Jesuis enceinte de 21 semaines etdepuis 2 semaines je sens mon bébé bouger.Depuis 1 mois, j’ai pris du bide et c’est vraiment que maintenant que ça se voit bien. Sinon, au début de ma grossesse, je n’ai pas eu de nausées, je n’ai pas été malade. Ziboos et bonne grossesse. Et surtout, ne t’inquiète pas.
Chaque femme vit la grossesse de manière très différente, mais l'un des symptômes communs à chacune est la fatigue. Généralement, elle apparaît au 1er trimestre, disparaît au second et revient au cours du troisième trimestre de grossesse. Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. La fatigue pendant la grossesse est un symptôme tout à fait normal et courant. Le problème survient lorsque vous vous sentez tout le temps fatiguée et que vous êtes nonchalente jusqu'à ce que vous sortiez du lit. C'est un sentiment difficile à gérer. Mais pas d'inquiétude, car il existe de nombreuses astuces que vous pouvez utiliser pour améliorer cette situation. Certaines sont aussi simples que de changer de régime alimentaire ou de faire de l'exercice, et elles vous aideront à combattre la fatigue ! Soyez prêtes, car désormais vous n'aurez plus aucune excuse grâce à nos conseils d' sont les causes de la fatigue pendant la grossesse ?La grossesse est un grand changement pour le corps d'une femme. En même temps que les changements physiques, des changements émotionnels et hormonaux se produisent. Emma Cannon, experte en matière de grossesse et auteur de The Baby-Making Bible, déclare "La grossesse exige beaucoup d'énergie de la part de la mère. Les femmes enceintes tirent leur énergie de leur alimentation, des nutriments contenus dans ces aliments qui sont obtenus par le processus de digestion, du temps qu'elles passent au repos et de leur constitution. Manger et dormir irrégulièrement ou le stress sont les pires ennemis des femmes enceintes, car ils peuvent être les principales causes de leur grande fatigue." Fatigue pendant la grossesse un symptôme courantLe niveau de fatigue varie selon les différentes étapes de la grossesse, trimestre par trimestre. Il est normal que vous vous sentiez plus fatiguée pendant les 12 premières semaines de la grossesse, car c'est le moment où votre corps s'adapte aux changements. Mais le troisième trimestre peut devenir plus difficile à supporter, car le poids du bébé augmente et votre niveau d'énergie diminue en conséquence. Mais rassurez-vous, il n'y a pas lieu de s'inquiéter. Quoi qu'il en soit, si vous pensez que votre fatigue est inhabituelle ou extrême, nous vous recommandons de consulter immédiatement votre gynécologue. Même s'il n'y a rien de grave, il vaut toujours mieux prévenir avec un contrôle attention à ce que vous mangezComme tout le monde, tout ce qu'une femme enceinte mange a une incidence sur son métabolisme. Nous vous recommandons donc d'ajouter à votre régime alimentaire des aliments qui vous donnent de l'énergie. Les essentiels pendant la grossesse sont Les aliments riches en fer comme les légumes verts, la viande rouge, les œufs, le poisson et les haricots Les aliments riches en fibres comme l'avoine, le quinoa, les céréales complètes et le pain Les protéines que vous trouverez dans la viande, le poisson et les œufs La vitamine C Bien que de petits plaisirs comme le chocolat puissent vous remonter le moral, les effets ne durent pas dans le temps. Il est donc préférable d'opter pour des aliments qui fournissent une libération lente d'énergie comme les pâtes ou le de l'exerciceVous êtes enceinte et fatiguée, la dernière chose à laquelle vous pensez probablement est de faire de l'exercice... mais pratiquer un sport permet de vous détendre et libérer des endorphines. Faire un peu d'exercice en douceur pendant la grossesse vous aidera à maintenir votre niveau d'énergie et à combattre la sensation de fatigue. L'expert déclare "Faire un peu d'exercice régulièrement est bénéfique. La marche, la natation, le yoga ou le Pilates pour les femmes enceintes, en particulier."Apprendre à se détendreLire, écouter de la musique, prendre un long bain chaud... Cela ne demande aucun effort et votre corps vous en remerciera. Si vous ne dormez pas bien, cela n'affectera pas directement le bébé, mais une bonne nuit de repos pour la mère est également bonne pour le lire aussi Comment bien dormir enceinte ? Les meilleurs conseils de nos experts 5 sports à choisir pendant la grossesse Quelle taille fait mon foetus, semaine après semaine ? Insomnie et grossesse comment mieux dormir quand on est enceinte ? Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. Vidéo par Clémence Chevallet
