  plus de 50km/h, propulsa son corps Ă  la poursuite du Loup. Il lui laissa nĂ©anmoins assez d'avance au Luna pour le laisser sortir par la porte de derriĂšre. Lorsqu'il furent a l'extĂ©rieur, il envoya en direction du Garou un coup de faux, allongeant la lame de celle-ci afin qu'elle lui tranche, derriĂšre les genoux. En utilisant une vitesse surhumaine et une prĂ©cision critique. Il voulait que le Loup Garou, tombe Ă  la renverse. Le combat n'Ă©tait pas terminĂ©. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 924 Le sadizar pouvait bien tenter quelque chose mais mĂȘme puissant comme il l'Ă©tait, si Vigo le percutait dans sa course il pouvait ĂȘtre sĂ»r d'avoir au moins le souffle coupĂ©. Mais le loup-garou n'en avait cure, il filait vers la porte qu'il ne prit mĂȘme pas la peine d'ouvrir, passant au travers comme s'il eu s'agit d'une tapisserie. Elle vola en Ă©clat qui se dispĂšrsairent un peu avait fait une dizaine de pas lorsqu'une trĂšs forte douleur le prit au genou gauche, genou qui cogna le sol, devenu faible. Pour le coup, le valkar allait vraiment avoir des problĂšmes. Vigo poussa un hurlement de rage et de douleur tellement monstrueux que tous ceux qui l'entendire durent sentir tous les poils de leur corps se fermemant Sunie contre lui, il usa de sa jambe droite pour sauter de deux bons mĂštres vers la feau qu'il empoigna de sa patte qu'il eu refermĂ© ses griffes sur le manche, il usa de toute sa force pour propulser le valkar contre un mur oĂč il espĂ©rait qu'il s'Ă©craserait. ImmĂ©diatement aprĂšs, il parti aussi vite que possible pour ramener Sunie chez lui afin qu'elle soit en lieu sĂ»r."Je ne t'abandonnerais pas Sunie, mĂȘme si je dois en mourir." CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 1833 Bordel... Son coup avait marchĂ©. Cypher fut propulsĂ© vers l'arriĂšre, intelligent le bestiaux. Cependant Voyant la force extrĂȘme dont disposait le Luna, le Valkar n'eu hĂ©las pas la vitesse d'esprit pour rĂ©agir aussi vite que lui. Il fut propulser directement sur le mur de l'Ange Cornu. Le corps de Cypher s'enfonça de quelques millimĂštre dans le mur. Le coup n'avait pas vraiment sonnĂ© le Valkar... Qui reparti aussitĂŽt Ă  la poursuite du Luna. Son but Ă©tait de rĂ©cupĂ©rer le colis... en vu du Luna, avec sa vitesse surhumaine, il propulsa en sa direction ses deux dagues en visant une fois la gorge et la seconde fois le jambes. Avec la grande vitesse ou ce dĂ©plaçait la bĂȘte... il lui serait trĂšs facile avec cette douleur d'ĂȘtre dĂ©sĂ©quilibrĂ©. De toute façon, un seul dart de son maĂźtre et l'immortel Ă©tait Ă  terre. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 13 Mar 2010 - 052 Elle ne bougea pas durant tout ce temps, Ă  quoi bon rĂ©agir, pourquoi rĂ©agir, elle ne faisait que se faire transporter dans les pattes d'une loup gĂ©ant et un homme ailĂ© semblait vouloir quelque chose. Étrangement, cela n'avait rien d'Ă©trange pour elle, aprĂšs tout, qu'en savait-elle. Elle laissa donc le loup la prendre et faire ce qu'il voulait pendant qu'elle cherchait encore Ă  comprendre ce qu'elle Ă©tait ou qui elle Ă©tait dans les souvenirs des deux femmes qu'elle semblait connaitre comme si elle avait Ă©tĂ© l'une d'elle a un moment puis l'autre ensuite. Puis le gros loup lui parla, il l'appela Sunie, comme la jeune femme qui savait jouer du violon, Ă©tait-elle celle-lĂ  alors? Mais dĂšs que cette pensĂ©e vint Ă  son esprit elle la rejeta, comment pouvait-elle ĂȘtre cette Sunie si elle en possĂ©dait les souvenirs mais rien d'autre. Elle ne rĂ©pondit donc pas au loup, ignorant en dĂ©duit donc qu'il devait la prendre pour une autre, peu-ĂȘtre que les deux femmes dont elle avait les souvenirs Ă©taient des jumelles et que sa jumelle Ă©tait cette Sunie... Puis elle se ramena Ă  l'ordre, elle cherchait une rĂ©ponse lĂ  oĂč il n,y en avait peut-ĂȘtre pas, mieux valait ne penser Ă  rien et attendre que les gens lui expliquent ce qui se passaient. Puis elle se rendit compte que plus elle fouillait les souvenirs des autres et utilisaient leurs concepts plus elle arrivait Ă  comprendre ce qui l'entourait. Elle profita de la cohue pour fouiller plus profondĂ©ment dans les souvenirs des deux femmes apparemment opposĂ©es. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 959 MalgrĂ© sa blessure, Vigo avançait vite, trĂšs vite. Pour soulager sa patte blessĂ©e, il s'Ă©tait baissĂ©, usant de sa patte avant droite. Coup de chance, il vit une dague passĂ©e lĂ  ou sa tĂȘte se trouvait une demi-seconde avant. Il sentit en revanche trĂšs bien la seconde lui percer la bruit qui suivit fut un mĂ©lange de chute sourde et de grognement. La lame l'avait dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et il avait juste put faire une vrille pour ne pas tomber sur Sunie, la collant contre son ventre il s'Ă©crasa sur le dos. Il savait qu'il pouvait continuer et encaisser encore nombre de blessures du fait de son imposante carrure, mais la prioritĂ© Ă©tait de protĂ©ger sa belle. Une idĂ©e lui vient alors Ă  l'esprit. Elle valait ce qu'elle valait, mais autant se mit Ă  hurler de façon Ă  ce que sa voix porte jusque dans l' SUNIE EST L'AMI DE VILYA ET CE VALKAR UN DEMON QUI LUI VEUT DU MAL! AIDEZ MOI A LA PROTEGER JE VOUS EN insupportable de devoir presque supplier ainsi, mais comme c'Ă©tait pour SA Sunie, il pouvait mettre son honneur dans sa se releva alors et retira la dague de sa cuisse avant de la propulser de toutes ses forces vers le valkadavre. Il baissa la tĂȘte vers la jeune femme et dans un souffle, il lui effleura le front de son gros il se mit en position debout, parĂ© au combat Ă  mains nues. Sur ce terrain, lĂ , il avait fois en ses capacitĂ©s et le valkar aurait du soucis Ă  se faire. Il se mis en position dĂ©fensive, en attente que l'autre attaque, colant Sunie contre jeune femme Ă©tait relativement bien protĂ©gĂ©e des potentiels coups puisque contre le ventre doux et chaud du loup-garou et enroulĂ©e dans la massive et puissante patte de Cypher venait attaquer, il se ferait trĂšs gravement amocher par les puissant coups de pattes et de griffes que distriburait seule chose pire qu'un Luna en colĂšre, c'est un Luna dĂ©fendant sa compagne. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIÈRE TOI!Rang Amiral-MarĂ©chalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 1023 -HAhahaha! Ça fait bien longtemps que moi pas avoir battus! Au moins 2 heures! Pourquoi pas!?Puis le grand Thilix sortit de la place et s'avança tranquillement jusqu'au cadre de porte pour regarder la bataille et savoir quel bord prendre, parce qu'un bord perdant n'est jamais intĂ©ressant selon lui. Il ne s'Ă©tait pas du tout rendu compte d'Aemon qui attendait lĂ -bas tranquillement et non plus de tout cette merde qui l'entourait, c'Ă©tait encore cette sorte de crĂ©ature qui avait essayer de tuer son amour, mais il y avait cet homme qui avait appelĂ© son nom, qui Ă©tait-ce? Il n'en avait aucune idĂ©e mais il Ă©tait massif et si il mourrait il pourrait rĂ©cupĂ©rer les os et... Mais en mĂȘme temps il Ă©tait dĂ©chirĂ© par le choix de tuer Cypher qui avait quasiment assassinĂ© sa bien-aimĂ©e. Il restait lĂ  et ne disait plus un mot. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 Mar 2010 - 1242 Cypher resta de glace, il recula de quelques mĂštres lorsque son attaque rĂ©ussit. Il ne voulait pas risquer, une attaque du Luna. MalgrĂ© son ossature de mĂ©tal, les griffes des Luna Ă©taient capable de trancher des mĂ©taux, donc... pas vraiment conseillĂ© d'en recevoir les coups. Sa cĂ©lĂ©ritĂ© lui permettrai d'esquiver de nombreux coups mais il n'en suffit que d'un dague fut propulsĂ© Ă  une vitesse excessive en direction de Cypher. Il Esquiva de justesse sa propre dague, qui termina sa trajectoire sur le mur. Lorsque Cypher entendit le Fauve hurler Ă  l'aide, il n'Ă©tait pas trĂšs Ă  l'aise. Que Thilix, un Sadizar puissant viennent aidĂ© une Luna ? Ce-lĂ  tiendrais de la fable. De plus comment le Luna avec pu savoir que Thilix et Vilya Ă©tait ensemble ? Encore une fois le nom de Vilya rĂ©sonna dans sa tĂȘte, comme une mine d'un temps passĂ© qui explose au moment ou on ne s'y attend pas. Il ramassa sa faux. " Tu manque de courage Luna ? Tu appel Ă  l'aide ? Remet moi la fille. Mes ordres, ne sont pas de te faire la peau. RĂšgle tes comptes toi-mĂȘme. Ta mĂšre ne sera pas toujours derriĂšres toi. Garde ta fiertĂ© de mĂąle."Il posa sa faux sur ses Ă©paules et attendit."Tu ne peux rien faire, Luna. Ta bien-aimĂ© est bien trop prĂ©cieuse Ă  nos yeux. Elle sera traquĂ© toute sa vie, par les immortels aussi bien que par les mortels. Tu lui Ă©viterait bien des tourments, si simplement tu nous la remet sans faire d'histoire. D'autre que nous viendrons... jours aprĂšs jours, la meilleur chose que tu a Ă  faire c nous la donner. Je te garanti, qu'elle sera traitĂ© avec dignitĂ©. Tu semble ĂȘtre un Luna puissant, sert toi de ta sagesse au lieu de tes muscles."Le ton de sa voie avait changĂ©, formulant les mots de maniĂšres normale. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Comme jadis... Comme jadis... Page 1 sur 2Aller Ă  la page 1, 2 Sujets similaires» Comme c'est beau les champs...Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumImmortel Paris L'Ange-CornuSauter vers
Rienqu’une larme dans tes yeux. C’est toujours ta seule rĂ©ponse. Quand je te dis qu’il vaudrait mieux. Ne plus se revoir nous deux. J’étais certain cette fois. Que rien ne me retiendrait. On se trompe quelques fois. Une larme a tout changĂ©. Rien qu’une larme dans tes yeux. Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € COMMENCEMENT. Corbeille AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet There's an ocean between us , Sookie . Lun 31 Jan - 2331 SOOKIE & HANNAH 2oh. Hannah, avachie dans son canapĂ©, regardait la tĂ©lĂ©, paisiblement, s'ennuyant mĂȘme. Elle regardait sa sĂ©rie favorite, Scrubs, elle connaissait chacun des Ă©pisodes par cƓur et rĂ©citait mĂȘme quelques rĂ©pliques. Cette sĂ©rie avait le don de la faire rire, car elle lui rappelait les souvenirs Ă  Vancouver avec Allan, son cousin. Ils passaient des nuits entiĂšre Ă  regarder les Ă©pisodes les un aprĂšs les autres, et rigolaient ensembles, un morceau de pizza sur la table basse et bien souvent une biĂšre pour Allan. Mais ce temps Ă©tait rĂ©solu, elle Ă©tait bel et bien seul, devant sa tĂ©lĂ©, Ă  regarder pour la Ă©niĂšme fois le baisĂ© entre Elliot et JD. Mais cette fois, aucun rire ne s'Ă©chappait de sa gorge, aucun sourire illuminait son visage, il y avait simplement une vingtaine de larmes, au bord de ses yeux prĂȘtes Ă  couler. Ses yeux noisettes brillaient dans l'obscuritĂ© du petit appartement, et seul la voix des acteurs brisait le silence de la journĂ©e qui se mourrait. Hannah se sentait seule, bien trop seule pour ĂȘtre heureuse, pourtant ici c'Ă©tait le paradis. Enfin, un paradis sans ses repĂšres. Et sans Allan. Dans un survĂȘtement dont le port devrait ĂȘtre interdit pour toutes les mannequins du monde tant il Ă©tait immonde, la jeune femme empoigna son cellulaire qui traĂźnait prĂšs d'elle. Sans rĂ©flĂ©chir, elle composa le numĂ©ro de son cousin. Quelques tonalitĂ©s se firent entendre, Hannah mit le haut parleur, et on dĂ©ccrocha. "_ Allo ?", Hannah ne rĂ©pondit pas, Ă©clatant en sanglot. Sa voix Ă©tait si rĂ©confortante, elle aurait voulu qu'il soit lĂ , tout prĂšs d'elle, pour la consoler, elle voulait se sentir en sĂ©curitĂ©, dans ses bras, mais il Ă©tait Ă  l'autre bout de la terre, loin d'elle. " _Hannah ? Est ce que tout va bien ? ", sa voix Ă©tait devenue un peu tendue, inquiĂšte. " _ Hannah, je t'entends pleurer, tes sanglots te trahisse, et s'il te plait parle moi .. " La jeune femme, d'un revers de manche, essuya les quelques larmes qui avaient couler le long de ses joues. " _ Allan .. je , j'arrive plus , j'en ai ma claque de ce pays , je veux revenir .. j'arrive pas sans toi .. mĂȘme les rĂ©pliques de Scrubs ne me font plus rire .. " Rien que de savoir que son cousin Ă©tait Ă  l'autre bout du fil lui suffisait Ă  sĂ©cher ses larmes et l'Ă©couter. Elle savait qu'il allait trouver les mots, comme Ă  peu prĂšs tous les soirs. " _ Ma belle Hannah, je veux pas voir une Cartwhite abattue, tu entends ça ? Alors, tu va enlever ce probable sur-vĂȘte que tu porte et qui te fais un gros derriĂšre, et tu va enfiler une belle robe et tu va sortir ce soir. Pas dans un endroit craignos hein ! Dans un bar chic tiens ! Et tu va penser Ă  ta nouvelle vie , bon sang Hannah ! Je t'ai vu sur les affiches d'Armani ! T'es incroyable et je laisserais pas un petit coup de blues te faire revenir et abandonner ce pour quoi tu es faite! De toute façon, si tu reviens, je t'ouvre pas la porte !" Hannah mĂȘla larme et rire. Il avait le don de la faire se sentir mieux. Le rire d'Allan raisonna Ă  l'autre bout du monde et ils continuĂšrent de parler durant quelques dizaines de minutes et en raccrochant, Hannah se sentait un peu mieux. Mais surtout, elle Ă©tait prĂȘte Ă  sortir, voir du monde, et elle se devait d'ĂȘtre souriante. Elle ne devait sous aucun prĂ©texte montrer aux autres ses faiblesses. Elle Ă©teignit la tĂ©lĂ©vision et fila dans la salle de bain. Elle prit une douche rapide, puis se prĂ©para de la tĂȘte aux pieds. Elle enfila une robe verte anis qui se mariait plutĂŽt bien avec ses cheveux blond. Un peu de rouge Ă  lĂšvres, du maquillage dĂ©licatement apposĂ© et une paire d'escarpin noir. Quelques bijoux pour habiller le tout et voilĂ  Hannah prĂȘte pour sortir. Elle aurait trĂšs bien pu promettre Ă  son cousin qu'elle sortirait puis finalement rester chez elle mais si il y avait bien une chose qu'elle ne supportait pas c'Ă©tait bien de trahir la confiance de ses proches. Il avait rĂ©ussit Ă  lui redonner de la motivation pour quelques temps et elle en profitait. Enfilant un manteau en lainage noir pour affronter le froid de la nuit, elle noua ensuite autours de son cou un foulard en soie qui la protĂ©gera des courants d'air baladeurs. Hannah, aprĂšs s'ĂȘtre parfumĂ©e un brin, empoigna son sac et quitta son appartement. Elle allait prendre un taxi et lui exiger de l'emmener dans un endroit huppĂ©. En moins d'un quart d'heure, la jeune femme se retrouva Ă  l'entrĂ©e d'un bar qui semblait assez remplie pour ĂȘtre amusant mais pas trop craignos. Parfait. La jeune femme paya le taxi puis avant d'entrer dans le bar, elle souffla un bon coup, elle allait ĂȘtre souriante, froide avec les autres pour se protĂ©ger, elle allait se trouver une proie Ă  croquer ce soir et elle s'amuserait bien. Plus facile Ă  dire qu'Ă  faire. VoilĂ  une demi heure que la jeune femme Ă©tait assise au bar, elle avait dĂ©jĂ  sirotĂ© trois vodka-pĂȘche et si ça continuait comme ça, elle n'allait pas faire long feu. Sa dĂ©prime avait repris le dessus et Ă  prĂ©sent, elle ne pensait plus qu'Ă  boire et se faire le mec qui Ă©tait au milieu de la piste, avec un fessier de rĂȘve et un dĂ©hanchĂ© Ă  faire pĂąlir Elvis Presley. Hannah qui n'Ă©tait pas assez ivre pour l'aborder resta au comptoir, Ă  critiquer les filles que son regard croisait. Il s'arrĂȘta d'ailleurs sur Sookie. Ahh ! Sookie ! La grande amie d'Hannah ! Une cruche oui ! Elle ne la supportait pas et elle allait peut ĂȘtre trouver sa distraction avec elle. DiscrĂštement, elle effaça d'un geste du doigt le Rimmel qui avait coulĂ© sous ses yeux et elle se repoudra les joues afin d'ĂȘtre plus pimpante. MalgrĂ© sa tristesse, un sourire de peste s'afficha sur ses lĂšvres. Son regard s'arma, hautain et glacial et elle observa Sookie jusqu'Ă  ce que celle ci daigne poser les yeux sur elle. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Dim 6 FĂ©v - 1543 Pourquoi Ă©tait-elle dans un bar alors qu’elle n’était mĂȘme pas sensĂ©e ĂȘtre ici ? Ah ouais ! Elle s’en souvenait maintenant
 Il avait fallut que la plupart des stripteaseuses de la boite oĂč elle travaillait veuillent fĂȘter l’arriver d’une toute nouvelle recrue d’une douceur Ă  faire pĂąlir toutes les petites saintes ni touche du coin
 Cette fille Ă©tait du genre Ă  ĂȘtre parfaitement calme, un sourire enfantin, un visage doux et un grand regard bleu ocĂ©an dans lequel on pouvait se perdre en quelques secondes mais derriĂšre toutes cet attirail enfantin se cachait une vraie petite peste chaude comme la braise
 Bah quoi ?! C’était l’entiĂšre vĂ©ritĂ© et savoir qu’elle allait faire partie du groupe n’était pas quelque chose qui enchantait vraiment une jeune femme aussi calme que Sookie. C’est vrai ! AprĂšs tout, l’entier personne de Bella Ă©tait bien montĂ© sur toute la douceur de la jeune femme, sa pudeur et sa douceur
 Si une autre venait Ă  prendre sa marque de fabrique et y apportait sa touche personnelle alors elle n’aurait bientĂŽt plus de clients du tout ! Quoi que
 Il fallait avouer qu’on pouvait bien deviner quelques vergetures sur ses cuisses plutĂŽt rondouillettes alors si un homme prĂ©fĂ©rait ce genre de femme, qu’il la prenne mais Sookie savait une chose Les hommes la choisissait plus sur son physique irrĂ©prochable, ce qu’elle pouvait dĂ©gager dans son attitude que n’importe quoi d’autre chez elle
 Et oui, Sookie Ă©tait ce genre de femme qui passait trois heures Ă  se prĂ©parer chaque soir parce que c’était bien lĂ  son secret pour avoir le plus d’argent possible et de pouvoir se permettre de prendre certains soirs pour pouvoir rester au calme chez elle Elle ne comptait que sur une seule chose Son physique de rĂȘve, sa peau lisse et douce, son visage dĂ©licieux, son ventre plat et la beautĂ© des dessous qu’elle pouvait porter
 Tout n’était qu’apparence dans son monde et c’était sĂ»rement pour ça qu’elle portait Ă  chaque striptease une perruque rose et des lentilles bleues
 Outre le fait que c’était pour cacher son identitĂ© aux hommes qui venaient profiter du spectacle, c’était aussi pour attirer l’attention avec le rose et capter les regards avec le bleu
 FutĂ©e la belle hein ! Elle savait d’ailleurs ce qui plaisait aux hommes parce que dĂ©s qu’elle voyait la satisfaction dans les regards elle retenait ce qui a plu et l’utilisait Ă  bon escient et c’est ainsi qu’elle gagnait autant d’argent, en vendant son corps de façon tout Ă  fait dĂ©gradante mais plus que lucrative ! Intelligente, elle aurait finalement pu devenir avocate mais qu’importe, elle avait finit stripteaseuse et elle ne pouvait plus revenir en arriĂšre aujourd’hui parce qu’elle ne dĂ©pendait que de ces soirĂ©es pour vivre et si elle voulait reprendre ses Ă©tudes, il Ă©tait un peu trop tard sachant que les Ă©tudes de droit Ă©taient plutĂŽt longues
 Non ? Et bien oui trĂšs cher ! Et ça, elle en avait entiĂšrement conscience et c’est sĂ»rement pour cette raison que la jolie demoiselle avait dĂ©cidĂ© que si elle prenait le boulot de stripteaseuse, s’en Ă©tait fini de tous ces plans de carriĂšre qu’elle avait pu faire dans sa jeunesse
 Et elle l’avait fait ! Aujourd’hui ses parents croyaient qu’elle Ă©tait une serveuse tout ce qu’il y a de plus respectable alors qu’en rĂ©alitĂ© elle Ă©tait une stripteaseuse plutĂŽt connue dans le monde de la nuit et plutĂŽt quottĂ©e qui Ă©tait payĂ©e Ă  l’heure et ça, c’était du luxe ! Finalement, elle s’en sortait plutĂŽt bien, elle ne connaissait que trĂšs peu de monde Ă  Sidney et vivait surtout la nuit, une vraie noctambule qui se dĂ©cide parfois Ă  aller faire les courses aprĂšs le boulot, couverture d’une couche de maquillage impressionnante qui pouvait parfois surprendre la caissiĂšre qui restait lĂ  Ă  la fixer comme si elle Ă©tait une folle sortie de l’asile alors qu’en rĂ©alitĂ© elle sortait seulement du boulot
Pourquoi avait-il fallut qu’elle accepte cette foutue invitation pour l’arrivĂ©e d’une nouvelle peste dans la bande ?! Elles avaient toujours Ă©tĂ© un groupe de cinq jeunes femmes, les meilleures dans la boite oĂč elle travaillait, elles ne sortaient jamais ensembles mais dĂ©s qu’elles se croisaient, elles s’adressaient un petit clin d’Ɠil significatif. Elles ne se cĂŽtoyaient que dans la boite alors pourquoi faire diffĂ©remment pour une idiote ?! Le regard plongĂ© dans son verre de Whisky pur, la jeune femme se demandait ce que faisait quelqu’un d’autre
 S’il bossait ce soir, si elle pouvait peut-ĂȘtre l’appeler histoire qu’ils se voient au lieu qu’elle se fasse chier ici avec une bande de tarĂ©es idiotes qui s’étaient mises Ă  danser dans un coin du bar pendant qu’elle, elle restait assise au bar Ă  se regarder dans le reflet marron du liquide dans son verre. VDM
 Elle en avait marre de cette vie, elle en avait marre de porter des dessous un peu trop petits pour elle histoire d’allumer toute une bande de connards qui ne voulaient qu’elle, son corps et non la connaĂźtre
 Caleb
 Heureusement qu’il n’avait pas voulu ça d’elle sinon il serait mal tombĂ© et il serait sĂ»rement retournĂ© bien vite dans son coin tellement elle dĂ©testait ce genre de choses
 Baissant vite fait sa robe sur ses cuisses, la jeune femme soupira, elles l’avaient naturellement obligĂ©e Ă  sortir un Jeudi soir, alors que ce soir-lĂ  elle restait toujours chez elle dans des vĂȘtements trop grands pour elle. LĂ , elle portait une robe collante, noire qui attirait les regards, chose qu’elle dĂ©testait par-dessus tout, elle avait du se maquiller pour une nulle
 GĂ©nial ! Elle aurait peut-ĂȘtre pu dire non aprĂšs tout, elle aurait seulement eut Ă  dire qu’elle ne pouvait pas, qu’elle sortait avec quelqu’un
 Pour qu’on l’emmerde encore plus et lui demande qui Ă©tait ce fameux rendez-vous et plus dĂ©tails pour ensuite le lui piquer
 Non, dĂ©cidĂ©ment, elle n’allait sĂ»rement pas parler de Caleb Ă  personne, elle allait le garder seulement pour elle, comme un souvenir dĂ©licieux qu’on laisse revenir en mĂ©moire seulement lorsqu’on veut ĂȘtre heureux. D’ailleurs, celui-ci lui revint bien vite en mĂ©moire et elle finit par sourire bĂȘtement Ă  son verre avant de relever les yeux vers le serveur qui l’observait depuis quelques minutes dĂ©jà
 Je crois vous connaĂźtre
 ». Oups
 Non, non, non ! Elle ne pouvait pas ĂȘtre reconnue aussi facilement ! Elle eut un petit sourire gĂȘnĂ© et fronça les sourcils, faisant dĂ©jĂ  dĂ©filer la centaine de visage d’hommes Ă  qui elle avait bien pu faire un striptease, cherchant si cet homme l’avait reconnue ou si il l’avait seulement vue un jour auparavant en la bousculant ou quelque chose comme ça
 Pourtant, il ne figurait pas du tout sur sa liste noire alors qui Ă©tait-il
 La jeune femme finit par hausser les Ă©paules avec un sourire entendu avant de dire d’une voix presque dĂ©daigneuse sans rĂ©ellement le vouloir Oh vous savez, j’ai un visage plutĂŽt commun
 ». Baissant Ă  nouveau son regard sur son verre, elle soupira vivement pendant que l’homme en question s’éclipsait au profit de ses clients. Elle avait eut chaud aux fesses parce que s’il se mettait Ă  hurler dans tout le bar qu’elle Ă©tait une stripteaseuse, elle se sentirait bien conne comme fille ! Sa vie Ă©tait en jeu, personne ne devait savoir qui elle Ă©tait la nuit, au boulot. Se retournant, la jeune femme se permit un regard vers la bande de fille se dĂ©hanchait Ă  prĂ©sent comme des chaudasses devant une bande d’hommes assoiffĂ©s
 Apparemment, elle n’en avait pas assez de leur boulot, il fallait qu’elles continuent en dehors, et en plus, sans ĂȘtre payĂ©es ! Finalement, elle Ă©tait trĂšs bien au bar, au calme, pas du tout embĂȘtĂ©e par une bande de folles, d’ailleurs, c’était comme si elle n’existait plus du tout et ça c’était trĂšs bien pour elle ! Manquerait plus qu’elles lui disent de venir se trĂ©mousser et lĂ  elle se mettait Ă  hurler en s’accrochant au bar pour ne jamais y aller
 Tiens
 Alors qu’elle se retournait vers le bar, la jeune femme aperçu une jolie blonde qu’elle reconnu immĂ©diatement
 Hannah
 Mais que faisait-elle seule au monde dans un bar ?! En tout cas, elle n’allait pas lui parler Ă©tant donnĂ© qu’elle Ă©tait toujours lĂ  pour la descendre et que, franchement, ce soir elle n’avait pas trop envie de se faire emmerder par la reine des petites pestes
 Elle baissa donc rapidement son regard vers son verre en espĂ©rant pour qu’elle ne l’ait pas vue et pour qu’elle ne dĂ©cide pas de se pointer par ici
 Sinon, ça allait finir en carnage
 InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Mar 15 FĂ©v - 2120 Ce bar aux allures chic avait finalement un fond qui agaçait Hannah. Ce genre de pseudo bar moderne oĂč la fausse luxueuse jeunesse passaient leurs soirĂ©es. Hannah n'Ă©tait pas issue d'une famille trĂšs riche, elle venait d'une famille plutĂŽt aisĂ©e certes mais qui exerçait dans le domaine artistique. Hannah n'avait pas Ă©tĂ© habituĂ© au soirĂ©e mondaine, au champagne Ă  gogo et aux robes de crĂ©ateurs. Elle avait grandit entre deux sĂ©ances photos de son pĂšre et les piĂšces de théùtre de sa mĂšre. Pourtant, aujourd'hui, Hannah agissait comme une garce, elle se rebellait contre ce monde qui lui avait enlevĂ© sa sƓur. Elle voulait faire souffrir les autres autant qu'elle avait souffert. Elle se protĂ©geait aussi, devenant insupportable, faisant rager les autres femmes en allumant leurs conjoints, et se faisant passĂ© pour la salope de service. Cette carapace de haine permettait Ă  Hannah de tenir le coup, de ne pas s'effondrer. Elle s'interdisait de craquer, elle devait ĂȘtre forte. C'Ă©tait ce qu'Allan lui avait dit, c'Ă©tait le seul sur cette terre qui connaissait Hannah ainsi, faible, dĂ©truite et rongĂ©e. Lui seul avait le don de la motiver, lui seul pouvait la consoler. Il Ă©tait le seul Ă  connaĂźtre la Hannah dĂ©truite qui s'endormait en sanglot le soir et qui souffrait chaque seconde. Toute la superficialitĂ© qui se dĂ©gageait d'Hannah Ă©tait fausse, elle n'Ă©tait pas une fille comme ça, loin de lĂ . Ce soir, elle se fichait bien de la beautĂ© de la robe Armani qu'elle avait sur les Ă©paules , tout autant que ses Louboutins qui lui faisait mal aux pieds. Elle Ă©tait ici avant tout pour aller mieux. Elle devait optimiser. Elle respira un bon coup puis le sourire qu'elle avait perdu s'afficha sur son visage rempli de malice et de mĂ©chancetĂ©. Elle venait de croiser le regard de Sookie. La jeune brune Ă©tait au bar, un peu plus loin. Hannah l'avait bien Ă©videmment vu et elle s'apprĂȘtait Ă  lui faire une petite crasse, rien de bien mĂ©chant, juste amusant. Avant d'agir, Hannah commanda un nouveau verre de vodka songeant Ă  sa future Hannah et Sokkie ce n'Ă©tait pas l'amour fou. En fait, c'Ă©tait Hannah qui l'avait pris dans sa ligne de mir. Elle Ă©tait un peu son souffre douleur. Elle passait ses nerfs sur elle, sans scrupules. Sookie et Hannah ne se connaissait mĂȘme pas et en y rĂ©flĂ©chissant bien, Hannah ne connaissait rien d'elle hormis son prĂ©nom qui avait, soit dit en passant, le don de l'agacer. Elle ne se souvenait pas oĂč et comment elles s'Ă©taient rencontrĂ©es mais elle s'en fichait pas mal. Son seul but et sa seule envie c'Ă©tait de voir l'angoisse et la panique dans les yeux noisettes de la jeune brune. S'enfilant avec rapiditĂ© sa vodka, Hannah commanda un coktail Ă  base de grenadine et de gin. Elle se leva, empoignant sans une main son sac et dans l'autre le verre. Prenant la direction de Sookie, elle arma son regard d'innocence puis arrivĂ© Ă  sa hauteur, elle fit mine de trĂ©bucher puis versa "par inadvertance" le liquide carmin sur la robe de la jeune femme. Lançant un regard faussement dĂ©solĂ©, Hannah porta sa main Ă  sa bouche et lĂącha un "-Opps !" avant de retrouver un air plus hautain, satisfaite de son petit coup, elle lança un regard victorieux et rempli de haine, un sourire diabolique aux lĂšvres. Elle attendait sa rĂ©action, entendant dĂ©jĂ  les commentaires des personnes aux alentours qui avaient vu la scĂšne. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Dim 6 Mar - 1553 La honte
 La honte cuisante
 Celle qui rend vos joues rouges tomates et qui vous porte les larmes aux yeux jusqu’à ce qu’enfin, celles-ci se mettent Ă  couler sans que vous ne puissiez une seule seconde les retenir parce que, de toute façon, il n’y a rien d’autre Ă  faire Ă  part ça Pleurer. Sookie ne l’avait jamais vraiment ressentie, la honte. AprĂšs tout, lorsqu’on est miss catastrophe, on ne peut dĂ©cemment pas avoir honte Ă  chaque petite chose qui vient nous gĂȘner tout simplement parce qu’on fait trop d’erreurs gĂȘnantes et qu’à force on nous prendrait pour un arrosoir Ă  larmes. Avouons quand mĂȘme que pour sa dĂ©fense, la plupart du temps, ce n’était pas vraiment Sookie qui commettait une bourde mais plutĂŽt les gens autour qui avaient deux pieds gauches ou bien deux mains gauches
 Finalement, les seules rĂ©elles bourdes de sa part se passaient chez elle, lorsqu’elle Ă©tait seule et que personne ne pouvait vraiment la voir, Ă  part si elle avait des camĂ©ras ou que ses voisins pervers la regardaient de chez eux avec des jumelles
 Mais franchement elle n’espĂ©rait pas vraiment ĂȘtre Ă©piĂ©e nuit et jour par ses voisins pervers ! Enfin bref, la derniĂšre bourde en date avait d’ailleurs Ă©tĂ© vue par un jeune homme qui avait Ă©tĂ© invitĂ© chez elle Ă  la suite d’une soirĂ©e merveilleuse, elle avait lĂąchĂ© un verre sans vraiment le faire exprĂšs, le brisant en mille morceaux et devant se mettre Ă  quatre pattes histoire de le ramasser, le comble avait Ă©tĂ© lorsqu’elle s’était coupĂ©e et avait du lui avouer qu’elle Ă©tait fortement sensible au sang et qu’elle n’allait pas tenir debout, lĂ  c’était vraiment la honte, pour une toute petite blessure de rien du tout, elle avait dĂ©jĂ  la tĂȘte qui tournait et devait montrer ses faiblesses Ă  un parfait inconnu. Mais la rĂ©elle raison pour laquelle Sookie n’avait pas vraiment honte en publique, c’est parce qu’elle Ă©tait devenue anormalement attentive Ă  chaque dĂ©tails du monde qui l’entourait dĂ©s qu’elle sortait de son appartement, ainsi, elle pouvait se pousser dĂ©s qu’une femme déçue enverrait son verre dans la tĂȘte de son compagnon sans faire une seconde attention Ă  la demoiselle qui se trouve juste derriĂšre et qui n’a mĂȘme pas demandĂ© Ă  ĂȘtre arrosĂ©e. Sookie Ă©tait devenue un Ɠil de lynx qui regardait partout, tout le temps, mĂȘme au travail, elle avait dĂ©veloppĂ© un sixiĂšme sens histoire de savoir si un client faisait tomber son verre par inadvertance sur la scĂšne et qu’elle pouvait risque de glisser sur l’alcool. Ainsi, la jeune demoiselle Ă©tait l’une des personnes les plus prĂ©cautionneuses de la ville, ne s’aventurant pas n’importe oĂč, n’importe quand avec n’importe qui sans savoir si elle pourrait faire une bĂȘtise qui lui mettrait la honte. Malheureusement pour elle, la jeune femme n’était pas encore protĂ©gĂ©e contre les sales garces qui venaient dĂ©libĂ©rĂ©ment essayer de lui mettre la honte seulement pour lui en faire voir plein la tronche. Et ouais, depuis toujours, Sookie Ă©tait un aimant Ă  boulets du type high level » qui dĂ©cidaient de venir lui pourrir sa vie seulement parce que son corps de rĂȘve et son joli visage ne leur plaisait pas, comme si elle avait demandĂ© autant d’attention. D’ailleurs, Sookie n’avait jamais demandĂ© autant d’attention, de nature plutĂŽt effacĂ©e, Sookie Ă©tait ce genre de fille dĂ©brouillarde qui ne demande Ă  personne de l’aide, qui fait tout toute seule, qui n’en tire aucun mĂ©rite et qui Ă©vite tout le temps de faire parler d’elle, surtout au niveau du travail parce qu’elle savait que dans le monde du striptease, dĂ©s qu’on commence Ă  parler une seule fois de vous, on ne vous lĂąche plus et surtout, on veut absolument avoir qui vous ĂȘtes rĂ©ellement et ça, Sookie n’en voulait surtout pas ! Et pourtant, il fallait que ses priĂšres ne soient pas entendues
 Non, parce que si le tout puissant l’avait rĂ©ellement Ă©coutĂ©e lorsqu’elle lui disait qu’elle n’avait vraiment pas besoin d’une petite idiote sur ses Ă©paules, elle n’aurait pas eut le droit Ă  cette magnifique rencontre avec Hannah, la pimbĂȘche de service qui se croit meilleure que toutes les autres sous prĂ©texte qu’elle a plus d’argent, des fringues de crĂ©ateur et qu’elle est mannequin ! Une sorte de rivalitĂ© s’était instaurĂ©e sans que Sookie ne le demande, comme si elle Ă©tait cette petite saint ni touche que Hannah avait toujours cherchĂ© afin de lui pourrir littĂ©ralement la vie, jusqu’au bout, en y prenant un rĂ©el plaisir au passage ! Pourtant la demoiselle ne semblait pas si pimpante qu’elle n’y paraissait, pire encore, Sookie se demandait si elle Ă©tait rĂ©ellement ce qu’elle prĂ©tendait ĂȘtre dans son apparence histoire de faire voir au monde qu’elle va trĂšs bien alors qu’en rĂ©alitĂ©, elle ne va pas bien du tout. C’est ainsi que lorsque ce soir la jolie brune s’était dĂ©cidĂ©e Ă  suivre ses copines stripteaseuse, elle ne s’était pas vraiment attendue Ă  ĂȘtre bien servie si elle croisait ladite Hannah. Elle avait acceptĂ© sans rĂ©ellement le vouloir, se disant que ça la changerait un peu de son appartement vide, quelque chose qui sort du commun en fait. AprĂšs tout, elles avaient bien raison en lui disant qu’elle devrait sortir plus souvent et exhiber son joli minois autre part que dans cette boite de striptease oĂč on ne la reconnaissait mĂȘme pas au passage. Elle devait penser un peu Ă  vivre, le plus important Ă©tant qu’elle avait aujourd’hui vingt-trois ans et qu’il Ă©tait temps de mettre le passĂ© derriĂšre elle et que vivre avec le prĂ©sent sans ne plus avoir peur de mal tomber parce qu’aprĂšs tout, elle avait toujours la possibilitĂ© d’appeler Caleb si elle prenait peur de quelque chose, il aurait peut-ĂȘtre le temps de la rassurer avant de revenir Ă  son travail, vu que le travail d’un policier Ă©tait bien de rassurer parfois des personnes qui ont peur aprĂšs une agression qui les auraient marquĂ©s ! Enfin bon, ce soir elle Ă©tait de sortie et espĂ©rait vivement ne pas voir miss pimbĂȘche une seule fois parce que sinon elle pouvait s’attendre au pire ! Et pourtant, aprĂšs quelques temps passĂ©s seule au bar, accoudĂ©e Ă  celui-ci, un verre bien vissĂ© dans sa main comme si le but de cette soirĂ©e Ă©tait plus de boire que de s’amuser avec ses collĂšgues qui se croyaient en boite de nuit et qui dansaient comme des prostituĂ©es sur la piste de danse, lui mettant une lĂ©gĂšre honte d’avoir dĂ©cidĂ© de les suivre ce soir
 Dans sa tĂȘte, elle se rĂ©pĂ©tait encore et encore Je ne le connais pas, je ne les connais pas
 » et priait pour qu’elles ne se dĂ©cident pas Ă  venir l’inciter Ă  danser elle aussi pour ne pas que les gens osent porter le regard vers elle, lĂ  ce serait une vraie honte cuisante parce qu’en rĂ©alitĂ©, Sookie savait se dĂ©hancher, certes, mais danser, non
 Et puis c’est alors qu’elle la vit, assise Ă  l’autre bout du bar, avec un verre dans les mains, la menace Ă©tait bien prĂ©sente. MERDE ! Elle espĂ©rait vainement ne pas avoir Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e mais c’était peine perdue, cette Hannah avait des yeux partout et avait le don de la voir n’importe oĂč Ă  n’importe quelle heure de la journĂ©e et de lui faire les pires crasses. Ainsi, Sookie resta les yeux baissĂ©s, priant pour ne pas avoir Ă  lui adresser la parole, commandant un nouveau verre aprĂšs avoir vidĂ© le sien. Elle dĂ©testait avoir Ă  se cacher de quelqu’un sous prĂ©texte qu’elle ne voulait pas crĂ©er de conflit et pourtant c’était ce qu’elle avait toujours fait, elle ne voulait surtout pas d’ennemis, sa politique Ă©tant que les ennemis n’étaient faits que pour vous pourrir la vie, ce que faisait trĂšs bien Hannah d’ailleurs ! En parlant de la blondinette, celle-ci se ramenait par ici avec un verre dans la main, la jolie brune ne bougea pas mais bientĂŽt Hannah fit semblant de faire tomber l’entiĂšretĂ© du verre dans son dĂ©colletĂ©, Sookie sentant le liquide glisser sur sa poitrine. Elle ne pu retenir un petit cri de surprise avant de sentir une nuĂ©e de regards portĂ©s sur elle, certaines personnes riaient, d’autres se demandaient ce qu’il se passait, un serveur apportait bien gentiment une serviette Ă  la jolie demoiselle qui lui sourit avant de prendre la serviette, le remerciant du regard. Elle n’en croyait pas ses yeux ! Mais pour qui elle se prenait celle-lĂ  de venir l’arroser de cette façon ! N’avait-elle pas de classe ?! Sookie se mit alors Ă  rire contre toute attente avant de fixer Hannah et de lui dire d’une voix douce Je me demandais
 Pourquoi tu t’acharnes sur moi ? Est-ce que je suis seulement un dĂ©fi, une façon de te prouver Ă  toi-mĂȘme que oui, tu peux ĂȘtre une garce ? Ou bien est-ce seulement pour voir jusqu’à quel niveau de la connerie tu peux aller ? Parce que franchement, la moitiĂ© des personnes prĂ©sentes savent que tu en a fait exprĂšs
 T’aurais pu avoir le cran de faire mieux
 ». Attrapant son verre la jolie brune le lança en plein dans le visage d’Hannah avant de lui tendre bien gentiment la serviette et de lui dire aprĂšs un petit clin d’Ɠil Comme ça par exemple ! Au moins t’aurais eut l’air d’avoir du caractĂšre
 Grandis Hannah
 Et cherche ce qui va pas dans ta petite cervelle
 » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Mer 16 Mar - 2106 Parfois Hannah essayait de comprendre pourquoi elle Ă©tait devenue aussi mauvaise. La question n'Ă©tait pas simple mais pourtant la rĂ©ponse Ă©tait Ă©vidente. La pĂ©riode la plus sombre de la vie d'Hannah n'Ă©tait autre que la mort de sa sƓur jumelle. Elle devait le reconnaĂźtre, elle n'Ă©tait jamais sortie de cette pĂ©riode, elle y sombrait un peu plus chaque jour malgrĂ© l'aide d'Allan. En soit, elle ne s'Ă©tait jamais remise de l'absence de sa soeur. A la seconde oĂč le cƓur de Colleen avait cessĂ© de battre, celui d'Hannah s'Ă©tait vidĂ© d'amour et d'espoir laissant place Ă  l'incomprĂ©hension et la colĂšre. Sa moitiĂ© venait de partir, alors qu'elle n'avait que 12 ans. A partir de ce moment, Hannah Ă©tait passĂ© par plusieurs stade. D'abord le deuil, long et douloureux, il avait durĂ© plusieurs annĂ©es. A quinze ans, Hannah avait des envies de rejoindre sa sƓur, pour ne plus souffrir. Mais on lui avait toujours empĂȘchĂ©. Elle s'Ă©tait alors rendu compte que son deuil n'Ă©tait pas achevĂ© et qu'elle n'avait plus qu'une seule solution pour survivre, elle devait se cacher derriĂšre une carapace de mĂ©chancetĂ©, afin de se protĂ©ger. C'est ce qu'elle fit, jusqu'Ă  maintenant encore. Elle Ă©tait dĂ©testable, peste, mĂ©chante, garce; tout ce qui Ă©tait nĂ©cessaire afin d'ĂȘtre forte. Elle prĂ©fĂ©rait paraĂźtre odieuse plutĂŽt que d'ĂȘtre faible et d'attirer la pitiĂ©. Pas question de pleurer devant quelqu'un hormis Allan. Ce n'Ă©tait pas marrant pour lui de devoir supporter la tristesse et les plaintes incessantes de sa cousine. Mais il Ă©tait de loin l'homme le plus comprĂ©hensif de la terre et surtout le cousin le plus gĂ©nial de l'univers. Hannah Ă©tait consciente de la chance qu'elle avait d'avoir Allan mĂȘme si elle vivait plutĂŽt mal l'Ă©loignement. Il lui avait presque ordonnĂ© ce soir de sortir et au vu de l'Ă©volution des Ă©vĂšnements, Hannah ne regrettait en rien d'ĂȘtre sortie dans ce bar. Son regard s'Ă©tait posĂ© sur Sookie. Une jeune femme dont elle ne connaissait que le prĂ©nom, Ă  vrai dire. Mais peu importe, elle Ă©tait une bonne proie qui n'avait pas tellement de moyen de defense. C'est du moins ce que pensait Hannah. Les lionnes attaquaient toujours les gazelles blessĂ©es et aux yeux d'Hannah, elle Ă©tait la lionne et Sookie la gazelle. Une proie facile et amusante. Ni une, ni deux, aprĂšs s'ĂȘtre re-blushĂ©e les pommettes et effacer les dĂ©buts de larmes, Hannah avait frappĂ©. Renversant son verre sur la belle robe de Sookie. Son geste Ă©tait bien Ă©videmment volontaire et tout le monde avait pu le constater. Hannah essaya d'imaginer ce que dirait Allan en la voyant faire. Il ne serait pas fier certes mais il savait pourquoi Hannah se comportait de cette façon, il ne pouvait donc pas lui en vouloir. Bien Ă©videment, elle omettrait de lui raconter cet Ă©pisode une fois au tĂ©lĂ©phone quoi que Hannah Ă©tait fiĂšre de sa petite personne en faisant une telle chose. Une petite voix dans le fond de sa tĂȘte la fĂ©licitait et elle Ă©tait contente de voir que finalement elle s'amusait bien. Sookie sembla choquĂ©e et son regard si particulier rĂ©galait la mĂ©chancetĂ© de la belle Cartwhite. Comment allait-elle rĂ©agir ? Hannah n'attendait que ça , voir la rĂ©action de la brune et en rire. Rien ni personne ne pouvait l'atteindre, les paroles blessantes, les actes violents ou dĂ©gradants.. tout ça lui passait au dessus de la tĂȘte et elle trouvait toujours les mots pour rabaisser son interlocuteur. L'unique chose qui ferait qu'Hannah s'effondre n'Ă©tait autre que le sujet extrĂȘmement sensible.. la mort de sa sƓur. Mais personne ici n'Ă©tait au courant , elle tentait donc d'y penser le moins possible pour ne pas se trahir. Sookie prit alors la parole, envoyant au visage d'Hannah des mots bien trop doux pour atteindre Hannah. Portant le bord du verre vide Ă  ses lĂšvres, un sourire de peste et hautain dessina sa bouche. L'attaque de Sookie Ă©tait prĂ©visible et elle n'Ă©tonna qu'Ă  moitiĂ© la jeune blonde. Elle Ă©tait certes couverte de cocktail mais elle te flancha pas. Il fallait bien plus pour faire tomber la jeune femme. Ignorant la serviette que Sookie lui tendait, elle passa dĂ©licatement sa main sur sa joue afin d'enlever une goute d'alcool parmi les milliers qui se trouvait sur son visage, ses cheveux et son cou. Elle arma son regard de mĂ©chancetĂ© et de froideur, elle laissa une seconde de silence s'Ă©couler puis prit la parole, d'un ton calme mais terriblement Tu sais la diffĂ©rence entre toi et moi Sookie, hormis le fait que tu portes des vĂȘtements de la saison derniĂšre, c'est que moi, mĂȘme avec mes cheveux trempĂ©s et mon maquillage dĂ©goulinant, je reste classe. Tout vas trĂšs bien pour moi, c'est gentil de t'en inquiĂ©tĂ©, quant Ă  toi, je m'en fou, mais sache que ce verre que je t'ai lancĂ© Ă  la figure est bien loin d'ĂȘtre le dernier. Je suis pas immature, je ne t'aime pas c'est tout, fais toi une raison. Et je ne te lĂącherais pas, imprime bien ça dans ta petite tĂȘte de faible fille qui pense ĂȘtre mieux que les autres alors que trĂšs sincĂšrement, tu ne m'arrive pas Ă  la cheville. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . There's an ocean between us , Sookie . Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille Rienqu'une larme dans tes yeux, C'est toujours ta seule rĂ©ponse, Quand je te dis qu'il vaudrait mieux, Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelques fois Une larme a tout changĂ©

Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageNiwa KelInvitĂ©Sujet * ...des mots... * [PV] Dim 15 Oct 2006 - 1946 Nuit sombre
esprits perdus
les questions se posent, l’inquiĂ©tude est Ă  son comble. Au sol une terre gelĂ©e malgrĂ© la saison. Au ciel des nuages perdus les uns dans les autres dans ce noir d’encre impĂ©nĂ©trable
La Lune quasi inexistante embrasse les tĂ©nĂšbres
Les tombes prĂ©sentes sont toujours aussi facile Ă  voir, mais les inscriptions elles, sont illisibles suite Ă  ce paysage. Tout semble calme, comme souvent. Mais reste cette terre gelĂ©e
pourquoi est-elle ainsi ? Une seule explication possible, la prĂ©sence d’une personne
Mais qui est-elle ?