Accueil/ Forum / Grossesse / mon mari ne comprend pas ma douleur et ma fatigue. mon mari ne comprend pas ma douleur et ma fatigue 21 juillet 2018 à 18h14 Dernière réponse : 22 juillet 2018 à 14h20 Bonjour les filles Je suis enceinte depuis quelques semaines et vraiment je suis tres heureuse,malgrés mes douleurs abdos et au dos c'est vraiment pas facile. Ce qui est
Skip to content PRÉPARATIONS VIRTUELLES NAISSANCETRANSCENDER LA DOULEURPOSTNATAL OPTIMALSÉMINAIRESUNIVERS QUANTIK BLOGUEPODCASTINFOLETTREÉCOLE QUANTIKÀ MEMBREPRÉPARATIONS VIRTUELLES NAISSANCETRANSCENDER LA DOULEURPOSTNATAL OPTIMALSÉMINAIRESUNIVERS QUANTIK BLOGUEPODCASTINFOLETTREÉCOLE QUANTIKÀ MEMBRE Grossesse surprise Et si le moment était juste parfait ? La grossesse surprise n’a ni âge ni quinze ans, on nous dit qu’on est trop jeune pour avoir un enfant et que ça va ruiner notre vie. À vingt ans, c’est presque pareil. Tu n’as même pas fini tes études ! » À trente ans, on met de l’avant la carrière et on se dit qu’on est trop endettés, qu’on attend d’avoir une maison, et quand on l’a cette maison on se dit que ce sera mieux après les rénos. Alors on se réveille à quarante ans et là on nous lance Mais tu es bien trop vieille pour avoir des enfants ! »Y a-t-il seulement un bon moment pour avoir des enfants ? La réponse est simple NON ! Le bon moment existe seulement dans l’idéal imaginaire qu’on s’en fait, et quand on persiste trop à l’attendre et bien on finit par ne jamais avoir d’ histoires de trentenaires avancés accomplis dans leur vie comme dans leur carrière, qui se butent à l’infertilité quand ils décident d’avoir un enfant sont de plus en plus fréquentes. Et quand au bout de nombreuses années infructueuses et terriblement souffrantes en clinique de fertilité, on finit par entendre Madame, vos enfants il fallait les faire à vingt ans ! » On en vient à comprendre que les enfants, ça se fait à travers le chaos de la vie.[divider style=’centered’] J’ai eu mes premiers enfants à vingt ans. J’étais pauvre et je n’avais même pas de diplôme. Au final, ils n’ont jamais manqué de rien et j’ai bien réussi ma vie. » — Julie, infirmière et mère de trois enfants.[divider style=’centered’] J’ai eu ma première fille à 16 ans, elle vient d’avoir son diplôme d’avocate. Je suis tellement fière d’elle ! » — Karine, naturopathe et mère de 4 enfants.[divider style=’centered’] J’ai eu trois enfants dans la vingtaine et mes jumeaux à quarante ans. À vingt ans, j’étais pauvre, mais j’avais plein d’énergie. À quarante ans, j’étais plus confortable certes, mais oh combien fatiguée ! » — Marie, agente de communication et mère de cinq enfants.[divider style=’centered’]La plupart des familles se sont construites à travers l’imperfection de la vie et c’est parfait ainsi. Il n’y a pas meilleur moteur pour la motivation de se construire un avenir qu’un enfant qui que les familles qui ont trois, quatre ou cinq enfants bref cette espèce étrange qui se multiplie tous les deux ans ont eu autant de bons moments pour procréer qu’ils ont eu d’enfants ? Certainement pas ! Pensez-vous que chacun d’eux était prévu ? Encore premier enfant quand il est une surprise et qu’on choisit de poursuivre la grossesse, il passe souvent assez bien et tout le monde fini par être contents. Le deuxième est logique puisque tout le monde sait que les enfants uniques s’ennuient du moins, c’est ce que la plupart disent à l’âge adulte. Le troisième, même s’il est une preuve de courage aux yeux des familles avec deux enfants, il passe encore. En fait, trois enfants en 2018 c’est le deux » des Baby Boomer dans les années 80-90. À quatre enfants et plus là par contre, vous n’êtes plus braves, vous êtes fous !Dire qu’il n’y a pas moins de trois générations les femmes avaient encore huit, dix, douze enfants. Avant on reprochait aux femmes de ne pas en faire assez, maintenant on leur reproche d’en faire trop quand elles en ont plus que deux. Plus ça va, plus