Comme pourrait le remarquer un passant, il se trouve qu’elle est assise dans ce cimetiĂšre, en face d’une de ces tombes. Mais il ne pourrait rien voir de plus
et c’est pour cela que nous allons nous en avançons
encore
oui, encore un peu
voilĂ , nous y sommes. Une taille et une carrure plutĂŽt imposante composent son extĂ©rieur ; un vĂȘtement et un chapeau noirs cachent celui-ci ; d’immenses chaĂźnes traĂźnent derriĂšre lui
C’est un personnage bien Ă©trange qui se trouve là
Ses doigts caressent presque avec tendresse la paroi tombale. Mais dĂ©licatement il les retira et se leva. Il passa sa main droite dans sa veste, puis il la retira. Une baguette de taille moyenne venait d’ĂȘtre prise
Et il recula
Et soudain, un Ă©clair rouge fusa droit devant lui et vint s’écraser contre la tombe. Cette derniĂšre explosa, en laissant derriĂšre elle un cratĂšre profond de quatre mĂštres carrĂ©s
Et sans mĂȘme adresser un simple regard Ă  son rĂ©sultat, il se avança Ă  travers le cimetiĂšre. Il semblait voler au-dessus du sol
Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce vrai ? Qui sait
Il ne faisait pas attention aux alentours, et pourtant, ses sens surveillaient le moindre geste possible, le moindre son audible. Puis il s’arrĂȘta sur sa route
regarda une tombe prĂ©cise, et lui rĂ©serva le mĂȘme sort que la prĂ©cĂ©dente
Mais que faisait-il vraiment ? Avait-il un but prĂ©cis ou Ă©tait-ce de l’amusement ?
impossible de connaĂźtre les rĂ©ponses
Mais il le faisait
Et le temps passa doucement
En attendant, il s’était assis au centre du cimetiĂšre, ou plus prĂ©cisĂ©ment, au centre du premier cratĂšre qu’il avait fait
Il s’avĂšre que c’était son beau-pĂšre qui reposait en paix
sans plus attendre, il Ă©tait venu le rejoindre, pour le dĂ©truire Ă  tout jamais
Il avait maintenant l’esprit leva la tĂȘte
on pouvait voir une paire de lunettes noires, qui cachaient le peu de son visage visible. C’était une personne bien mystĂ©rieuse qu’on avait lĂ . Mais on pouvait sentir une lĂ©gĂšre froideur autour de lui, et la gentillesse devait ĂȘtre assez rare Ă  premiĂšre vue
Etait-ce faux ? Bonne question
essayez de lui parler pour voir
non ? Vous avez peur ? Et bien vous rĂ©agissez comme de nombreuses personnes alors. Son aura est lĂ©gĂšrement diffĂ©rente des autres sorciers, vous l’avez bel et bien compris
Cependant, ce n’était pas vraiment dans le bien. On pouvait sentir sa lĂ©gĂšre tendance Ă  aimer le sang, comment ? Peut-ĂȘtre parce qu’il y avait une Ă©norme flaque dans ce cratĂšre, et qu’il Ă©tait allongĂ© dedans. C’est ainsi que vous vous demandez d’oĂč vient ce sang
Laissez moi vous temps en temps, il se peut que les corps morts aient toujours du sang en eux. Certes sĂ©chĂ©, mais bien prĂ©sent. Normalement, c’est lorsqu’ils viennent de mourir d’ici peu. C’était le cas du beau-pĂšre de cette personne. Il avait Ă©tĂ© tuĂ© il y a de ça deux jours. Mais jamais le tueur n’a Ă©tĂ© retrouvĂ©. D’ailleurs, aucune trace possible
A priori, celui qui avait fait ça connaissait parfaitement les Arts de meurtres. En tout cas, reste qu’il Ă©tait mort recemment
Vous savez alors ce premier deuxiĂšme point est que cette personne prĂ©sente au cimetiĂšre, venait de faire exploser le corps d’une maniĂšre disons
trĂšs violente, ce qui a permis au sang de lĂ©gĂšrement se rĂ© humidifier, et donc
enfin, je vous laisse Ă©tant expliquĂ©, nous allons pouvoir retourner Ă  la contemplation du
 hĂ©ros ».Celui-ci, toujours allongĂ© dans le liquide rougeĂątre, regardait les Ă©toiles inexistantes
Il semblait perdu dans ses pensĂ©es
Ses chaĂźnes Ă©taient enroulĂ©es autour de lui, sans pour autant l’étouffer. Position bien Ă©trange pour de simples mĂ©taux
Sa baguette Ă©tait entre ses dents, comme une paille avec un cow-boy
Ses lunettes noires reflĂ©taient lĂ©gĂšrement les nuages. Impossible de voir Ă  travers et de dĂ©couvrir ses yeux. Peut-ĂȘtre est-ce mieux comme ça. Parfois, on ne prĂ©fĂšre ne pas connaĂźtre les sentiments de la personne qu’on a en face de soi, de peur d’ĂȘtre déçu ou effrayé Et cela peut ĂȘtre le cas de ce moment mĂȘme vu la mystique du personnage
Soudain, il tourna lĂ©gĂšrement sa tĂȘte vers la gauche. Il semblait avoir vu ou entendu quelque chose. Alors, il se leva, se retira du cratĂšre, et se nettoya d’un simple coup de baguette. Il se pouvait que ce soit une bĂȘte attirĂ©e par l’odeur du sang, odeur facilement repĂ©rable pour toutes crĂ©atures s’en abreuvant comme repas
Il pointa la baguette vers la source du bruit. Les feuilles bougeaient lĂ©gĂšrement
Et tout d’un coup, une ombre sauta avec force et rapiditĂ© en sa direction. Quelques fractions de secondes plus tard, cette ombre gisait Ă  terre, inerte. Elle respirait encore. C’était un loup
Etrange pour ce genre d’endroit
Mais chose bizarre, l’homme ne l’avait pas tué Avait-il de la pitiĂ© en lui ?
Puis un autre bruit vint couper cette reflexion
Il se tourna vers la source
Etait-ce un autre loup ? Ou bien une personne s’aventurant dans le cimetiĂšre ?
DerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 958, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Ven 20 Oct 2006 - 2001 { Tes RP’s me manquaient beaucoup, tu Ă©cris tellement biennn. . Mon Nico wub. Et avec Niwa en plus, vive DN Angel. }Nuit noire. Silence Ă©ternel. Le cimetiĂšre Ă©tait calme, sans personne malveillante. Mais la voilĂ . Une ombre ? Un animal ? Une chose ? Qu’était ce cet ĂȘtre vivant ? Une demoiselle assez jeune au regard rouge se dressa pour regarder au loin. Elle semblait effrayante, aveuglante. Elle guettait. Quoi ? Nous n’en savons rien. Cette nuit lĂ , elle Ă©tait seule. Encore. Mais c’était le DĂ©mon. DĂ©pourvus de sa cape habituelle, il Ă©tait vĂȘtu de vĂȘtements moldus, dĂ©chirĂ©s Ă  plusieurs endroits. Qui pouvait bien se douter de ce qu’il venait de se produire. La jeune femme avait comme un sourire inquiĂ©tant. De ses bras dĂ©nudĂ©s on pouvait voir couler du sang, du sang auquel elle ne prenait pas garde. Qui avait Ă©tait sa victime ce soir lĂ  ? SĂ»rement un inconnu qui l’avait croisĂ© lors de sa colĂšre. Dire que dans plusieurs heures, lorsqu’elle reprendra ses esprits, dans cette tenue, elle sera affolĂ©e, elle se souviendra de tout, mais elle n’aura pas choisit. Etait ce le bon dieu qui l’avait punie en lui donnant cette maladie » que l’on appelĂ© SchizophrĂ©nie ? A voir. Mais lĂ  n’était pas la question. Elle avança vers les tombes lugubres du cimetiĂšre, Ă©coutant le cri des animaux. Lorsqu’elle sentit une prĂ©sence. Qui Ă©tait ce ? Loup. C’était la nouvelle mĂšre, Tifa, elle avait eut des louveteaux la semaine prĂ©cĂ©dente. Riku s’approcha d’elle, avec un petit sourire bienveillant. S’il y avait bien un animal qu’elle aimait, c’était les Loup, normal, elle en Ă©tait elle-mĂȘme un. Soupir. Elle s’arrĂȘta, se mit Ă  genoux et porta une caresse au pelage gris clair de l’animal. On put voir aprĂšs son corps de mĂ©tamorphoser, c’était lui. Crodacier. Ses yeux Ă©taient encore rouges, mĂȘme Ă  travers l’animal. Son pelage noir, noir Ă©meraude Ă©tincelle dans cette nuit sombre. Silence. Elle s’approcha de Tifa aprĂšs que celle-ci soit partie en galopant laissant ses vĂȘtements derriĂšre une pierre tombale. Crodacier qui n’avait rien Ă  faire, suivit la Louve. Celle-ci ne cessant pas le pas, l’Animagus dut la suivre, jusqu’à ne plus entendre le bruit de ses pattes. Jusqu’à qu’un homme se dresse devant elle. La louve tourna violemment la tĂȘte pour apercevoir Tifa qui Ă©tait Ă©talĂ©e au sol. On put lire au regard de Crodacier toute sa haine, ses sourcils se plissaient, ses crocs sortaient de sa gueule. Silence. Elle se mĂ©tamorphosa, une nouvelle fois. Un put voir un corps de jeune femme se dresser Ă  la place du loup. Totalement nu. Normal. Riku avait laissĂ© ses habits au loin ainsi que sa baguette lorsqu’elle eut pris l’apparence de son Animagus. Silence. Elle ne moquait pas mal que son corps soit exposĂ©, elle n’avait aucune pudeur. Et la haine la rongeait. Silence. La voilĂ  qui parle, ses yeux encore plus intensifiĂ©s de – Comment as-tu osĂ© humain ?! Comment ? MisĂ©rable crĂ©ature. »Dit-elle d’une voix menaçante et pleine de fougue. Elle n’en pleurait pas, elle voyait bien que la louve avait Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e mais le geste en lui-mĂȘme Ă©tait grave, vraiment. Tifa se releva tant bien que mal et partie se rĂ©fugier. Silence. Qui pouvait bien ĂȘtre ce jeune homme, ce jeune homme qui semblait si mystĂ©rieux, et pourtant 
 Riku Ă©prouvait quelque chose. Quoi ? Il avait l’air froid. Bizarre. Elle n’avait pas peur, mais, elle hĂ©sitait, elle ne savait que penser. Elle n’avait pas ce pouvoir de lire dans le cƓur des gens, de connaĂźtre leur vraie personnalitĂ©. Dommage. Puis soudain. Surprise. La jeune femme redevint elle-mĂȘme. Ses yeux rouges disparurent pour laisser place au vert foncĂ© habituel. A la seconde qui suivit elle ne comprit pas vraiment, mais par la suite, elle commença Ă  paniquer. Surtout lorsqu’elle vit son Ă©tat. Elle haĂŻssait le DĂ©mon ! Encore et toujours cette double personnalitĂ© involontaire. SaletĂ© ! La voilĂ  qui part en courant pour cacher son corps. La voilĂ  bien normale, pas vraiment la Chef des Mangemorts, et cela, l’étranger devait sĂ»rement le – Mais c’est pas vrais ! »Silence. Quelques minutes plus tard la voilĂ  qui reviens, habillĂ©e de ses vĂȘtements, du moins ce qu’il en restait, elle ne prĂ©fĂ©rait pas se remĂ©morer encore ce qu’il s’était produit. Juste Ă  cause de cette histoire avec Kaori il eut fallut qu’elle redevienne le DĂ©mon. Silence. Elle revint en face du jeune homme, presque rouge. Elle semblait gĂȘnĂ©e, et puis, elle se dĂ©voilĂ©e en gros, personne ne devait savoir son problĂšme de SchizophrĂ©nie. Sinon, elle se ferait sĂ»rement tuer, mĂȘme si ce n’est pas vraiment simple. Elle est forte, mais Ă  le cƓur d’une Serdaigle et non d’une Serpentard. Elle ne peut tuer en Ă©tant seulement Riku », il faut qu’elle soit Le DĂ©mon », le Chef des – NavrĂ©e
 Ne prenez guĂšre attention Ă  ce qu’il vient de se produire. »Et puis quoi encore ? Elle Ă©tait vraiment naĂŻve d’affirmer cela aussi naturellement. En cet instant, la jeune sorciĂšre pensait qu’il ne l’avait peut ĂȘtre pas reconnue, grĂące Ă  la pĂ©nombre des lieux, c’était possible, mais avec de bons yeux 
 Qui sait ? Et puis, Ă  part Yuki, personne n’est au courant pour le DĂ©mon. Il y avait son pĂšre aussi mais il est mort. D’ailleurs, sa tombe est tout prĂšs d’ici, juste lĂ , derriĂšre Hikaru Harada ». Silence, il devait sĂ»rement ĂȘtre satisfait, de lĂ  haut dans les Ă©toiles, ou plutĂŽt en bas, dans les entrailles de l’ si les mots Ă©taient Ă©ternels ?{ T_T Snif, ça fais longtemps que j’ai pas Ă©cris, c’est nul, mais j’aime bien le scĂ©nario =D, j’espĂšre que toi aussi, sinon je change =] Mais ça devrait ĂȘtre comique, enfin, me tarde de voir la rĂ©action de ton perso XD }_________________uc_ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 012 Bruissements lĂ©gers
pas feutrĂ©s
discrĂ©tion plus qu’imperceptible. C’était la description la plus exacte de celle de l’homme prĂ©sent. Il guettait
encore et encore. Mais il ne dĂ» pas attendre longtemps. AprĂšs s’ĂȘtre doucement glissĂ© sur son cĂŽtĂ© droit, il garda fermement sa baguette, sans la moindre vibration d’une quelconque apprĂ©hension. Puis soudain, un corps se retira de l’ombre
On pouvait reconnaĂźtre la silhouette d’une femme
Elle semblait plutĂŽt belle
Mais l’inconnu ne pu s’empĂȘcher de remarquer qu’elle Ă©tait
nue. Il ne s’approcha pas, gardant une distance qu’il considĂ©rait comme distance de sĂ©curitĂ© ». D’aprĂšs sa maniĂšre d’ĂȘtre et sa façon dont elle lui parla ensuite, elle ne parut pas de bonne humeur, bien au contraire. Il reconnut une voix menaçante, remplie de haine
Cependant, cela ne le fit pas bouger d’un pouce
mĂȘme, il ne cilla mĂȘme pas derriĂšre ses sombres lunettes noires. Les paroles prononcĂ©es par la jeune femme Ă©taient pourtant provocatrices, mais non
Il resta lĂ , sans rien dire. Et puis, rĂ©action Ă©trange, il baissa sa garde, et regarda la personne avec plus d’attention. Non je vous rassure, ceci n’est en aucun cas une forme de perversité celle oĂč un homme profite de la situation pour disons
 se rincer l’Ɠil ». Il admirait les yeux rouges de la personne qui Ă©tait en face. Bien que rien n’était lisible sur lui, il Ă©prouvait une lĂ©gĂšre Ă©motion Ă  les regarder, comme s’il Ă©tait chez lui. Mais malheureusement, il ne pu pas les contempler pendant plus longtemps, car la jeune femme disparut soudainement, aprĂšs que ses yeux eurent brusquement changé pour devenir d’un vert foncĂ©. On pouvait croire Ă  une sorte de
mĂ©tamorphose. Il se demanda intĂ©rieurement ce qui pouvait se passer
Il analysa rapidement les faits
et se garda bien de toutes rĂ©ponses il se tourna en direction d’une tombe proche. Au ciel, les nuages se resserraient de plus en plus
Une pluie Ă©tait Ă  prĂ©voir. Il s’en soucia guĂšre
Il jouait avec ses chaĂźnes, avec l’aide de sa baguette. Mais soudain, un nouveau bruit. Il souleva son arme Ă  l’endroit oĂč son esprit lui disait qu’un ĂȘtre s’y trouvait. C’était ses longues et Ă©paisses chaĂźnes qu’il faisait lĂ©viter
Mais elles semblaient faire bien plus que lĂ©viter, comme si elles Ă©taient
vivantes
Puis, confirmation des pensĂ©es de l’homme
quelqu’un Ă©tait bel et bien lĂ . Cependant, il retira promptement l’offensive mĂ©tallique, les dĂ©posant au sol. Pourquoi cela ? Peut-ĂȘtre parce que la femme Ă©tait de retour
avec ses yeux de couleur verte. Elle avait ajoutĂ© un peu d’habits sur elle. Il remarqua rapidement qu’elle Ă©tait dĂ©sarmĂ©e
ou presque. Sa beautĂ© Ă©tait elle-mĂȘme une arme. Mais Ă  priori, le prĂ©sent n’était pas du genre Ă  se laisser amadouer par la beautĂ© de la femme
la pire faiblesse d’une grande majoritĂ© des personnes de sexe masculin. Il se contenta de s’approcher doucement d’elle
alors que celle-ci lui demandait de ne faire comme si de rien Ă©tait
comme s’il n’avait rien vu. Sur ce, alors que la femme Ă©tait prĂšs de lui, il dĂ©posa son index gauche sur les douces lĂšvres de la charmante crĂ©ature. Son autre main faisait quelques gestes Ă  la baguette
Et soudain, elle fĂ»t habillĂ©e d’un corset et d’une jupe provocante
Il recula d’un pas. Puis, il fit un autre geste. Elle Ă©tait maintenant vĂȘtue d’une robe de mariĂ©e. Et il renouvela plusieurs fois la chose, restant parfaitement neutre
Mais il s’arrĂȘta alors qu’il lui avait remis le peu de vĂȘtements qu’elle avait au dĂ©part. Il souriait faiblement
~Niwa On pourrait jouer Ă  ça toute la soirĂ©e
non ?C’était une voix profonde et calme qui avait prononcĂ© ces paroles
Et ce n’était pas un sourire ordinaire
mais alors, que traduisait-il ?
Mais tout Ă  coup, les traits de son visage se resserrĂšrent et un Ă©clair rouge s’échappa de sa baguette, alors qu’aucune formulation n’avait Ă©tĂ© produite
L’éclair frĂŽla le visage de la personne et vint s’écraser contre une tombe
Cette derniĂšre explosa sans cĂ©rĂ©monie. En ce qui concernait l’homme, il s’était de nouveau adossĂ© contre la paroi. Il fixait la jeune femme, la baguette baissĂ©e vers le sol. Il semblait pensif
En tout cas, c’était ce qu’il laissait paraĂźtre
~Niwa Le chat et la souris
Des mots traduisant parfaitement l’état des choses
Cependant, la souris n’avait aucun lieu oĂč se cacher, oĂč quoi que ce soit pour se protĂ©ger, bien au contraire. Elle s’était mise seule dans une situation plus que dangereuse, entre les mains d’un ĂȘtre que l’on pourrait considĂ©rĂ© de
 dĂ©rangĂ© ». Mais l’était-il vraiment ? Il semblait connaĂźtre des choses
de nombreuses choses. Mais d’autres personnes diraient tout simplement qu’il en faisait trop avec son accoutrement intimidant
Des lunettes noires en pleine nuit
quelle idĂ©e ! De plus, il ne devait pas voir grand chose
Pourtant, quelle prĂ©cision tout Ă  l’heure
Que des Ă©loges vous me diriez
Et vous auriez sĂ»rement raison. Mais pour le moment, c’est une simple et rĂ©aliste description de la scĂšne
DerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 1001, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 2231 { Vivement Mercredi. }La jeune femme restait silencieuse, sans pensĂ©es fixes. Elle faisait juste acte de prĂ©sence. Elle Ă©tait tout de mĂȘme un peu gĂȘnĂ©e, ce n’était pas dans son habitude d’exposer son corps Ă  tous les regards masculins. Soupirs. Alors que l’inconnus venait juste de remarquĂ© une nouvelle fois sa prĂ©sence, Riku pensa qu’elle n’aurait pas du revenir, elle n’aurait rien a tirer profit de cette rencontre. Quoi que, elle ne s’avait pas vraiment Ă  quoi s’attendre. Alors que les chouettes et les hiboux poussaient leurs cris comme chaque nuit, Niwa s’avançait vers la sorciĂšre. Elle ne bougea pas, se laissa faire, elle Ă©tait comme intimidĂ©e. Ce qui n’est pas habituel pour elle. Soupir. Le toucher. Un des cinq sens. Elle le sentit, ce doigt, sur ces lĂšvres rosĂątre, gelĂ©es par le froid d’automne. Violette, telle Ă©tait leur couleur. Silence. Elle regarda fixement ses yeux, mais ceux-ci Ă©taient voilĂ©s. Une paire de lunette, qu’elle idĂ©e d’en porter en pleine nuit. Le jeune homme devait sĂ»rement avoir ses raisons personnelles, ou pas. Mais ce n’était pas bien important. Lorsque soudain, alors qu’elle se tenait droite, elle sentit comme un coup de froid, puis quelque chose qui lui compressait la poitrine. Elle comprit ceci qu’en changeant son regard de direction. Un habit provocant. Un corset et une jupe plissĂ©e. Quelque chose que la demoiselle n’aurait jamais eut idĂ©e de mettre. Mais alors qu’elle s’apprĂȘtait Ă  se l’enlever, elle ressentit une nouvelle fois la mĂȘme Ă©motion. Elle Ă©tait – cette fois ci – habillĂ©e d’une superbe robe de mariĂ©e. Blanche. Comme toutes les princesses en rĂȘve. Mais ce n’était pas vraiment le cas de l’Ancienne Serdaigle, pas du tout. Alors qu’elle fronçait les sourcils, l’inconnu renouvela une nouvelle fois l’expĂ©rience, et encore, jusqu’à qu’elle rĂ©cupĂšre ses habits naturels. Durant la procĂ©dure elle resta muette, plutĂŽt inerte et parfois Ă©tonnĂ©e, ça pouvait se voir comme un jeu, comme une histoire, comme quelque chose de divertissement. Riku se laissait faire. Chose – pour l’instant – vraiment inhabituelle. Silence. Un son, une – On pourrait jouer Ă  ça toute la soirĂ©e
non ? »Surprise. Riku ne rĂ©pondait pas, elle le regardait tout simplement, mais il n’avait pas spĂ©cialement tort, mais le ton qu’il prenait n’était pas vraiment rassurant, bien au contraire. Et puis il tenait sa baguette comme s’il allait jeter un sort, la sorciĂšre n’y prĂȘtait pas une forte attention, ce qui Ă©tait mauvais pour elle, bien trop mauvais. Alors qu’elle respirait calmement, regardant le jeune homme d’une vingtaine d’annĂ©e, elle la vit. Cette Ă©tincelle, si rouge, si aveuglante, si soudaine. Surprise ! Elle resta muette, mais tenta d’éviter le sortilĂšge, mais celui-ci frĂŽla sa joue, et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle explosa en morceau. Mais la voilĂ , elle Ă©tait de retour. Vraiment. Ils Ă©taient comme tout Ă  l’heure, on l’avait attaquĂ©, elle se sentait offensĂ©. Encore. Comment pouvait-on oser ? Ses yeux, ils Ă©taient rouges, du sang, de la haine, le combat. Le DĂ©mon » Ă©tait de retour. Enfin. Une sorte d’onde psychique Ă©manĂ© de ce corps fĂ©minin, rien qu’à voir son visage, on y dĂ©cernĂ© de la colĂšre, le calme, elle ne connaissait pas vraiment dans ce genre de situation. Surtout lorsqu’elle sait que l’adversaire est fort, trĂšs fort. Elle ricane, la Chef des Mangemorts ricane. Elle semblait heureuse par moments. Elle est bien spĂ©ciale. C’est elle. – Le chat et la souris
 »Silence. Jeu auquel jouait anciennement la Directrice des Serdaigles lorsqu’elle se trouvait Ă  l’Orphelinat, mais cela date de longtemps, et elle comprenait fortement la tournure de la situation, et ce que voulait dire le jeune homme par ce jeu. Sourire. S’il provoque le Diable, il sera servit. Mais est-il conscient que ceci le mĂšnera a sa perte ? Sauf si l’Ange dĂ©munis rĂ©apparaĂźt avant la fin de la nuit. – Serais-ce une provocation en duel ? »Dit-elle simplement, avec une voix narcissique. Une voix qui lui donne l’air d’ĂȘtre sure d’elle, pourtant, elle sait trĂšs bien que ça ne devrait pas ĂȘtre Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mer 25 Oct 2006 - 2145 Silence
PensĂ©es interrompues. L’homme, qui nous est toujours inconnu, venait de remarquer le changement radical de la jeune femme lors de son attaque » surprise. Mais il ne bougeait toujours pas
MĂȘme, il souriait. Pourquoi ? Que cachait-il ?
des questions, toujours des questions. Cependant, les rĂ©ponses ne viennent jamais de lui-mĂȘme. Peut-ĂȘtre qu’il expliquera les choses au fur et Ă  mesure, qui sait ? Mais laissons de cĂŽtĂ© cette rĂ©flexion
Car Ă  l’instant mĂȘme oĂč je vous parle de cela, l’homme avait disparu. Et soudain, les chaĂźnes s’animĂšrent d’elles-mĂȘmes et vinrent s’enrouler autour de la tombe oĂč elles Ă©taient posĂ©es pour ensuite la dĂ©truire d’une puissante Ă©treinte. Que se passait-il ? OĂč Ă©tait-il ?Mais soudain, une voix s’éleva de nul part
Elle Ă©tait chaude
d’ailleurs, Riku devait sentir un souffle contre sa nuque. Pourquoi ? Peut-ĂȘtre parce qu’il se trouvait lĂ  au moment oĂč il prononça ses paroles ~Niwa Non, je ne pense pas
Oublie la force, songe Ă  embrasser l’écorce
Disparition
Suspension continue des chaĂźnes
Puis un bruit aqueux. Retour de la personne
de nouveau assise au milieu du bain de sang. Il le touillait du bout de sa baguette
Il semblait passionnĂ© par la chose. Mais soudain, le sang se mit Ă  lĂ©viter de la mĂȘme façon que les longues et Ă©paisses chaĂźnes mĂ©talliques. D’ailleurs, ces derniĂšres Ă©taient maintenant emmĂȘlĂ©es au liquide rougeĂątre. Il regardait la demoiselle alors que de sa main droite, il jouait de sa baguette
Puis il se leva. Il Ă©tait, Ă  grand Ă©tonnement, dĂ©pourvu de toutes traces rouges sur ses vĂȘtements, comme s’ils Ă©taient restĂ©s bien au sec. Il avait dĂ» les faire sĂ©cher d’une simple informulation je pense
Il Ă©tait sĂ©rieux, et ses gestes se faisaient avec rapiditĂ© et souplesse Ă  la fois. Il dĂ©posa le mĂ©tal aux pieds de la jeune femme, et forma une sorte de Sceau Ă  ses pieds Ă  l’aide du sang et de l’objet dĂ©posĂ©. Il formait une croix
une croix sataniste ! Savait-il des choses qui Ă©taient inconnues Ă  Riku ? Enfin
connaissait-il plus de choses qu’il ne laissait paraĂźtre ? Ou Ă©tait-ce un simple hasard qu’il fasse cela ?
La rĂ©ponse ? Dans ces paroles
~Niwa Content de te connaĂźtre
depuis le temps que je rĂȘvais de te voir
Riku
Sur ce, le sang se sĂ©cha sur le sol, tandis que les serpents mĂ©talliques retournaient Ă  son propriĂ©taire. Il les fit se calmer
tout comme il l’était en ce comment savait-il qui elle Ă©tait ? Etait-ce parce qu’elle Ă©tait recherchĂ©e un peu partout ? Ou Ă©tait-ce par un autre moyen
magique ? Il semblerait que ce soit cette derniĂšre option
Car cet homme n’était personne d’autre que Niwa Kelhena, comme il l’expliqua si bien dans cette phrase
~Niwa PrĂ©sentation oblige
Niwa Kelhena pour te servir
Cependant, contrairement Ă  ce qu’on pourrait penser, jamais il n’avait dans l’idĂ©e de la servir au bon sens du terme. C’était lĂ  une simple forme de politesse
Il ne servait personne, Ă  part soi-mĂȘme. Etait-ce de l’égoĂŻsme ? Non
juste que dans la vie il a appris Ă  ne compter sur personne Ă  part lui. Enfin bref. Retournons au fait qu’il sache la maniĂšre avec laquelle il a su qui il avait en face de lui
Il s’avĂšre que Niwa, Auror spĂ©cialisĂ© dans la garde personnelle du Ministre de la Magie, avait quelques pouvoirs rares et utiles
Ils sont au nombre de deux. Ce sont la LĂ©gilimencie et l’Occlumencie. AprĂšs avoir remarquĂ© une certaine habiletĂ© dans ces deux domaines, une personne enseignant dans l’école supĂ©rieure qu’il a frĂ©quentĂ© s’en est occupĂ© personnellement
Et le voilĂ  maintenant expert dans chacune de ces matiĂšres. C’était un vĂ©ritable plus », aussi bien dans les duels que dans la vie de tous les jours
C’est pour cela qu’il savait lĂ©gĂšrement les pensĂ©es de l’autre
bien sĂ»r, Ă  une faible limite s’il n’utilise pas la force. Mais il avait plus malin que ça
car Riku n’est pas n’importe qui, et son esprit est tout sauf faible. Lorsque la croix au sol s’était formĂ©e, il a profitĂ© de cette diversion pour lancer un sort de lĂ©gilimencie sur la jeune femme. Faible soit-il, mais suffisant pour la connaĂźtre lĂ©gĂšrement
Certes c’était quelque peu impoli, mais comme dit le proverbe, vaut mieux prĂ©venir que guĂ©rir
Puis, il baissa sa garde, et se mit de nouveau Ă  sourire
ses lĂšvres formant un croissant mystĂ©rieux
 Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Jeu 26 Oct 2006 - 1847 { Magnifique RP, par contre le mien est bof }Silence. PensĂ©e obscure. Le DĂ©mon ne pouvait s’en empĂȘcher. Ses yeux rouges qu’on pouvait confondre avec du sang en Ă©taient la preuve. Dans ces cas lĂ  elle n’avait aucune pitiĂ©, aucune. Il lui Ă©tait donc facile d’îter la vie, Ă  n’importe qui. MĂȘme si c’était une personne de sa famille, sauf si la vrais Riku » reprenait surface, ce qui est un cas rare dans ce genre de circonstance. Soupirs. Alors que la jeune femme qui Ă©tait dressĂ©e devant le jeune Ă©tait Ă©prise d’une haine absolue, elle vit apparaĂźtre des chaĂźnes prĂšs d’elle et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle fut totalement dĂ©truite, en morceau minuscule. Sourire. C’était un spectacle magique. MĂȘme pas un peu de respect pour le mort. Surprise. Tant mieux. Le DĂ©mon commençait Ă  bien apprĂ©cier son adversaire » car c’est ainsi qu’elle le considĂ©rĂ©e, jusqu’à ce qu’il rĂ©ponde Ă  sa question. – Serais-ce une provocation en duel ? »Niwa – Non, je ne pense pas
Oublie la force, songe Ă  embrasser l’écorce
 »Silence. C’était de belles paroles, rĂ©flĂ©chis peut ĂȘtre, mais avec une notation magnifique. Mais ce n’était guĂšre les pensĂ©es de Riku, bien qu’elle aimait bien entendre ces mots. Soupirs. Elle ne rĂ©pondit rien Ă  cette phrase dont elle ne trouver aucune rĂ©ponse convaincante, restant donc neutre, elle regardait ce qui se produisait sous ses yeux. Le spectacle continuait. Magnifique. Du sang ? Non elle ne rĂȘvait pas. C’était prodigieux. Sourire. Elle regardait ce manieur compĂ©tant attendant la fin de son tour ». Puis lorsqu’elle posa ses yeux au sol elle l’aperçut. Un sceau ». Non, une croix, une croix sataniste apparemment. L’incomprĂ©hension rĂ©sidĂ©e apparemment dans le cerveau du DĂ©mon. Elle restait incompĂ©tente vis-Ă -vis de sa rĂ©flexion sur ce sujet. Soupirs. Elle le regarda une nouvelle fois, attendant des explications mais ce fut tout autre. Une voix, la – Content de te connaĂźtre
depuis le temps que je rĂȘvais de te voir
Riku
 »Hana-Bi – Comment connais-tu mon nom ?Comment pouvait-il connaĂźtre son nom ? De plus, comment se permettait-il de lui parler si familiĂšrement ? Etait ce une de ses anciennes rencontre ? Poudlard peut ĂȘtre ? Elle n’en avait aucune idĂ©e, et puis Ă  l’époque, elle n’était point sortit du corps de Riku, le DĂ©mon attendait son heure. L’heure de la nouvelle rencontre. Hikaru ». Soupirs. Durant ces pensĂ©es, le sang prĂ©sent Ă  ses pieds commençait Ă  sĂ©cher, pour ne faire plus qu’un avec la terre fertile. Silence. En y rĂ©flĂ©chissant bien, il y avait peut ĂȘtre un moyen, un seul, qui pouvait lui faire connaĂźtre quelques rĂ©fĂ©rence sur la jeune sorciĂšre. Hana-Bi – LĂ©gilimens ? »Silence. Si cela Ă©tait bien le cas cela Ă©tait quelque peu dangereux, bien que Riku ait quelques capacitĂ©s en ce qui concerne l’Occlumancie, celles-ci n’étaient pas Ă©normes. Elle avait eut quelques cours avec diverses personnes, mais ce n’était pas devenue une as de cette capacitĂ©, prĂ©fĂ©rant d’autant plus Crodacier » dont elle a dut bosser Ă©normĂ©ment pour obtenir cette apparence. Soupirs. Regards intenses, que savait-il exactement ? La jeune femme hĂ©sitait, le tuer, s’en servir, lui faire cracher le morceau ? Toute ces Ă©ventualitĂ©s ne seront pas une tache facile a faire, donc patience, elle attend. Une – PrĂ©sentation oblige
Niwa Kelhena pour te servir
 »Cette information n’avançait guĂšre la jeune femme, mais elle fit avec. Silence. Elle le regarda Pour te servir » , elle eut comme un air de dĂ©goĂ»t Ă  cette phrase. Comme s’il Ă©tait sĂ©rieux, du moins son visage restait inerte. Et puis, Riku ne compte que sur elle-mĂȘme, ses Mangemorts sont lĂ  seulement pour faire les petites missions inutiles qu’elle ne veut pas accomplir par flemme. Soupirs. Elle regarda une nouvelle fois son interlocuteur de ses yeux rouge sang, et pris la – Et que me veux tu pour avoir tant attendus ma rencontre ? »Silence, elle restait froide et distante. Mais sa colĂšre s’était dissipĂ©e pour laisser place Ă  l’ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 31 Oct 2006 - 1739 Patience. Attention continue des moindres gestes et paroles de sa part. Niwa, toujours aux aguets, observaient la plus infime partie des choses, contrairement Ă  ce qu’il laissait paraĂźtre. Rester inerte Ă©tait sa principale Ă©motion. Cependant, son cƓur lui chuchotait Ă  l’oreille de ses sens
encore et encore
Et ici, que lui chuchotait-il ? Fallait-il qu’il la tue ? Non
ses pensĂ©es Ă©taient tout autres. Celles-ci Ă©taient simples et claires. Mais ne pensez pas que je vais vous les dire ainsi
Le moment viendra, comme dans tout dans la vie, chaque chose en son face de lui, une personne intelligente, rusĂ©e et maligne. Mais d’un lunatique absolu
En ce moment, c’était le DĂ©mon qui le regardait droit dans les yeux, comme vous l’avez compris. Ce rouge
si prĂ©sent dans les yeux de Riku
plaisant Ă  ceux de l’homme. Ce dernier, restait silencieux
Elle, elle se demandait comment il pouvait la connaĂźtre. Vous, bien sĂ»r, vous savez trĂšs bien la raison, contrairement Ă  cette charmante demoiselle, Chef des Mangemorts, vous voyez ? Ceux qui lui obĂ©issent au doigt et Ă  l’Ɠil, dans l’espoir d’une quelconque reconnaissance souvent inexistante. D’ailleurs, elle lui parlait sur un ton qui Ă©tait habituel aux yeux de Niwa. Elle Ă©tait froide, mais pas si distante que ça. Il sentait l’intĂ©ressement qu’elle Ă©prouvait dans ses il se rapprocha une nouvelle fois d’elle. Puis, il s’arrĂȘte alors qu’il Ă©tait Ă  seulement vingt centimĂštres de son visage. Il passa son doigt dans les cheveux de la jeune femme, avec tendresse et dĂ©licatesse
Et, il leva sa main comme s’il allait la gifler. Mais il ne fit qu’apparaĂźtre une rose rouge, qu’il dĂ©posa dans les mains de Riku. Il approcha son visage encore un peu plus
Que voulait-il faire ? Qu’avait-il en tĂȘte ? Il se rapprocha
encore
encore un peu, plus que 5 centimĂštres
non, il s’interrompit. Il baissa la tĂȘte, prenant un air gĂ©nĂ©. Et il la releva quelque peu
Il poussa un faible soupir, et
se mit Ă  sourire ! Quelle Ă©trangetĂ© dans ce personnage ! Et, il rigola avec discrĂ©tion
 ~Niwa Hum hum hum
pourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu qu’à force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore l’est-ce ?
Il s’interrompit ici
pourquoi parlait-il en rime ? Etait-ce une vieille malĂ©diction qu’avait certaines personnes ? Ou Ă©tait-ce tout autre
Au lieu de vous laissez mijoter dans cette mĂ©ditation, je vous rĂ©ponds. Il s’avĂšre que Niwa n’est en aucun cas maudit. Juste qu’il aime la poĂ©sie et la mystique
Rien de plus, rien de soudain, un bruit par derriĂšre. RapiditĂ© et prĂ©cision sont les qualitĂ©s les plus adĂ©quates Ă  l’éclair jaune qui avait dĂ©jĂ  atteint la source de ce bruit
C’était un simple hibou. C’était
car lĂ  c’était devenu un insecte noir et rĂ©pugnant un cafard. La mĂ©tamorphose empĂȘche souvent la Mort
comme on le lui avait appris auparavant. D’ailleurs, autre chose
Niwa avait transplanĂ©. Il se trouvait assis, en train de jouer de la flĂ»te
Les notes Ă©taient mĂ©lancoliques et douces
Certaines personnes, sensibles, pourraient verser une larme
Quelle beau portrait ce soir-là
du sang sĂ©chĂ©, formant la croix Sataniste
une personne qui n’est autre que la Chef des Mangemorts
une louve blessĂ©e maintenant partie
et un hibou transformĂ© en cafard. Et lui ? Que faisait-il dans la vie ?
La symphonie continuait
Et, elle atteint petit Ă  petit sa fin. Une note en si bĂ©mol l’acheva
Pendant 5 secondes elle rĂ©sonna
tympans vibrant sous cette mĂ©lodie. Il retira ses lĂšvres du bec de la flĂ»te
~Niwa Te connaĂźtre
pour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtre
Puis il commença une nouvelle mĂ©lodie, attendant une rĂ©action de la jeune demoiselle. S’il fallait discuter, il discuterait. S’il fallait se battre, il se battrait. Et s’il fallait la tuer, il la tuerait
Telles Ă©taient ses visions. Primitives, certes. Mais il est ainsi. Il ne se fiait qu’à son instinct, qu’à sa maniĂšre de penser. Pourquoi se tromper soi-mĂȘme alors que nous avons des issus devant nous ? C’était ce qu’il se disait, entre autres bien des choses. DerriĂšre ses lunettes noires, il observait la silhouette de la femme. Belle et gracieuse Ă©taient les mots que son cƓur venaient de choisir. Puis ses yeux
Aussi terribles que magiques, porte de son Ăąme rĂ©vĂ©lant chaque infime parcelle de sa personne. Pas besoin d’aller plus loin se dit-il. Il ne voulait pas pĂ©nĂ©trer dans un jardin qu’il respectait, et qu’il prĂ©fĂ©rait connaĂźtre diffĂ©remment
Mais comment alors ?
Les notes volaient au rythme des gouttes d’eau qui tombaient du ciel
le vent les emportant
pour une meilleure mystique, comme il aimait si bien
 Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 14 Nov 2006 - 2131 { DĂ©solĂ© du retard =] . Et au fait, j’ai des potes qui sont tombĂ©es sur tes photos et qui fantasme sur toi, j’suis jalouse T_T . x] *sors* =P }Silence. Le DĂ©mon resta inerte. Il attendait juste une rĂ©ponse pour Ă©claircir son esprit de fou, de tueur. Mais sans vraiment savoir pourquoi, il Ă©tait comme envoĂ»tĂ©, quelque chose de vraiment particulier l’empĂȘchait d’ĂȘtre violent. Mais quoi ? Tout n’est que mystĂšre, alors que Riku lutait en elle-mĂȘme pour reprendre sa place, tout ceci Ă©tait fait en vain. Vraiment pitoyable. Qui pourrait croire que la Chef des Mangemorts Ă©tait une personne si faible en rĂ©alitĂ©. Qu’elle Ă©tait totalement possĂ©dĂ©e d’une personnalitĂ© autre, mais qui faisait tout de mĂȘme partie d’elle. Peut ĂȘtre qu’un jour, elle pourra s’en dĂ©barrasser, mais faudra-t-il d’abord qu’elle comprenne
 Ce qui Ă©tait loin d’ĂȘtre le cas pour l’instant. Soupirs. Mais qui sait. Peut ĂȘtre dans plusieurs annĂ©es, sa maturitĂ© aura Ă©voluĂ©e, tout comme ses deux personnalitĂ©s. Silence. Retournons a la rĂ©alitĂ©. Celle-ci si tendue
 Le froid rĂ©gnait, mais Riku ne laissait transparaĂźtre aucun frisson alors qu’elle Ă©tait que trĂšs peu couverte. Elle regrettait presque les vĂȘtements qu’elle portait il y a quelques minutes. MĂȘme ci ceux-ci n’étaient qu’amusement pour son interlocuteur. Alors que le jeune Niwa Ă©tait assez Ă©loignĂ©e d’elle, il commença a s’approcher, petit Ă  petit, en silence. Riku ne bougea pas, elle resta froide. Ses lĂšvres l’attiraient Ă©trangement, mais elle ne fit rien. Rien de plus que de regarder la scĂšne. Son visage si 
 SĂ©duisant. { x] }. Si si. C’était comme si Riku reprenait le dessus dans ces prises de faiblesses du DĂ©mon. Mais rien n’était fait. Alors que Niwa se trouvait qu’à cinq petits centimĂštre, et qu’elle pouvait jusqu’à entendre le moindre bruit de respiration qu’il produisait, il se retira, laissant devant elle une rose rouge, comme ses yeux. Sourire. Il l’a mis dans les mains de Riku qui ne put s’empĂȘcher d’accĂšpter le prĂ©sent. Sourire. Pourquoi tant se poser de questions ?Niwa – Hum hum hum
 Pourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu qu’à force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore l’est-ce ?
 »Silence. Il n’avait pas tort dans ses propos, et sans doutes Ă©tait-ce pour cela que la Chef des Mangemorts ne rĂ©pondit rien. Elle savait garder le silence dans de telles circonstances, elle se laissait plutĂŽt guidĂ©e par son instinct. Elle semblait pourtant si naturelle Ă  prĂ©sent.. Mais ses yeux Ă©taient toujours imprĂ©gnĂ©s de rouge, jusqu’à ses pupilles, ce qui prouvait que c’était toujours le DĂ©mon. Puis le personnage se trouvant sous ses yeux disparut en un instant pour se rĂ©fugier plus loin. Transplanage. Un air de musique. MĂ©lodieux, mĂ©lancolique, si triste. Le DĂ©mon transplana Ă  son tour et rejoingnis son partenaire. Un flĂ»te Ă  la main, elle Ă©couta quelques secondes, et une larme coula de son Ɠil. Son Ɠil qui Ă©tait redevenus vert, comme a son initial. Riku semblait contracter ses muscles, comme pour prouver une forme de rĂ©ticences, elle avait gagnĂ©e le combat. Surprise. Le DĂ©mon Ă©tait repartis, encore. Jamais elle ne s’était transformĂ©e autant en une seule journĂ©e. MĂȘme pas lorsqu’il Ă©tait lĂ , lui. Hikaru. Mais elle Ă©tait tout de mĂȘme heureuse de retrouver son corps. Rien qu’à elle. Mais que pouvait-elle dire au joueur de flĂ»te ? Une larme silencieuse coula aussi de l’autre Ɠil, mais resta discrĂšte. Bien trop sensible. Comme chaque Serdaigle. Elle n’était pas plus forte que les autres, mĂȘme trĂšs faible comparĂ©e a certains, son cƓur et son expĂ©rience au combat ne s’unissait pas, bien au contraire. Silence. Elle cacha ses yeux, pour avoir a Ă©vitĂ© une quelconque question inutile. Elle n’osa mĂȘme pas exprimer le fait qu’elle soit redevenue elle-mĂȘme, alors qu’il y a quelques secondes elle Ă©tait heureuse. Se sentirait-elle intimidĂ©e ? – Te connaĂźtre
pour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtre
 »Quelles paroles poĂ©tiques. Mais en saisissait-il l’importance ? Vouloir connaĂźtre Riku Ă©tait une bien grande chose, trop complexe. Que peu de personnes avaient rĂ©ussis Ă  cerner ce personnage, et celles-ci la connaissait depuis son enfance. Comment un parfait inconnu pouvait-il affirmer ça ? Et pourquoi avait-il l’air si sur de lui ? Riku ne comprenait pas un traite mot, ou plutĂŽt, elle n’y trouvait aucune signification particuliĂšre. Mais elle y rĂ©pondit, aprĂšs avoir passer le reste de manche de veste qu’il lui restait sur ses joue. Et dans une voix plutĂŽt naturelle, elle rĂ©pondit Hana-Bi – Penses-tu vraiment y arriver ? Peu y sont parvennus. Et encore moins en sont ressortis vivant. »Elle n’était plus froide dans ses propos, plutĂŽt prĂ©venante, elle donnait un conseil. Conseil qui allait ĂȘtre pris en compte ? Qui sait ?_________________uc_ Contenu sponsorisĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] * ...des mots... * [PV] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Quelques Mots» TROIS MOTS DE TROP pv Will» Laissons les mots courirent sur nos parchemins..Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers

Rienqu’une larme, Un peu de tristesse dans mes yeux, Qui te dĂ©sarme. Le cri de mon cƓur en silence. Rien qu’une larme, Comme une blessure qui nous Ă©loigne, puisque tu pars. J’ai peur de l’évidence. Tu me laisseras. J’en ai fait des efforts, Trop longtemps attendu. Notre amour est bien mort, mais tu ne l’as pas vu.
Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseQuand je te dis qu'il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deuxJ'étais certain cette foisQue rien ne me retiendrait La suite des paroles ci-dessous On se trompe quelquefoisUne larme a tout changéRien qu'une larme dans tes yeuxEt soudain je réaliseJe réalise que de nous deuxC'est moi le plus malheureuxPar ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleuré La suite des paroles ci-dessous J'ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restéRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aimeJe t'aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseRien qu'une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourireRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aime Explication de ñ€Ɠ Rien qu'une larme ñ€ ñ€ƓIl était chanteur à minettes, mais sans plonger dans la gaÃté et les chansons banales. Une mélancolie frappante se dégageait de ses chansons.  Qui saura »,  rien qu'une larme » ou alors  Dis-lui », ce sont tous de grands tubes du chanteur, et tous les trois des chansons de rupture dé Rien qu'une larme» est une chanson parue en 1973. En plein essor, le chanteur confirmait sa place bien méritée parmi les stars des années 70. Il réalisait plus de ventes que Claude François ou alors Johnny de Mike Brant est teinté d'une tristesse, qui est souvent liée au sentiment amoureux. Il était beau comme un dieu grec, et il avait tout pour lui, pourtant, il n'a pas été heureux. En effet, durant toute sa vie, il a été hanté par l'histoire de ses parents, qui ont survécu par miracle à la juive, l'artiste est devenu paranoïaque au fil du temps. Il ressentait une menace constante qui le poursuivait peu importe ses déplacements. Il a mÃÂȘme évité des concerts par peur d'attentats antisémites. Vivre avec cette peur au vente ne peut que se répercuter mal sur l'artiste. Il a fait une premiÚre tentative de suicide, à la deuxiÚme, il ne s'est pas sorti vivant. "Rien qu'une larme" est un titre qui parle d'un chagrin d'amour partagé entre les deux amoureux. Mike Brant rassure son amoureuse, lui dit qu'il aimera la voir sourire et non pas pleurer. Il est lui-mÃÂȘme malheureux dans cette relation, et la séparation doucereuse semble ÃÂȘtre le seul choix qu'il leur chanson s'est vendue à plus de disques vendus. Le succÚs de la chanson s'est étalé partout dans le monde, il est arrivé jusqu'au Canada. En 1975, le chanteur tire sa révérence, il a laissé ses fans choqués et terrifiés. Néanmoins, ses chansons resteront à jamais gravées dans le trésor de la chanson française. Les internautes qui ont aimé "Rien qu'une larme" aiment aussi Titre: Rien qu'une larme Paroles : Michel Jourdan Musique : Brand Moshe ----- C F Rien qu'une larme dans tes yeux G C C'est toujours ta seule rĂ©ponse C F Quand je te dis qu'il vaudrait mieux G C Ne plus se revoir nous deux E Am J'Ă©tais certain cette fois E C Que tu me retiendrais E Am On se trompe quelques fois F G Une larme a tout changĂ© Rien qu'une

Mike Brant Durée 0319 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE

Rienqu'une larme dans tes yeux xXxNightangelxXx. Envoyer un message; Offrir un cadeau; Suivre; Bloquer; Choisir cet habillage ; Partage. Tweet; Amis 0; Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage. Signaler un abus. Infos. CrĂ©ation : 31/01/2008 Ă  14:20; Mise Ă  jour : 14/01/2009 Ă  15:33; 32 articles; 20 commentaires. 2 amis; 3 favoris; Ses archives (32) Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Back to 4 Juin - 2355 BACK TO YOU❊ Tu Ă©tais au travail, une journĂ©e comme les autres pour toi. Tu avais depuis quelque temps beaucoup pensĂ© Ă  ta mĂšre, Ă  pouvoir la rencontrer d'une certaine maniĂšre. Tu avais pris le temps de faire pas mal de recherche et tu avais concoctĂ© un breuvage prĂ©vu Ă  cet effet. Heureusement, tu avais Charlie avec toi au magasin qui pouvait te permettre de te concentrer sur ton projet tandis qu'elle s'occupait des clients. AprĂšs tout, en ce qui concernait tout ce qui touchait aux potions et autres breuvages, tu savais que tu ne pouvais pas douter des capacitĂ©s de ton employĂ©. Tu savais qu'elle Ă©tait une sorciĂšre bien que tu ne lui avais jamais dit. Tu Ă©tais avec un client en train de le conseiller tandis que la blonde Ă©tait derriĂšre le comptoir. Tu avais rĂ©ussi Ă  satisfaire la demande de ton client et ce dernier s'en alla vers la caisse tandis que la cloche du magasin sonna, indicateur qu'une nouvelle personne entra dans l'Ă©tablissement. Tu Ă©tais tellement ravie que ton magasin soit si populaire et que tu ne sois pas en manque de clients. Enfin, il faut dire qu'avec une ville comme Tulsa, berceau des mystĂšres de la vie, berceau du royaume de la nuit. Tu allas donc voir le client en question quand tu vis cet homme, ton cƓur eu un ratĂ©. Il Ă©tait tellement beau, comme si, d'une certaine maniĂšre, tu le connaissais. Sa beautĂ© et sa prestance te frappĂšrent en premier lieu tandis que tes joues se rĂ©chauffĂšrent et que ton cƓur cognait ardemment dans ta poitrine. Cela te perturba davantage Ă©tant donnĂ© dont cela ne t'Ă©tait pas arrivĂ© depuis la mort de ton fiancĂ©, mort que tu venais rĂ©cemment d'en faire le deuil. Tu avais pris l'habitude de perdre tes proches depuis tes parents et celui que tu aimais. Tu repris rapidement contenance Monsieur, puis-je vous aider ? » Fis-tu alors en souriant grandement tandis que ton esprit continuait de chercher d'oĂč est-ce que tu avais bien pu le connaĂźtre pour que ce visage te sois si familier Vous cherchez quelque chose en particulier ? » Repris-tu alors en essayant d'ĂȘtre le plus professionnel possible. Tu Ă©tais aprĂšs tout la patronne des lieux et il serait dĂ©placĂ© qu'en tant que dirigeante, tu ne puisses pas ĂȘtre maĂźtresse de toi-mĂȘme en ce lieu. Bien que tu savais que Charlie pour t'occuper des autres clients. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 047Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ La journĂ©e avait Ă©tĂ© longue. Trop longue mĂȘme. Alexys avait enchaĂźnĂ© plusieurs gardes. Les malades continuaient d'affluer et le travail ne se faisait pas attendre. Cela faisait 72 heures qu'il n'avait pas quittĂ© les locaux de l'hĂŽpital. Heureusement pour lui, personne ne l'attendait Ă  la maison. Son cousin Ă©tant parti en voyage, Alexys avait tout le loisir de s'atteler Ă  ce qu'il savait faire le mieux Aider les humains. Bien qu'Ă©tant un vampire qui s'abreuvait du sang des ĂȘtres humains, il avait Ă  cƓur d'essayer par tous les moyens possibles de les sauver. Ces derniers jours, une patiente en particulier, avait retenu son intention. C'Ă©tait une petite mamie, pas plus vieille que la sienne. Elle Ă©tait tombĂ©e dans la rue. Rien de bien grave, si ce n'est une belle fracture du fĂ©mur. La dame avait quittĂ© les urgences pour le service de chirurgie orthopĂ©dique depuis un moment, mais Alexys passait chacune de ses pauses Ă  ses cĂŽtĂ©s. Le jeune homme aimait beaucoup sa compagnie. Depuis qu'il Ă©tait revenu Ă  Tusla, sa vie Ă©tait bien solitaire, sa grand-mĂšre Ă©tant restĂ©e en Irlande. Avoir cette petite dame dans les parages, lui faisait beaucoup de bien. Alexys s'Ă©tait mĂȘme surpris Ă  lui parler un peu de sa vie. Bien sĂ»r, il Ă©tait loin de lui avouer son petit secret, mais leurs conversations l'amusaient. Alors qu'Alexys quittait l'enceinte de l'hĂŽpital, l'un de ses collĂšgues le rattrapa. La petite mamie avait besoin d'huile de lavande et de citron pour son diffuseur qu'elle emmenait toujours avec elle. Il Ă©tait vrai que le jeune homme s'Ă©tait proposĂ© pour lui en ramener au besoin mais ... Pourquoi aujourd'hui ? Il avait tellement Ă  faire. Et puis, oĂč allait-il trouver ça ? Tusla avait bien changĂ© depuis le temps oĂč il y avait vĂ©cu. Pas le choix. Alex s'arma de son tĂ©lĂ©phone et lança une recherche internet. Le nom d'une boutique sortit du lot. Le LusanaĂ«l, 5 minutes Ă  pied. Parfait ! En arrivant devant la devanture du magasin, Alexys s'arrĂȘta. Sortant le petit mot qui lui avait Ă©tĂ© donnĂ© de la part de la mamie, il tenta de se rappeler des huiles pour lesquelles, il se trouvait ici. Quand cela fĂ»t encrĂ© dans sa mĂ©moire, il pris une grande inspiration et entra. A l'intĂ©rieur, il y avait des gens mais pas non plus la cohue. Les vendeuses avaient l'air occupĂ©e donc il patienta sagement en regardant les diffĂ©rentes pierres. Alexys n'Ă©tait pas friand de ce genre de croyance, mais cela ne l'empĂȘchait pas de les trouver jolies Ă  regarder. D'ailleurs, en parlant de jolie Ă  regarder ... Son regard fĂ»t attirĂ© par l'une des vendeuses. La brunette. AĂ«lynn. Mais que faisait-elle lĂ  ? A premiĂšre vue, elle semblait travailler ici. Dommage. Alexys eu bien envie de fuir devant la dĂ©couverte, mais trop tard, la brunette se dirigea dĂ©jĂ  vers lui pour le renseigner. Quand AĂ«lynn lui demanda si elle pouvait l'aider, Alexys resta stoĂŻque ... Comme paralysĂ©. Pour ĂȘtre honnĂȘte, il ne s'attendait pas Ă  tomber sur elle. Autrefois, il l'aurait bien envoyĂ© balader mais aujourd'hui, l'enjeux avait changĂ©. Le jeune homme devait absolument se reprendre. Et son sourire ... Oh misĂšre. " Je ... Hum ... A vrai dire ... Oui. J'aurai besoin d'huiles essentielles de lavande et de citron, s'il vous plait. "Ce ton embarrassĂ© ne lui convenait vraiment pas, mais que faire ? La brunette ne semblait pas le reconnaĂźtre. A vrai dire, il sentait une pointe de dĂ©ception lui parcourir les veines. Depuis son retour, le jeune homme ne s'Ă©tait jamais vraiment approchĂ© de la jeune femme, l'observant de loin, comme un vieux pervers. Si dans sa jeunesse, elle ne l'avait jamais intĂ©ressĂ©, aujourd'hui, la donne avait changĂ©e. Quelque chose qu'il ne pouvait expliquer l'attirer inĂ©vitablement vers elle. Sortant de sa stupeur, Alexys tenta une petite approche furtive afin de voir si la brunette ne gardait pas quelques souvenirs du petit garçon qu'il avait Ă©tĂ©, il fĂ»t un temps." Vous me rappelez beaucoup une jeune fille que j'ai connu, il y a quelques annĂ©es ... "DĂ©routant. Ca l'Ă©tait. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 5 Juin - 1151 BACK TO YOU❊ Il Ă©tait vrai qu'en te levant le matin, tu Ă©tais loin de te douter de ce qu'il allait pouvoir se passer dans la journĂ©e, tu avais des talents certes, mais tu n'avais pas le pouvoir de prĂ©monition. Quand bien mĂȘme certains pouvaient le penser, tu n'Ă©tais pas une sorciĂšre. Tu avais acquis l'art des plantes, des runes, des potions... Mais tu n'avais pas de pouvoir magique ou quel autre don. Bien souvent, on l'oubliait, mais tu Ă©tais une chasseuse comme tes frĂšres et sƓurs, enfin, tu l'avais dans le sang. En fronçant les sourcils, tu avais l'impression d'ĂȘtre une cracmol comme dans la littĂ©rature d'Harry Potter, avoir les gĂȘnes, mais pas le pouvoir. Pourtant, tu avais bien la force surhumaine ainsi que l'ouĂŻe, l'agilitĂ©, le rĂ©flexe et la guĂ©rison rapide des chasseurs. Toutes ces caractĂ©ristiques qui te diffĂ©renciaient des simples mortels. Tu secouais la tĂȘte et tu te concentras sur ta tĂąche maintenant que tu avais pus venir en aide Ă  une personne, c'est Ă  ce moment-lĂ  que la cloche retentit, indiquant qu'un nouveau client entra dans ton magasin. Et lĂ , comme si plus rien existait autour de toi, tu ne voyais que lui. Ce grand blond, les cheveux bouclĂ©s et les yeux d'un bleu ocĂ©an tel qu'on pourrait s'y noyait. Ton cƓur dĂ©jĂ  conquis Ă  cette simple vision, cela te perturbait au plus au point et pour cause, premiĂšrement tu Ă©tais certaines de le connaĂźtre, ton Ăąme peut-ĂȘtre ? Il est dit que certaines Ăąmes sƓur pouvaient se reconnaĂźtre instantanĂ©ment, mais tu savais bien que c'Ă©tait autre chose. DeuxiĂšme, c'Ă©tait bien l'unique et premiĂšre fois que ton cƓur battait de la sorte et depuis la mort de ton fiancĂ© jamais tu ne l'aurais cru possible.... D'autant plus, que d'aussi loin que tu t'en souviennes, mĂȘme pour ce dernier, il n'avait jamais bats de la sorte. Tu t'en voulais instantanĂ©ment, mais aprĂšs tout, tu Ă©tais libre et tu ne le lui devais plus rien maintenant qu'il Ă©tait parti rejoindre l'au-delĂ , que son Ăąme s’apprĂȘtant Ă  habiter un autre corps. Car oui, tu croyais en la rĂ©incarnation, tout comme en Karma... Sinon, comment cela pouvait ĂȘtre possible qu'autant de malheur s'abatte sur toi ? Si ce n'est que tu devais ĂȘtre une horrible personne dans ta vie antĂ©rieure. Enfin, calmant ton cƓur fougueux et reprenant tes esprits, tu fis ton devoir de vendeuse et te renseignant sur la demande de ton client C'est pour quel usage ? Demandas-tu ? » Te renseignas-tu donc Nous allons avoir de la citronnelle de Java pour ce qui recommandĂ© pour d'arthrites, tendinites ou rhumatismes ou alors celle de Ceylan plus pour les moustiques ou dĂ©mangeaisons » Fis-tu donc tout en prenant un sachet d'huile de lavande. Tu le regardais, toujours troublĂ©e, fascinĂ©e et attirĂ©e par lui. Tu fronças les sourcils quand il te disait te connaĂźtre. Tu ouvris la bouche puis tu la refermas ne sachant pas quoi dire. Alors peut-ĂȘtre que lui aussi pensait comme toi. Peut-ĂȘtre ressentait-il aussi ce que tu ressentais ? Tu rougis immĂ©diatement Ă  cette pensĂ©e et tu te maudis. Tu Ă©tais pourtant si douĂ©e pour cacher tes Ă©motions habituellement, mais avec lui, c'Ă©tait plus compliquĂ©e Tu vis Ă  Tulsa depuis longtemps ? » Demandas-tu bien que dans ta mĂ©moire, ce visage et cette allure imposante Ă  ton cƓur, tu l'aurais reconnue. Cependant, tu n'avais jamais quittĂ© cette ville alors tu ne pouvais connaĂźtre que d'ici. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 1403Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ Pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte. Alexys n'y connaissait strictement rien aux plantes, huiles et autres objets mystiques. Le jeune homme avait bien conscience que les vampires n'Ă©taient pas les seules et uniques crĂ©atures qui existaient et cohabitaient ensemble. Des loups, des sorciĂšres et mĂȘme des chasseurs. Quel beau petit monde. Tout cela, il l'avait dĂ©couvert lorsqu'il avait rĂ©alisĂ© des recherches aprĂšs sa transformation. Tusla semblait compter dans sa population bon nombre de ses crĂ©atures. A l'Ă©poque, il lui avait semblĂ© essentiel de revenir sur sa terre natale afin de dompter sa nouvelle nature. La seule chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait de devoir dompter la nouvelle nature de son cousin. Grand bien lui fasse, ce dernier avait dĂ©cidĂ© de faire le tour du monde. Un problĂšme de moins dans les environs, c'Ă©tait dĂ©jĂ  pas contre, la deuxiĂšme chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait que la petite moche d'Ă  cĂŽtĂ© qui aujourd'hui, Ă©tait devenue une trĂšs belle chenille, provenait d'une cĂ©lĂšbre famille de chasseurs. Etant enfant, la famille n'avait pas vraiment d'importance. Mais aujourd'hui, l'histoire Ă©tait tout autre. C'est surement la raison pour laquelle Alexys n'avait jamais vraiment osĂ© s'approcher d'AĂ«lynn. Bien qu'elle l'attirait beaucoup. Tragique existence. Comment faire quand l'objet de vos dĂ©sirs, pouvait se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre l'objet de votre perte ? Bien qu'Alexys aie une fĂącheuse tendance aux comportements auto-destructeurs, il n'Ă©tait pas suicidaire pour autant. Leur rencontre aujourd'hui, Ă©tait tout bonnement fortuite. Une simple demande d'une grand-mĂšre qui avait su effleurer le cƓur de pierre du jeune homme. Alors qu'Alexys buvait ses paroles d'une façon trĂšs niaise, la carotide de la jeune femme attira son attention. L'odeur de son sang mĂȘme, l'attirait. Comme un doux parfum dont ses narines, ne pouvaient se dĂ©faire. Quoiqu'il en soit, ses instincts de vampire se devaient de disparaĂźtre aussi vite que l'Ă©clair. Le jeune homme ne pouvait se trahir aussi facilement. Sa main se posa dans sa chevelure blonde, jouant quelques instants avec une boucle afin de donner l'impression d'une rĂ©flexion intensive. Ou pas. " Je pense que la citronnelle de Java fera l'affaire. C'est pour l'une de mes patientes qui a quelques soucis de hanche pour le moment. C'est elle qui m'a demandĂ© de lui en rapporter. Les huiles et les cailloux, ce ne sont pas vraiment mon domaine de prĂ©dilection pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte. "Instant live OK. Oui bon, la petite explication n'Ă©tait pas vraiment nĂ©cessaire, mais Alexys ressentait un rĂ©el besoin de se justifier. Le jeune homme ne voulait pas passer pour un petit ĂȘtre fragile qui avait besoin de ses petites huiles pour soigner des maux de grand-pĂšre et il ne voulait surtout pas que la jeune femme pense qu'une autre femme se cachait sous cette demande. Il Ă©tait bien connu que ce genre de pratique Ă©tait trĂšs souvent fĂ©minine. Se grattant doucement la tĂȘte pour cacher une petite gĂȘne, Alexys se rendit compte que les joues de la jeune femme, avaient rougi Ă  sa question. Cependant, cela fit vite effacĂ© par des sourcils froncĂ©s et une mine qui en disait long. Apparemment, la tĂȘte du jeune homme ne lui disait rien. Dommage. Cela aurait tellement Ă©tĂ© plus simple pour l'aborder. Arriver avec des gros sabots et lui dire Hey Meuf ! Tu me plais. Ça fait un moment que je t'observe Ă  la façon de Joe Goldberg dans la sĂ©rie You. Non. Hors de question. Croisant les bras derriĂšre son dos, Alexys lui servit son plus beau sourire. Ce sourire, il en avait dĂ©jĂ  fait des ravages. C'Ă©tait son meilleur numĂ©ro de charme pour attirer l'attention des jolies filles. Jusqu'Ă  prĂ©sent, cette technique avait toujours portĂ©e ses fruits." Je suis originaire de Tusla mais j'ai dĂ» quitter la ville quand j'Ă©tais enfant pour rejoindre de la famille Ă  l'Ă©tranger. Maintenant, ça doit faire environ deux ans que je suis revenu dans le coin. "AĂ«lynn semblait troublĂ©e par l'interrogation du jeune homme. Ne voulant pas la brusquer puisqu'il avait enfin rĂ©ussi Ă  lui adresser quelques mots, il soupira lĂ©gĂšrement avant de continuer sur sa lancĂ©e." Mais ne vous en faites pas. J'ai surement dĂ» me mĂ©prendre. J'ai connu quelqu'un qui vous ressemblez beaucoup dans ma jeunesse. C'est surement la raison pour laquelle, je vous ai confondue. Veuillez m'excuser pour ma maladresse. " Une petite rĂ©vĂ©rence Ă  la maniĂšre des bourgeois. L'arme ultime de sĂ©duction. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 6 Juin - 016 BACK TO YOU❊ Et tu Ă©tais lĂ , Ă  faire ton travail de vendeuse tandis que ton esprit et ton cƓur n'Ă©taient plus vraiment lĂ , distrait par la beautĂ© de ce jeune homme. Tu avais du mal Ă  garder contenance et ton sĂ©rieux, mais tu Ă©tais la propriĂ©taire de ces lieux. Alors quand il te parla de ce qu'il voulait, tu sautais sur l'occasion pour parler des produits, cela t'obligeait Ă  ne pas penser Ă  l'impact de ses lĂšvres sur les tiennes, de ses baisers le long de ta nuque. Ce n'Ă©tait pas du tout professionnelle d'une part et d'un autre, tu ne le connaissais mĂȘme pas ce n'Ă©tait pas sĂ©rieux du tout. Tu te mis Ă  rire quand il s'expliqua Effectivement alors, c'est mieux celle de Java » Fis-tu alors Les cailloux, vraiment ? » Repris-tu en levant les sourcils tout en ayant une petite moue amusĂ©. Comment pouvait-il dire cailloux » dans ce genre d'Ă©tablissement Je vous crois quand vous me dĂźtes que vous y connaissez rien » Repris-tu alors toujours le sourire aux lĂšvres tandis que tu t'Ă©loignais de lui dĂ©jĂ  pour lui prendre son huile de Java et ensuite pour pouvoir reprendre tes esprits, cela ne te ferait pas de mal, au contraire. Avant de le rejoindre de nouveau, tu fis un petit dĂ©tour afin de prendre un petit bouquin concernant les runes et les pouvoirs de pierres sur l'environnement, les personnes Peut-ĂȘtre que ceci vous intĂ©resserez ? Si jamais les cailloux vous intrigues » Proposas-tu donc en reprenant exprĂšs son terme afin de la taquiner. Et tout comme le fait qu'il te paraissait si familier, le fait de parler ou bien mĂȘme de plaisanter avec lui Ă©tait comme naturel, comme si vous Ă©tiez des vieux amis de longue date. Et pourtant, ce n'Ă©tait pas le cas. IndĂ©niablement, il y avait un lien entre vous. Et d'ailleurs, ce dernier devait penser la mĂȘme chose puisque tu avais pour lui, la mĂȘme familiaritĂ©, Tulsa Ă©tait une si petite ville. Et comme une dĂ©charge Ă©lectrique, ce sourire. Bien sĂ»r que tu le connaissais, ce cĂŽtĂ© charmeur. Tu compris, tu savais Je n'y peux rien, c'est de ma famille... Si tu voyais celui de mon cousin, il est encore plus diabolique » C'Ă©tait ce que James te disait. James, l'homme avec qui tu Ă©tais, ton premier amour, ton fiancĂ©, qui est mort il y a un moment maintenant. Et comme une dĂ©ferlante de souvenirs de toi enfant, ta meilleure amie, James et son cousin jouant ensemble, son cousin qui t'agaçait Ă  avoir de trop longue jambes pour pouvoir lui courir aprĂšs Alexys ? » Fis-tu avec un mĂ©lange d'affirmations et de questionnement. InstantanĂ©ment, tu reculas, te cognant par la mĂȘme occasion contre le meuble derriĂšre toi. Tu n'avais jamais eu de nouvelle de lui, il n'avait mĂȘme pas dĂ©niĂ© venir Ă  l'enterrement de son cousin, pourtant si proche. Une vague de colĂšre naquit en toi et surtout, un torrent de culpabilitĂ©, comment cela se faisait-il que le seul gars qui avait rĂ©ussis Ă  faire battre de ton cƓur depuis la mort de ton fiancĂ© Ă©tait le cousin de ce dernier. Une petite larme tentait de s'Ă©chapper dans le coin de ton Ɠil. Tu avais l'impression d'ĂȘtre une horrible personne quand mĂȘme. Et pourtant, tu ne pouvais admettre que James avait eu raison Ă  chaque fois, le sourire et le charme d'Alexys Ă©tait bien plus diabolique que celui de James, bien difficile Ă  y rĂ©sister. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 6 Juin - 2148Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ Les cailloux que la jeune femme vendait, n'intĂ©ressaient vraiment ... Vraiment ... VRAIMENT pas Alexys. Un peu macho sur les bords, le jeune homme avait toujours considĂ©rĂ© que certaines activitĂ©s Ă©taient beaucoup plus fĂ©minines que d'autres et que cela devait le rester. AĂ«lynn se serait surement bien entendu avec MĂ©mĂ© Ellis. Durant sa jeunesse, sa grand-mĂšre rangeait toujours des pierres Ă  de nombreux endroits dans la maison. Alexys n'avait jamais vraiment compris pourquoi. Maintenant qu'il Ă©tait tombĂ© Ă  ses dĂ©pends dans le monde surnaturel, les lubies de sa grand-mĂšre, Ă©taient peut-ĂȘtre justifiĂ©es en fin de compte. Quoi qu'il en soit, Alexys ne voulait pas se montrer impoli envers la jeune femme qui semblait dĂ©jĂ  contrariĂ©e par le surnom que donnait le jeune homme aux pierres mystiques. SacrilĂšge. Voyant qu'AĂ«lynn s'Ă©loignait de quelques pas afin d'aller chercher l'huile que lui avait demandĂ© Alexys, il l'a suivi. " Vraiment. Ce n'est pas que je remets en doute leurs ''propriĂ©tĂ©s'', bien au contraire. Et puis, je n'oserai pas insultĂ© la profession d'une si jolie demoiselle. Avec votre sourire, je suis sĂ»re que vous arriveriez Ă  vendre un livre Ă  un aveugle. "Bien que le compliment soit trĂšs grossiĂšrement lancĂ© dans la marre aux grenouilles, Alexys Ă©mit un petit rire. Il Ă©tait vrai que plus jeune, AĂ«lynn n'avait pas vraiment marquĂ© de sa beautĂ© l'esprit du jeune homme qui a cet Ăąge, pensait plus Ă  jouer au playmobil qu'Ă  draguer les petites filles. Mais aujourd'hui ... Quelle beautĂ©. D'ailleurs, Alexys se souvenait trĂšs bien du jour oĂč il avait revu la jeune femme par le plus grand des hasards. Comme Ă  son habitude, Alexys traĂźnait dans le parc municipal sans rĂ©el but, si ce n'est que d'observer les nuages. C'est Ă  ce moment-lĂ  qu'elle apparue sur le sentier non loin de lui, telle une dĂ©esse tombĂ©e du ciel. Les cheveux virevoltant Ă  la brise lĂ©gĂšre, sa dĂ©marche affirmĂ©e, son sourire ... Oh son sourire... Aussi flamboyant que le soleil. L'image semblait irrĂ©elle. Jamais une femme n'avait su attirer son regard de cette façon. Sans vraiment savoir le pourquoi, du comment, Alexys se sentait comme attirĂ© vers elle. D'ailleurs, il chercha par tous les moyens Ă  la revoir. Ce n'est que bien plus tard, qu'il dĂ©couvrit que la jeune femme n'Ă©tait autre que son ancienne voisine. Puisque gentiment AĂ«lynn lui tendit un livre afin de combler son manque de connaissances en matiĂšre de pierre, Alexys n'eue pas le cƓur Ă  lui refuser. Tout en lui souriant, il lui pris des mains. Pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte, Alexys se sentait déçu que la jeune femme ne se souvienne pas de lui. Avec ses bouclettes blondes, il pensait ĂȘtre inoubliable dans l'esprit des gens. A croire que le ressenti que le jeune garçon avait Ă  cette Ă©poque envers elle, Ă©tait rĂ©ciproque. MĂȘme si Ă  son habitude, Alexys avait l'art d'insister lorsqu'il voulait obtenir quelque chose, cette fois-ci, il n'en Ă©tait rien. Cette fille avait ce genre d'emprise sur lui, sans s'en rendre compte. Il ne voulait pas la brusquer. Et puis, il avait tout son temps. AprĂšs tout, le jeune homme Ă©tait vampire maintenant. Alors s'il fallait d'abord passer par le stade connaissance et ami afin d'acquĂ©rir sa confiance, Alexys comptait bien le faire. D'ailleurs, depuis tout ce temps, le jeune homme ne s'Ă©tait mĂȘme pas posĂ© la question de savoir si AĂ«lynn avait quelqu'un dans sa vie ? De toute façon quoi qu'il en Ă©tait, Alexys comptait bien rentrer dans la vie d'AĂ«lynn comme une petite puce. D'abord, invisible. Ensuite, envahissante. Et quand on se rend compte qu'elle est indĂ©logeable, il est dĂ©jĂ  trop tard, vous ĂȘtes mordu. Le jeune homme Ă©tait loin d'ĂȘtre un expert en amour. D'ailleurs, pouvait-on rĂ©ellement parler d'amour ? L'amour ? Quesako ? Alexys n'avait jamais aimĂ©. Mais par contre, rien ne l'arrĂȘter. Dans le genre dĂ©terminĂ©, c'Ă©tait un expert. L'espace d'un instant, Alexys ne compris pas trop ce qui venait de se passer. Alors qu'il s'Ă©tait rĂ©signĂ© pour cette fois, Ă  ce qu'AĂ«lynn ne le reconnaisse pas, cette derniĂšre cita son prĂ©nom et se retrouva l'instant d'aprĂšs en mode table bancale contre un meuble. D'une Ăąme chevaleresque, le jeune homme s'approcha d'elle et lui tendit sa main afin de l'aider Ă  se remettre sur ses jambes, tout en lui souriant." Si on m'avait dit que citer mon prĂ©nom procurait cet effet, je ne t'aurai pas demandĂ© si tu me reconnaissais ... Tu ne t'es pas fait mal, j'espĂšre ? "Un rapide coup d’Ɠil et de narines, permit Ă  Alexys de supposer que la jeune femme n'avait rien. Le choc n'avait pas Ă©tĂ© violent mais tout de mĂȘme. Cependant, mĂȘme si Alexys avait pris l'accident comme une maladresse, il se surpris Ă  se demander pourquoi AĂ«lynn avait un air aussi triste. " Si j'avais su que me revoir te dĂ©plairait autant, je n'aurai rien dit. "Le jeune homme Ă©tait un peu blessĂ© par la rĂ©action de la jeune femme. D'ailleurs, sa mine charmeuse laissa place Ă  un petit rictus gĂȘnĂ©. MĂȘme s'ils n'avaient jamais Ă©tĂ© aussi proche qu'une moule et son rocher, Alexys espĂ©rait quand mĂȘme un peu plus d'enthousiasme. Un peu comme lorsqu'on retombe sur son vieux survĂȘtement prĂ©fĂ©rĂ© qu'on avait oubliĂ© de mettre au lavage depuis un mois et qu'on pensait avoir perdu ... Tenant fermement le livre que lui avait donnĂ© plus tĂŽt AĂ«lynn dans sa main gauche, le jeune homme jeta un rapide coup d’Ɠil Ă  l'environnement. Une deuxiĂšme vendeuse se tenait Ă  la caisse et par miracle, elle ne semblait pas occupĂ©e. Grimaçant lĂ©gĂšrement avant de soupirer doucement, Alexys lui sourit timidement un instant." Je ne vais pas te dĂ©ranger plus longtemps. Tu dois surement ĂȘtre occupĂ©e. "Était-ce l'unique Ă©chappatoire pour se tirer de cette situation plutĂŽt embarrassante. Bien qu'Alexys n'avait pas envie de partir aussi prĂ©cipitamment, la tournure de la situation l’exigeait. En tout cas, il n'aurait jamais imaginĂ© que leurs retrouvailles se dĂ©rouleraient de la sorte ... Et Me*de !! CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 7 Juin - 017 BACK TO YOU❊ Était-ce bien sĂ©rieux de se laisser charmĂ© de la sorte en plein milieu du magasin, de ton magasin ? Tu connaissais bien la rĂ©ponse, cela ne se faisait pas. Mais combien de personne pouvait nous transporter en si peu de seconde avec un regard, une odeur, un sourire ? C'Ă©tait juste irrĂ©elle, oui, c'Ă©tait ça le terme, lui et toute cette Ă©nergie qui se passait entre vous... Tu croyais fĂ©rocement aux Ăąmes sƓurs, tu croyais rĂ©ellement que deux personnes Ă©taient destinĂ©e tout comme tu croyais farouchement qu'on pouvait aimer plus d'une personne en mĂȘme temps et encore plus tout le long d'une vie, qu'on pouvait tomber amoureux plusieurs fois lors de notre passage sur terre, mais pour l'Ăąme-soeur, sa moitiĂ©, il n'y en avait qu'une. Et c'est donc comme cette Ă©vidence qui te frappa l'esprit... Pourtant, tu Ă©tais dĂ©jĂ  tombĂ©e amoureuse, tu avais dĂ©jĂ  connu l'amour, le bonheur, un homme dont tu Ă©tais persuadĂ© que tu finirais avec, oĂč tu avais rĂȘvĂ© de construire une famille, un empire avec. Tu l'avais aimĂ© de tout ton cƓur, pourtant, tu devais bien le reconnaĂźtre... MĂȘme s'il y avait eu de l'amour et de la complicitĂ©, de la tendresse et du respect... Il n'y avait pas cette attraction incontrĂŽlable, cette attirance dĂ©chaĂźnĂ©e. Tu n'Ă©tais qu'un pantin manipulĂ© par le fil du destin. Il est vrai que tu t'Ă©tais souvent imaginĂ© avoir un fil invisible au-dessus de ta tĂȘte oĂč l'univers dirigeait avec un sadisme sans borne. Tu le regardas, rougissante Ă  nouveau avant de regarder le sol, son regard d'un bleu/vert si magnifique en Ă©tait trop pour toi, incapable de le soutenir sans perdre tout sens de la rĂ©alitĂ© Et vous, guĂ©rir toutes les mamies avec un regard pareil » RĂ©pliquas-tu doucement en rentrant dans son jeu, sans pour autant te mettre en danger plus que tu ne le faisais dĂ©jĂ . Et tu pensais qu'il ne pourrait pas plus t'atteindre, mais tu te trompais lourdement... Ce sourire qu'il venait d'afficher, tu le connaissais, tu le connaissais pour avoir vĂ©cu une belle histoire d'amour avec un autre qui possĂ©dait la mĂȘme, un homme que le destin t'avait arrachĂ©. Ce charme familial. En prononçant son prĂ©nom et voyant son visage confirmer que c'Ă©tait bien lui, tu reculas, comme pour te protĂ©ger de cette attraction. Tu Ă©tais pourtant si prĂȘte Ă  te laisser embarquĂ©e dans ce bateau mystĂ©rieux, mais cette rĂ©vĂ©lation te fit froid dans le dos. Comment se pouvait-il que celui que tu croyais ĂȘtre ton Ăąme sƓur soit le cousin de l'homme avec qui tu devais t'unir pour la vie ? Tel un chevalier, il t'aida Ă  te remettre sur pied, Ă  contre cƓur, tu acceptas. Son touchĂ©, le seul touchĂ© de sa main sur la tienne te donna des frissons et ta douleur et ta colĂšre refirent surface. Bien sĂ»r que je n'Ă©tais pas ravie de le voir, tu l'avais tellement maudits ces derniĂšres annĂ©es, il avait abandonnĂ© son cousin, son cousin qui le considĂ©rait comme son meilleur ami, comme son confident Tu n'as jamais Ă©tĂ© trĂšs sympa avec moi lorsque nous Ă©tions enfants » RĂ©pondis-tu, c'Ă©tait une demi vĂ©ritĂ©, mais bien sĂ»r, ce n'Ă©tait pas les souvenirs et les comportements d'enfants qui te repoussait chez lui, c'Ă©tait le fait qu'il n'avait mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent pour les obsĂšques de ton fiancĂ©, de son propre cousin, et cela, ce n'Ă©tait pas pardonnable pour toi. Tu t'Ă©loignas de nouveau de lui, faisant attention cette fois, croisant les bras tandis qu'il avait pour projet de partir et d'aller rejoindre la caisse. Tu le laissais faire ses achats. Comme bloquĂ©e, paralysĂ©e, tu ne bougeais pas. Une part de toi te suppliait de ne pas le laisser partir comme ça, sur cette note frustration et surtout, ce n'Ă©tait pas ton genre de ne pas dire ce que tu pensais. Il quitta le magasin, tu avais dĂ©tournĂ© la tĂȘte quand tu sentis son regard une derniĂšre fois se poser sur toi. Et c'est Ă  peine la porte fermĂ©e que tes jambes et ton esprit reprirent contenance. Sans un mot, tu quittais le magasin Ă  ton tour James » t'Ă©crias-tu alors James tenait Ă©normĂ©ment Ă  toi, il parlait souvent de toi, constamment, tu n'Ă©tais pas que son cousin, tu Ă©tais son frĂšre, son meilleur ami, son confident » Fis-tu donc tandis que le blond se retourna Et il est mort, il est mort et tu n'as rien fait... Tu n'as mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent lors de ses funĂ©railles... Comment as-tu pu lui faire ça ? » Demandas-tu, la larme roula le long de ta joue. Tu ne savais pas si c'Ă©tait une larme de colĂšre ou de tristesse, peut-ĂȘtre mĂȘme bien les deux, qui sait. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 17 Juin - 023Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Cette situation, Alexys ne l'avait jamais vĂ©cue auparavant. Il y avait toujours une premiĂšre Ă  tout. C'est vrai. Mais, le jeune homme dĂ©testait se sentir impuissant. Et quelle ironie lorsqu'un vampire se sentait impuissant. Perdu entre un sentiment Ă©trange qu'il ne pouvait comparer Ă  aucun autre, et un sentiment de jet-lag complet. Un peu comme si un train lui Ă©tait roulĂ© dessus. Plus rien n'avait de sens. Cette AĂ«lynn, Alexys l'avait dĂ©jĂ  tellement mĂ©prisĂ© Ă©tant enfant. A juste titre. Comment aimer une gamine aussi collant qu'un chewing-gum collĂ© Ă  une basket ? OĂč qu'ils allaient, la petite fille les suivait. Gentille ? Elle l'Ă©tait. Mais, la gentillesse ne faisait pas tout. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle Alexys se sentait aussi perdu Ă  l'instant prĂ©cis. Comment avait-il pu penser de telle chose alors qu'aujourd'hui, la petite moche l'attirait comme jamais personne ne l'avait fait ? Pendant tout un temps, il avait pensĂ© Ă  un effet secondaire au vampirisme. Cependant, aprĂšs de nombreuses recherches dans la littĂ©rature existante sur le monde surnaturel, rien n'avait Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© Ă  ce sujet. Et Ă©videmment, Twilight n'Ă©tait pas une rĂ©fĂ©rence, hein !Alors qu'Alexys dĂ©vorait littĂ©ralement du regard la jeune AĂ«lynn, la rĂ©alitĂ© le rattrapa aussi vite que la vitesse de la lumiĂšre. Pouf. Hypercute. KO total. Que rĂ©pondre Ă  ça ? La jeune femme avait totalement raison. DĂšs le moment oĂč Alexys avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, l'ambiance avait brusquement changĂ©. Le charme semblait avoir laissĂ© sa place Ă  l'amertume. Le jeune homme n'avait pas l'habitude de perdre le contrĂŽle. Il ne pouvait pas se dĂ©filer alors qu'il venait de faire le plus gros du travail d'approche. Un peu comme Ă  la chasse, le plus important, c'Ă©tait d'approcher de l'animal sans qu'il ne fuit. Maintenant que cette Ă©tape Ă©tait passĂ©e, il ne restait plus qu'Ă  apprivoiser la tigresse qui lui lançait des regards aussi enflammĂ©s que des mitraillettes prĂȘtes Ă  faire feux Ă  tout moment. Je 
 Euh. Disons simplement que l'Ăąge fait mĂ»rir notre intelligence. C'est bien connu 
 »Alexys balbutia ces quelques mots avec beaucoup de difficultĂ©s. Comment justifier la bĂȘtise de sa jeunesse ? AprĂšs tout, il n'y avait que les idiots qui ne changeaient jamais d'avis 
 Mais quel idiot ! Quel idiot faisait-il maintenant ! Alexys avait beau avoir eu des dizaines de filles dans ses bras, jamais aucune d'entre elles, ne l'avaient bouleversĂ© comme le faisait la jeune femme. MĂȘme un million de leurs Je t'aime », n'ont jamais rĂ©ussi Ă  faire fondre son cƓur de glace. Comment expliquer qu'un simple battement de ses cils, l'enflammait instantanĂ©ment ? Chacun de ses sourires rĂ©chauffaient son Ăąme. La regarder, Ă©tait un rĂ©el plaisir. Une rĂ©elle obsession. Un rĂ©el besoin. Cette rencontre, Alexys en avait souvent rĂȘvĂ©. Et pourtant, la tournure que prenait cette conversation, frĂŽlait bientĂŽt la sensation dĂ©sagrĂ©able, Alexys l'avait ressenti en aidant AĂ«lynn. Le dĂ©testait-elle autant pour frissonner de cette façon Ă  son contact ? Jetant un coup d’Ɠil rapide Ă  sa main, le jeune homme resta bloquĂ© un instant. Ses pensĂ©es dĂ©ferlaient dans son esprit comme les rapides d'une riviĂšre tourmentĂ©e. Beaucoup de sentiments se bousculaient. Devait-il ĂȘtre exĂ©crable avec elle ? Devait-il la pousser d'oĂč il l'avait aidĂ© Ă  sortir pour se venger de sa rĂ©action ? Devait-il lui avouer son obsession ? OĂč devait-il tout simplement fuir ? La fuite n'avait jamais Ă©tĂ© sa meilleure tactique. En d'autres temps, il l'aurait sĂ»rement repoussĂ© dans le meuble sur lequel, elle Ă©tait tombĂ©e. Se moquant royalement de sa douleur. Étrangement, c'est la fuite que choisit Alexys. Un lĂąche. VoilĂ  ce qu'il Ă©tait pour le que ses achats Ă©taient rĂ©glĂ©s, Alexys pouvaient prendre ses jambes Ă  son cou et partir loin. TrĂšs loin de cette boutique. Cette boutique, le jeune homme n'y aurait jamais mis les pieds s'il n'avait pas eu pitiĂ© de cette petite vieille aux yeux de biche. Pourtant, en posant sa main sur la poignĂ©e, un sentiment de regret le traversa comme un coup de poignard en plein cƓur. L'espace d'un instant, la vision de cette femme marchant dans ce parc, repassa devant ses yeux. Elle, qui l'avait tant obnubilĂ© depuis ce jour. Devait-il s'avouer vaincu aussi facilement ? Lui qui avait tellement espĂ©rĂ© ce contact 
 Aussi simple et bref avait-il Ă©tĂ© 
 Rapidement, le jeune homme pesa le pour et le contre. Mais pourquoi rester alors que sa prĂ©sence semblait dĂ©ranger la jeune femme au plus haut point ? C'est donc avec beaucoup d'amertume qu'Alexys ouvrit la porte et sortit de la boutique, jetant un dernier regard dĂ©sespĂ©rĂ© Ă  la jeune femme, avant de tourner les talents. Puisqu'il Ă©tait en possession de l'huile, autant la ramener Ă  la petite vieille. Et puis, autant lui donner le livre par la mĂȘme occasion. Alexys ne voulait garder aucun souvenir de cette rencontre. Le mieux, Ă©tait de tout donner. Pourtant, alors que ses pensĂ©es s'entrechoquaient entre-elles, telles des boules de pĂ©tanque qu'on lançait lors d'un tournoi, le jeune homme entendit des pas trĂšs rapides qui se dirigeaient dans sa direction. Ne voulant pas paraĂźtre dĂ©sespĂ©rĂ©, Alexys ne se retourna pas pour assouvir sa curiositĂ© ardente. Pourtant, le prĂ©nom que prononça au loin la jeune femme, fit stopper net Alexys. La suite de son discours, finit par le scotcher littĂ©ralement. Pourquoi accordait-elle tout Ă  coup, autant d'importance Ă  James, son cousin ? Alexys ne comprenait pas un traitre mot de ce que dĂ©blatĂ©rait AĂ«lynn. D'ailleurs quand il se retourna pour lui faire face, la vision qui lui fit face, le choqua profondĂ©ment. Pourquoi pleurait-elle ? Pourquoi semblait-elle aussi atteinte par la mort de James ? Enfin la mort 
 James ne valsait pas avec les vers de terre, certes. Mais ça, Alexys ne pouvait l'avouer Ă  la jeune femme. La seule chose qu'il avait envie de faire 
 C'Ă©tait de lui crier dessus. Une vague de colĂšre l'envahit. Que sais-tu vraiment de notre relation avec James ? Qui es-tu pour me juger ? Que sais-tu de moi ? De ma vie ? De mon passĂ© ? Comment peux-tu te permettre de me faire la morale de la sorte alors que je ne t'aurai mĂȘme pas donnĂ© l'heure, il y a quelques annĂ©es ? Ne fais pas comme ci tes pleures m'attendrissaient au point de me justifier, AĂ«lynn. Je n'ai de compte Ă  rendre auprĂšs de personne. »Dur. Les mots que venaient d'employer Alexys, Ă©taient durs. TrĂšs durs. MĂȘme trop durs. Le jeune homme se sentait en colĂšre. La colĂšre Ă©tant amplifiĂ©e par le cĂŽtĂ© vampirique, le rendait encore plus exĂ©crable qu'avant. Il n'avait pris aucune pincette avec AĂ«lynn. Alexys avait simplement balancĂ© les premiĂšres remarques qui lui Ă©taient venues Ă  l'esprit. Au risque de blesser la jeune femme. D'ailleurs, l'Ă©tat dans lequel elle se trouvait, l’énervait autant qu'il l'intriguait. Pourquoi rĂ©agissait-elle comme ça ? Quelle relation pouvait-elle bien entretenir avec James pour se mettre Ă  pleurer ? Alexys avait toujours su que si la jeune femme les collait Ă©tant jeune, c'Ă©tait sĂ»rement parce qu'elle en pinçait pour l'un d'eux. Pourtant, James n'avait jamais fait d'allusion Ă  son sujet. Alexys savait que son cousin entretenait une relation avec une jeune femme, au point de vouloir l'Ă©pouser mais jamais, James n'avait fait d'allusion Ă  AĂ«lynn. Il disait sans cesse qu'Alexys ne le connaissait pas. Se pourrait-il qu'il lui aie menti ? Non. Cela ne pouvait ĂȘtre vrai 
 Alexys sentait la jalousie lui monter aux joues. Ses poings se serraient au point dĂ©crasser totalement la poignĂ©e du sac contenant l'huile et le livre. Beaucoup de scĂ©narios se jouaient dans son esprit. Le pire d'entre tous, c'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel AĂ«lynn jouait la fiancĂ©e Ă©prise de son dĂ©funt qui n'Ă©tait pas si dĂ©funt que ça. Le meilleur ? C'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel la jeune femme jouait simplement l'amie d'enfance un peu rabat-joie. Finalement, c'est celui que le jeune homme dĂ©cida de choisir pour apaiser ses Ă©motions, parties un peu trop en vrille. L'instinct animal du vampire s'Ă©tait rĂ©veillĂ©. Un peu comme si ses Ă©motions Ă©taient passĂ©es en Off. MĂȘme s'il ne l'avouera jamais, entendre AĂ«lynn s'inquiĂ©tait de ce qu'avait pu vivre ou ressentir un autre homme que lui, le rendait fou. Malade. Malade de jalousie. Ou tout simplement malade d'amour pour la jeune femme ? Quoi qu'il en soit, Alexys ne comptait pas se dĂ©gonfler. Il devait savoir. Elle devait passer aux vƓux. Qu'elle le veuille ou non. D'un pas un peu trop dĂ©cidĂ©, il s'avança vers la jeune femme. Croisant ses bras sur sa poitrine, le sac pendait contre son torse, il nargua AĂ«lynn du regard, arborant cet air suffisant qui l'avait tant caractĂ©risĂ© auprĂšs de ses anciennes conquĂȘtes, signe que la tempĂȘte Ă©tait proche 
 D'ailleurs, que nous vaut cette soudaine considĂ©ration ? Il y a quelques instants, tu m'as rappelĂ© Ă  quel point je te mĂ©prisais quand nous Ă©tions enfants. Pourquoi penses-tu qu'il n'en Ă©tait pas de mĂȘme pour James ? Tu penses avoir eu la moindre importance pour lui ? Je rĂȘve. Tu te prends pour sa copine ou quoi ? Qui Ă©tais-tu pour lui ? Qui Ă©tais-tu pour te permettre de me faire un sermon sur mon devoir de cousin de la sorte ? Stuart, je ne suis plus cet enfant que tu peux sermonner comme bon te semble. Grandis un peu. Si je n'Ă©tais pas prĂ©sent, c'est sĂ»rement parce que j'avais mes raisons. Et ces raisons, elles ne concernent que moi. "Qui a dit que les retrouvailles devaient toujours ĂȘtre joyeuses ? Ce qui Ă©tait sĂ»r, c'Ă©tait que l’impertinence et l’arrogance d'Alexys, allaient sĂ»rement lui jouer des tours 
 CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 021 BACK TO YOU❊ Comment cela Ă©tait-il possible de changer d'une situation de tout au tout en une fraction de seconde. Tu Ă©tais grossiĂšrement en train de flirter avec lui en pleins milieu de ton magasin, rougissante comme une adolescente avec le cƓur en crise de tachycardie et l'instant d'aprĂšs, la colĂšre, la tristesse et la rancune t’enivras. C'est dingue comme l'identitĂ© d'une personne pouvait jouer sur l'aspect relationnel. Tu tombes en amour et ensuite tu haĂŻs instantanĂ©ment, le tout, en un prĂ©nom. Bien sĂ»r, dit comme cela pouvait bien ĂȘtre ridicule, mais au final, il Ă©tait devenu un homme grand beau et trĂšs sĂ©duisant... Mais cela ne changeait pas rĂ©ellement qui il Ă©tait et ce qu'il avait fait.. Enfin, ce qu'il n'avait pas fait dans ce cas contraire. Et toi, tu ne pouvais pas te sentir plus bĂȘte, tombĂ©e sous le charme pour la premiĂšre fois depuis la mort de l'homme que tu aimais de son cousin. C'Ă©tait vĂ©ritablement le comble. Tu Ă©tais pourtant la premiĂšre Ă  insulter les filles de sĂ©rie tĂ©lĂ© qui passe de frĂšre en frĂšre ou bien alors de gars en gars dans la mĂȘme bande de pote, les insultĂ©s de filles faciles et d'hypocrite. Au final, tu Ă©tais exactement pareil. Et tu te mis Ă  froncer les sourcils, si James Ă©tait encore vivante, aurais-tu ressentie cette attirance et cette connexion indĂ©niable avec le revenant blond ? Tu ne savais pas rĂ©pondre Ă  cette question, et au final tu ne prĂ©fĂ©rais pas savoir. Bien entendu, rien ne justifiais la situation, et malgrĂ© son identitĂ© connu, la sensation de sa peau contre la tienne quand il t'aida Ă  te relever te fit plus d'effet que tu ne le voulais. IndĂ©niablement, il avait ce pouvoir sur toi, du moins, sur ton corps et ton cƓur qui Ă©tait incontrĂŽlable, mais ton esprit et ton Ăąme ne pouvait l'accepter. Alors, justifier l'enfance pour excuse de ta rĂ©action Ă©tait la seule et la premiĂšre chose qui te vint Ă  l'esprit Oui c'est vrai, on change tous » RĂ©pondis-tu gĂȘnĂ©e par la situation, par ce tourment entre ta tĂȘte et ton cƓur. Sans oubliĂ©e du coup, cette atmosphĂšre palpable, cette situation oppressante et le malaise qui se dĂ©gageait au final. Tu soufflais et fermais les yeux quand il partit rĂ©gler ses achats et tu essayais de reprendre tes esprits, mais c'Ă©tait impossible pour toi. Tu ne pouvais pas faire comme si de rien Ă©tait, tu Ă©tais bien trop franche et bien trop grande bouche pour laisser croire Ă  un simple souvenir d'enfance alors que ta rancune Ă©tait bien plus profonde, bien plus enracinĂ©e dans tes entrailles. Et c'est alors qu'il partit de l'Ă©tablissement que tu rĂ©agissais enfin. Sans prĂ©venir ta vendeuse, tu quittas Ă  ton tour le magasin pour ouvrir ton cƓur Ă  cet homme si mystĂ©rieux. AprĂšs avoir sortit tout ce que tu avais sur le cƓur, il s'Ă©tait retournĂ© et tu pouvais voir la peine et la colĂšre dans son regard et aussi dans l'aura qu'il dĂ©gageait. Bien entendu, tu avais Ă©tait dure avec lui. Et sa rĂ©ponse ne se fit pas tarder. Tu baissais un instant le regard, il avait pas tort au final, qui Ă©tais-tu pour le juger, que savais-tu de lui. Tu te mordis la lĂšvre infĂ©rieure et surtout, tu ne compris pas tout de suite la suite de son dialogue et tu ne savais pas vraiment comment rĂ©agir et surtout une intense colĂšre naquit vers l'homme que tu avais tant aimĂ©. Alexys n'Ă©tait-il donc pas au courant pour elle et son cousin ? Ne lui avait-il pas dit ? Pourtant, quand il te parlait de son cousin, il disait qu'il y avait une transparence entre les deux. Qu'ils Ă©taient proches et qu'ils se disaient tout. Qui lui avait mĂȘme proposer d'ĂȘtre son tĂ©moin Ă  son mariage, mais au final, peut-ĂȘtre qu'il en Ă©tait rien. James lui avait menti, avait-il honte de toi ? Du souvenir qu'Alexys avait envers ta personne ? Tu respiras fortement, levant la tĂȘte, lui faisant face avec un regard sĂ©vĂšre. Tu n'Ă©tais certainement pas le genre de femme Ă  te laisser marcher dessus ou t'Ă©craser. Tu Ă©tais une Stuart aprĂšs tout C'est vrai, je n'ai pas Ă  te juger et je ne te connais pas, pourquoi es-tu revenu que maintenant ? Et qui es-tu ? » RĂ©pliquas-tu en croisant les bras en le dĂ©fiant du regard. Bien entendu, il continua dans son discours et tu levas les yeux Non, ce n'Ă©tait pas le cas de James, de votre trio de copain tu Ă©tais bien le seul Ă  ne pas vouloir m'accepter » Fis-tu alors Et au final Ă  la seconde oĂč tu es parti, James et Angel sont restĂ©s tous les jours avec Soline et moi, et toi, tu n'existais plus... On se portait bien mieux avec aucune nĂ©gativitĂ©, nĂ©gativitĂ© que tu dĂ©gageais Ă  chaque fois » Repris-tu donc. Avec sa rĂ©vĂ©lation, tu prĂ©fĂ©rais pas lui rĂ©vĂ©ler ta vraie relation avec son cousin, parce que dĂ©jĂ  il ne mĂ©ritait pas de savoir, ça ne le regardais pas. Mais d'une certaine maniĂšre, tu Ă©tais blessĂ©e que James ne l'ai jamais fait et du coup, tu avais besoin de temps pour accuser le coup de cette histoire Je ne suis pas du genre Ă  sermonner, je ne sais pas pour qui tu me prends, mais de toute Ă©vidence tu te trompe de personne, ta mĂ©moire est de toute Ă©vidence, dĂ©faillante » Fis-tu, une pointe blessĂ©e d'avantage. Bon d'accord, tu avais toujours eu tendance Ă  donner ton avis sur tout, mais de lĂ  Ă  sermonner les autres, c'Ă©tait un peu fort quand mĂȘme. Et tout en cette situation Ă©tait que tu repartes dans ton magasin, qu'il parte de son cĂŽtĂ© Ă  lui aussi. Mais sans que tu ne saches pourquoi, une partie de toi ne voulait pas, ne pouvait pas s'en aller loin de lui, pas sur cette tension si mauvaise. Car, de toute Ă©vidence, tu avais peur de ne plus jamais le revoir et c'Ă©tait tellement contradictoire avec toute la situation. Ce n'Ă©tait Ă  ne plus rien y comprendre. En cet instant, tu avais envie qu'Angel et Soline soit prĂ©sente, qu'ils t'expliquent et qu'ils te disent quoi faire, comment agir et rĂ©agir. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 18 Juin - 2156Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Qui Ă©tait-il ? Qui Ă©tait-il ? That is the question. Cette question, Alexys se l'Ă©tait souvent posĂ© ces derniers temps. Entre sa transformation, celle de James et l'attirance inexplicable qu'il Ă©prouvait envers la belle brunette, le jeune homme ne se reconnaissait plus. TantĂŽt le loup dans la bergerie, tantĂŽt le mouton prĂȘt Ă  se faire dĂ©vorer par le loup. Sa transformation n'avait pas Ă©tĂ© un moment des plus agrĂ©able. Ne se considĂ©rant plus comme un humain, le jeune homme avait repris goĂ»t aux joies et aux peines de la vie humaine qu'il avait perdu grĂące Ă  son travail. Tenter de sauver des gens Ă  la place d'en tuer, victime de ses pulsions meurtriĂšres de vampire, Ă©tait d'un grand bonheur dans sa vie. Puis la descente aux enfers Ă©tait repartie avec la transformation de James, son cousin. MĂȘme si Alexys s'Ă©tait souvent reprochĂ© d'avoir donnĂ© cette fiole de sang, James semblait profiter pleinement de sa nouvelle vie et c'est ce qui Ă©tait le plus important. Vivre le conflit perpĂ©tuel que vivait quotidiennement le jeune homme, n'Ă©tait Ă  souhaiter Ă  personne. Finalement, la donne avait rĂ©ellement changĂ© lorsqu'AĂ«lynn rentra de nouveau dans sa vie. Lorsqu'Alexys la voyait au loin, c'Ă©tait un peu comme si la gravitation ne le retenait plus, flottant sur son petit nuage. La regarder lui procurait de l'apaisement. Cet apaisement qu'il n'espĂ©rait plus depuis ces derniĂšres annĂ©es. Malheureusement, il est des choses qu'on ne peut jamais avouer. Surtout pas maintenant qu'AĂ«lynn lui aie mis les nerfs en boule. Hors de question. Il Ă©tait hors de question qu'Alexys crache le morceau. Sa fiertĂ© oblige. Je vais te le rĂ©pĂ©ter puisque tu sembles ne pas comprendre ce que je te dis 
 » Dit-il en se penchant lĂ©gĂšrement vers elle. La raison pour laquelle je suis revenu, ne te regarde absolument pas. Et quand bien mĂȘme. Je suis nĂ© ici. Faut-il vraiment une raison pour revenir ? A t'entendre, j'ai l'impression de passer un interrogatoire devant l'immigration ! » Dire qu'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able avec la jeune femme l'amusait, Ă©tait trĂšs exagĂ©rĂ©. Alexys n'avait aucune envie de lui balancer son venin. Mais puisqu'elle l'avait cherchĂ© et puisqu'il ne pouvait pas lui avouer qu'il Ă©tait en rĂ©alitĂ©, irrĂ©mĂ©diablement fou d'elle, le jeune homme n'avait pas d'autres choix que d'ĂȘtre aussi naturel que possible. AprĂšs tout, ce caractĂšre de cochon, il l'avait toujours eu. C'est juste qu'avec elle, il devenait un petit canard. D'ailleurs, depuis que le jeune homme avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, AĂ«lynn ne se gĂȘnait pas pour lui rappeler sans cesse. Cependant, la suite de ses paroles commença rĂ©ellement Ă  le consumer de l'intĂ©rieur. Ses yeux Ă©taient plus qu'en Fire, consumĂ© par la jalousie. Si tu crois vraiment ça, c'est que tu es encore plus idiote que dans mes souvenirs ! » Dit-il dans un sourire narquois. Comment peux-tu ĂȘtre aussi sĂ»re de ce que tu avances ? MĂȘme si je n'Ă©tais plus lĂ , j'Ă©changeais avec James frĂ©quemment. C'est juste qu'il n'osait pas t'avouer Ă  quel point tu Ă©tais envahissante et oppressante rien de plus. »Plus AĂ«lynn tentait de dĂ©fendre James, plus Alexys devenait cinglant dans les mots qu'il employait. L'entendre dire que tout ce qu'il incarnait une fois parti, n'existait plus, le blessait sincĂšrement. Alexys avouait avec beaucoup de mal, avoir Ă©tĂ© injuste avec elle en Ă©tant enfant mais comment avait-elle pĂ» devenir aussi blessante ? Finalement, plus la conversation avançait, plus le jeune homme se rendait compte que la petite fille fragile qu'il avait connu, n'existait plus. La jeune femme semblait plus forte, plus dĂ©terminĂ©e. Et mĂȘme si cela lui plaisait beaucoup, se disant qu'il avait enfin trouvĂ© quelqu'un Ă  sa hauteur, certaines de ses rĂ©pliques lui plaisaient vachement moins. Finalement, Alexys avait la simple impression que toute cette histoire allait mal se terminer. AĂ«lynn ne semblait pas vouloir se faire malmenĂ©e par le jeune homme, et ce dernier Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă  avoir le dernier mot sur tout ce que dirait la jeune homme, convaincu qu'il avait toujours raison, mĂȘme contre vents et marĂ©es. Au bord de l'implosion, son sang ne faisant qu'un tour dans son corps, Alexys laissa tomber le sac qu'il tenait toujours dans ses mains et s'approcha dangereusement d'AĂ«lynn. Son sourire crispait, n'annonçant rien de bon, il posa ses mains sur les Ă©paules de la jeune femme et les serra lĂ©gĂšrement, son visage s'Ă©tant rapprochĂ© du sien afin de lui susurrer dans un semblant de calme les mots qui allaient suivre. Tu sais quoi ma belle ? Pense ce-que-tu-veux de moi, je m'en contre-fiche totalement. D'autres me supplieront Ă  ta place pour leur donner le peu d'attention que je te porte depuis toute Ă  l'heure. Te crois-tu aussi irrĂ©sistible pour que je tolĂšre que tu me traites de la sorte ? A moins que tu me voues un amour irrationnel, le fait que nous nous sommes connu Ă©tant enfant, ne te donne aucun droit sur moi. Mais puisque tu sembles accorder tant d'importance Ă  James, je vais te dire une bonne chose 
 »Alexys s'Ă©loigna du visage de la jeune femme et recula de deux pas, son regard noir comme le fond de l'ocĂ©an, fixant avec insistance celui de la jeune femme. Sa folie bestiale ayant repris le dessus. C'Ă©tait un peu comme si son cƓur meurtri par la haine que lui vouait la jeune femme en cet instant, s'Ă©tait mis en OFF afin de limiter la souffrance. Il ne t'a jamais vraiment apprĂ©ciĂ©. La seule chose et unique chose qui l'a fait se rapprocher de toi ... C'est le vide que j'ai laissĂ© aprĂšs mon dĂ©part. Rien de plus. Alors arrĂȘte de croire au prince charmant sur son beau cheval blanc. Car sans vouloir te dĂ©cevoir, il n'existe pas. Ou du moins 
 Plus. »Alexys avait cruellement besoin de savoir jusqu'oĂč AĂ«lynn Ă©tait prĂȘte Ă  aller pour sauver la mĂ©moire de James. Étrangement, le jeune homme avait l'impression que l'amitiĂ© Ă©tait certainement plus que ce qui liait la jeune femme Ă  son cousin. Et ça, il ne pouvait l'admettre. Mais Ă©tait-il prĂȘt Ă  perdre AĂ«lynn ?CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 2348 BACK TO YOU❊ Tu avais beau avoir une attirance certaine pour cet individu, son caractĂšre te repoussait au plus haut point et au fur et Ă  mesure que le ton montait entre vous, tu le revoyais enfant. Il avait toujours Ă©tĂ© si mĂ©chant et dĂ©sagrĂ©able. Pas seulement qu'avec toi, mais aussi avec les autres hormis ses deux meilleurs copains. Et le voir comme ça, tu pouvais bien te demander comment pouvait-il ĂȘtre si gentil avec des petites mamies et horribles avec les autres ? Comme s'il Ă©tait deux personnes diffĂ©rentes en mĂȘme temps. Mais cela ne changeait pas la douleur qu'il reprĂ©sentait pour toi, incontestablement, tu ne pouvais que l'identifier Ă  l'amour que tu as perdu. Et tu ne comprenais pas tout, comment pouvait-il dire tout cela, comment ne pouvait-il pas savoir pour son cousin ? Il avait pourtant invitĂ© au mariage. A part si, Ă©galement de ton cĂŽtĂ©, il y avait eu que des mensonges. Mais qui croire, il Ă©tait si facile de mentir quand l'autre personne ne pouvait se dĂ©fendre. Et tu te dĂ©testais de croire ce que le magnifique et dĂ©testable blond te disait, salissant alors la mĂ©moire de celui que tu avais toujours aimĂ©e. Le tout en quelques minutes. Et vexĂ©e de cette situation, tu prĂ©fĂ©rais garder pour toi le lien qui t'unissait avec son cousin, il valait mieux car tu savais qu'il trouverait rien de mieux Ă  faire que de te faire douter de l'amour que James te portait et ça, il en Ă©tait impossible. Tu avais aimĂ©e terriblement James et il Ă©tait amoureux de toi, il te le disait constamment, aprĂšs tout, c'est lui qui voulait que tu deviennes sa femme. Tu repris contenance, tu ne voulais pas montrer que toutes ses accusations t'atteignait bien plus qu'il ne le pensait. Il en serait trop content. Et tu ne comprenais pas pourquoi, James qui Ă©tait un amour et lui un horrible personnage. Etait-il rĂ©ellement cousin ? Tu te le demandais pour le coup. Tu ouvris la bouche pour rĂ©pliquer, mais aucun mot ne sortit. AprĂšs tout, la raison de son retour ne concernait que lui c'est vrai, mais pourquoi n'Ă©tait-il pas venu alors pour l'enterrement de son cousin, son cher cousin qui l'adore comme il le prouve si bien. Tu te mordis la lĂšvre pour ne pas revenir sur le sujet, tu Ă©tais tĂȘtue et tu avais bien l'intention de savoir la vĂ©ritĂ©. Tu croisais les bras en le toisant sĂ©vĂšrement Et toi, comment peux-tu ĂȘtre un connard arrogant et prĂ©tentieux Ă  ce point ? Tu disais que tu avais changĂ© et au final, je constate que tu es toujours ce gosse avec un caractĂšre de merde, une vie si pourrie qu'il se venge sur les autres » RĂ©pliquas-tu, tu l'avais toujours penser, il devait avoir une vie si triste pour ĂȘtre si mauvais avec tout ceux qui l'entoure, c'Ă©tait souvent comme ça Bien sĂ»r que je sais que tu Ă©changeais avec lui, tout comme il t'avait demandĂ© d'ĂȘtre tĂ©moin Ă  son mariage, crois-tu vraiment qu'il te disait tout ? Je ne pense pas, James disait bien ce qui l'arrangeait parfois » Fis-tu alors dĂ©terminĂ©e et tu t’injurias, tu Ă©tais vraiment horrible de tout remettre la faute sur James, en cet instant, tu ne valais pas mieux que celui qui te faisait face. Cet homme qui justement, s'approchait dangereusement de toi et le fait de le sentir si proche de toi malgrĂ© la colĂšre que tu nourrissais pour lui, fis comme tout Ă  l'heure. Ton cƓur battait vite et cette sensation de te sentir comme une petite chose. Tu ne comprenais pas ce pouvoir si puissant qu'il avait sur toi, son odeur, son souffle. Cela te faisait tourner la tĂȘte. Heureusement, si on peut dire cela, qu'il te fit mal cela rendait cette proximitĂ© diffĂ©rente tandis qu'il continua de dĂ©verser ses paroles haineuses. Tu rĂ©pliquas pas sur ce qu'il disait, tu te doutais bien qu'il devait ĂȘtre vexer d'avoir Ă©tĂ© remplacer aussi rapidement et que son absence n'est changĂ© strictement rien sur la petite bande, et plus encore, qu'elle se portait encore mieux sans lui. Tu reculas Ă  nouveau et tu compris, du moins, tu espĂ©rais ĂȘtre dans le vrai.. Cette mĂ©chancetĂ©, Ă©tait-elle pour la mĂȘme raison que la tienne ? Ou alors Ă©tais-ce vraiment de la connerie Alexys, comment peux-tu parler de lui ainsi ? J'ai bien honte d'insulter sa mĂ©moire en agissant ainsi, James t'aimait vraiment beaucoup et lĂ  c'est n'importe quoi, j'ai tellement de chose Ă  te dire, si tu savais. Mais par respect pour lui et son souvenir, je prĂ©fĂšre me taire c'est mieux ainsi... » Fis-tu de maniĂšre plus posĂ©e, tu aurais pus continuer pendant des heures, mais tu n'Ă©tais pas si mĂ©chante que lui et cela ne t'amusait pas de blessĂ©e les autres. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 19 Juin - 2324Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Il y avait un dicton cĂ©lĂšbre qui disait Qui aime bien, chĂątie bien ! ». Pour le coup, la scĂšne qui se jouait devant la petite boutique, n'Ă©tait plus de l'amour mais, de la rage. Les deux jeunes s'envoyaient sans relĂąche les pires mĂ©chancetĂ©s. C'Ă©tait un peu Ă  celui qui rendrait les armes en premier. Un jeu devenu dangereux au fil des minutes qui s'Ă©coulaient. Bien trop dangereux. MĂȘme si Alexys se voulait dur dans ses paroles, pris dans le redoutable tourbillon de la jalousie, sa plus grande peur Ă©tait de perdre la jeune femme. Il l'apprĂ©ciait bien trop. Son souvenir le faisait sourire quand il pensait Ă  elle lors de ses moments perdus et maintenant qu'il avait rĂ©ussi Ă  l'approcher, Ă  lui montrer qu'il existait, la situation virait Ă  la catastrophe. Au fond, Alexys aurait aimĂ© faire table rase du passĂ©. Ils n'Ă©taient que des enfants et les enfants sont toujours mĂ©chants entre eux. A croire que la rancune que lui vouait AĂ«lynn Ă©tait bien plus profonde qu'il ne l'aurait imaginĂ©. Triste rĂ©alitĂ©. Tu as raison. Je suis un connard arrogant et prĂ©tentieux. Mais contrairement Ă  toi, je sais reconnaĂźtre mes dĂ©fauts. »Oui, Alexys Ă©tait un connard arrogant et prĂ©tentieux. Ca, il le savait depuis bien longtemps. D'ailleurs, chacune de ses conquĂȘtes larguĂ©es comme de vulgaires chiffons, aimaient vanter ces traits de personnalitĂ©, aussi dĂ©testables soient-ils. Le jeune homme n'avait pas eu une vie facile. Entre le dĂ©cĂšs de ses parents alors qu'il n'Ă©tait qu'un bĂ©bĂ©, le manque d'amour paternel et maternel, la dĂ©mĂ©nagement vers un pays inconnu, la maladie et puis la transformation, le karma avait plutĂŽt Ă©tĂ© dur avec lui. Sa façon de s'exprimer, se faisait par la bagarre et l'arrogance. Tout cela ne s'apparentait qu'Ă  un vulgaire mĂ©canisme de dĂ©fense. Rien de plus. Jamais, il n'avait laissĂ© approcher personne Ă  pars son cousin et sa grand-mĂšre. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle, il Ă©tait si dur avec les filles qu'il cĂŽtoyait. Aussi froid et impĂ©nĂ©trable qu'un puissant glacier d’antarctique. Et pourtant, lors d'une belle journĂ©e d'Ă©tĂ©, l’apparition de la jeune femme, lui avait rĂ©chauffĂ© le cƓur. Un peu trop d'ailleurs. Lorsqu'il l'avait aperçu dans la boutique quelques minutes auparavant, Alexys espĂ©rait vraiment que la jeune femme ne tiendrait pas rigueur des Ă©vĂ©nements du passĂ©. AprĂšs tout, tout le monde pouvait changer. L'univers Ă©tait rempli de seconde chance. Et pourtant, tout avait vrillĂ©. AĂ«lynn ne lui avait laissĂ© aucune chance. Et pour cela, il lui en voulait horriblement. La suite des paroles d'AĂ«lynn n’intĂ©ressĂšrent pas du tout le jeune homme qui s'Ă©tait Ă©loignĂ©, perdu dans ses pensĂ©es. Tout ce qu'il avait retenu de tout son charabia, c'Ă©tait que la jeune femme ne lui laissait aucune chance. Cette phrase, il se la rĂ©pĂ©tait en boucle. Son expression commença Ă  changer petit Ă  petit, laissant feindre la tristesse. Alexys se sentait comme un enfant que sa mĂšre venait d’abandonner devant les portes d'un orphelinat en lui disant que tout Ă©tait de sa faute. Le plus horrible des sentiments refit surface. L'abandon. L'abandon des gens qu'on aime. C'Ă©tait le pire. AĂȘlynn semblait vouer un culte Ă  James, lui qui avait tout abandonnĂ©, faisant croire Ă  ses proches qu'il Ă©tait mort. Pensait-elle que c'Ă©tait mieux que le dĂ©part d'Alexys contre son grĂ© ? Le mensonge ? Pensait-elle que c'Ă©tait correct d'abandonner ses proches et de leur faire subir un deuil ? Bien sĂ»r que non. Pour elle, James Ă©tait sur un pieds d'estalle. Si seulement AĂ«lynn savait 
 Continuerait-elle Ă  le dĂ©fendre bec et ongle ?Finalement, devant la rĂ©solution d'AĂ«lynn, Alexys baissa les armes. La regarder, devenant trop douloureux pour lui, il dĂ©cida simplement de lui tourner le dos. Tu ne m'as laissĂ© aucune chance AĂ«lynn. Du moment oĂč tu m'as reconnu jusqu'Ă  maintenant, les seules paroles qui sont sorties de ta bouche, n'ont Ă©tĂ© que reproches. », Alexys marqua une lĂ©gĂšre pause. Puisque tu sembles tout savoir sur la relation que j'entretenais avec James, mĂȘme mieux que moi, tu devrais savoir que ce dont tu m'accuses, est injustifiĂ©. Mais ça, tu t'en contre-fiches. Pour toi, je ne suis que le sale gosse qui du haut de ses 10 ans, te toisait du regard. »Alexys se retourna, les yeux un peu bouleversĂ©. Cela ne lui ressemblait pas mais les accusations de la jeune femme le touchait. Maintenant que sa colĂšre Ă©tait descendue, la dĂ©pression reprenait le dessus. Entre colĂšre et dĂ©pression, il n'y avait qu'un pas et la limite Ă©tait encore plus rapidement franchie depuis qu'Alexys Ă©tait devenu un vampire. S'approchant une nouvelle fois d'AĂ«lynn, il posa ses mais sur ses joues, l'obligeant Ă  le regarder dans les yeux. Me dĂ©testes-tu autant ? Pourquoi refuses-tu de croire que les gens peuvent changer ? N'y-a-t-il donc que James qui trouve grĂące Ă  tes yeux ? »Une pulsion le pris d’assaut. La proximitĂ© devenant insoutenable et tentatrice, Alexys rapprocha ses lĂšvres de celles de la jeune femme. MĂȘme sans les toucher, le jeune homme ressentait dĂ©jĂ  leur douceur. Son souffle rapide sonnait comme une mĂ©lodie Ă  ses oreilles de vampire totalement accro. Bien que ce geste apaisait lĂ©gĂšrement son Ăąme tourmentĂ©e, il se rendit compte rapidement qu'il ne pouvait pas la forcer. Ni Ă  l'aimer, ni Ă  faire quoi que ce soit d'autre. Alexys l'apprĂ©ciait peut ĂȘtre un peu trop que pour lui infliger un baiser forcĂ© qui n'aurait aucune saveur, aucune Ăąme. Souvent, il s'Ă©tait amusĂ© Ă  imaginer leur tout premier baiser et ce n'Ă©tait certainement pas dans ses conditions. Totalement et dĂ©sespĂ©rĂ©ment rĂ©solu, Alexys se redressa et lĂącha le visage de la jeune femme. Peut ĂȘtre qu'un jour, tu te rendras compte de l'erreur que tu viens de commettre. »Alexys alla rechercher le sac qu'il avait balancĂ© un peu plus loin dans un soupir, et tourna les talons, s'Ă©loignant de la jeune femme. Ce qu'elle pouvait dire maintenant, ne l’intĂ©ressait plus dĂ©sormais. Puisque le jeune homme n'Ă©tait qu'un connard, AĂ«lynn ne verrait sĂ»rement pas d'inconvĂ©nient Ă  ce qu'il la plante lĂ , devant son magasin. Puisqu'il fallait savoir abandonner dans la vie, autant leur faire maintenant. CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 21 Juin - 025 BACK TO YOU❊ Toujours devant ton magasin, toujours bras croiser et toujours avec cette envie de claquer ce blondinet aux yeux magnifiquement blond. Tu avais succombĂ© Ă  son charme, puis tu avais dĂ©couvert qui il Ă©tait. Cela avait tout changĂ© et plus les minutes s'Ă©croulaient et plus tu dĂ©couvrais sa vĂ©ritable personnalitĂ©, personnalitĂ© aussi dĂ©testable qu'insupportable. Alors, les reproches continuaient d'avantage. On est d'accord sur le fait que tu avais commencĂ© les hostilitĂ©s, mais tu n'avais pas pus faire autrement, tu Ă©tais bien trop entiĂšre, bien trop franche pour garder ce que tu avais Ă  lui dire dĂšs l'instant oĂč tu l'avais reconnu. Tu souris ironiquement Que sais-tu de moi Ă©galement, je ne sais rien sur toi je te l'accorde, mais tu ne me connais pas non plus alors garde tes rĂ©flexions pour toi mĂȘme » RĂ©pliquas-tu, tu savais que tu avais des dĂ©fauts, tu en avais conscience et tu les assumais sans pour autant le dire si ouvertement comme lui, mais lui il Ă©tait tellement arrogant Ă  vouloir toujours le dernier mot qu'il ne pouvait s'en doute pas s'en empĂȘcher aprĂšs tout. C'est le principe mĂȘme de ce que tu lui reprochait Ă  cĂŽtĂ© de bien d'autres faits plus aggravant. Du moins, c'est ce que tu pensais car avec ce qu'il t'avait dit, tu commençais rĂ©ellement Ă  douter de l'homme que tu avais jadis aimĂ©. Et alors qu'il continua Ă  ouvrir la bouche pour dĂ©blatĂ©rer des paroles tu te mis Ă  Ă©clater de rire royalement, pas d'amusement on en convient, mais il venait de faire terriblement fort Te donner une chance ? Non mais tu t'es entendus, il n'y a pas une seule insulte que tu m'as Ă©pargnĂ© depuis qu'on est ici alors que je t'avais juste fait par de mon ressentie et de mon inco zGaW3.
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  • rien qu une larme dans tes yeux paroles