c’est pareil. Toujours les mêmes coupables !Bien sur la contraception ça existe et c’est tant mieux, l’avortement aussi d’ailleurs. Ce blogue est pro-choix, j’espère que vous aviez compris. Or, une femme est fertile tous les mois pendant trente ans en moyenne. S’imaginer qu’on aura le contrôle sur sa fertilité pendant chacune de ces centaines de cycles, c’est être bien naïf ! Des bébés surprises avec un stérilet, la pilule, le condom et même après une vasectomie, je ne compte même plus combien j’en ai vu. Voulez-vous que je vous parle des bébés faits en dormant ? C’est peut-être mieux pas. Aussi bien parler de l’histoire de Jésus, Marie et Joseph tant qu’à y être !Tout ça pour dire que les bébés quand ils veulent venir ils trouvent toute de sorte de chemins qui font qu’on se réveille un bon matin en urinant sur un bâton qui crie sans hésiter SURPRISE !!!Quand un enfant s’impose comme une bombe » qui vient chambouler tous nos plans de vie, c’est un choc bien légitime. D’abord le refus d’y croire, puis le deuxième et troisième test de grossesse qui crient encore la même vérité, pour finalement comprendre que c’est bel et bien vrai, qu’on attend un bébé et qu’on devra prendre une les sources, l’incidence des grossesses imprévues tourne autour de 30% à 50% à travers le monde. Chez nos voisins américains, il se situe autour de 50%. 1 Bien sûr et heureusement, on a le choix, on peut avorter et régler» la surprise dans une clinique d’avortement. Mais quand cette solution résonne comme un faux-pas avec sa destinée, on se fait tranquillement à l’idée que la bombe » va peut-être changer notre vie à tout jamais, mais que le nouveau décor à toutes les chances d’être encore plus beau, dynamique et choc de la surprise ne sera pas moindre, peu importe la décision de garder ou pas l’enfant. Dans les deux cas, l’histoire est réelle. Si on avorte, il est vrai que la surprise sera vite derrière, mais le deuil, le doute, la colère, ou toutes autres émotions de ce spectre peuvent quand même être très présents pendant plusieurs mois mêmes années suivant l’intervention. Alors que pour certaines l’avortement sera vécu comme une libération et la meilleure décision de leur vie, pour d’autres ce sera un drame au contraire on décide de garder l’enfant surprise, cela ne veut pas dire que la joie suit d’emblée la décision. L’ambivalence, le deuil des sacrifices imposés par la surprise, comme les impacts sur la carrière ou les nombreuses abstinences qu’impose une grossesse alcool, sushis, sports extrêmes, etc., de même que la colère contre son partenaire ou soi-même, les doutes et les peurs, sont aussi des spectres d’émotions possibles, et tout ceci est vous venez d’apprendre que vous êtes enceinte et que ce n’était pas prévu, prenez le temps d’accueillir cette nouvelle, et laissez-vous quelques jours, semaines s’il le faut, pour bien y réfléchir. Parlez-en avec votre partenaire, vos proches et amis de confiance. Choisissez bien vos confidents et surtout, évitez ceux-là que vous entendez déjà vous dire Tu vas te faire avorter au moins ? » ou encore Tu es certaine que tu vas être capable ? » La décision vous revient à vous en premier et évidemment à votre partenaire. Après tout, c’est vous seuls qui allez élever cet enfant, ou dis vous en premier », parce que c’est vous la femme qui allez porter ou pas cet enfant. Dans un cas comme dans l’autre, c’est vous qui allez vivre l’avortement et vivre avec les souvenirs inscrits dans votre corps et votre coeur, ou encore, c’est vous qui allez le porter, l’accoucher, l’allaiter et le materner en proximité ce bébé. C’est vous qui allez mettre de côté votre silhouette tout juste récupérée du dernier, votre projet marathon prévu l’été prochain et vos projets de carrière des deux prochaines toujours dit à mon homme quand j’étais au début de mes grossesses Toi tu peux partir en courant si tu veux, moi pas ! » Vous aurez compris que ce billet n’a pas la prétention de vous donner la recette magique du moment idéal pour procréer, au contraire. Ce billet est davantage un hymne à la vie et à ses surprises qu’elle nous impose. Dans la dernière année, j’ai fait la rencontre de plusieurs histoires de grossesses surprises, toutes aussi rocambolesques les unes que les rencontré une femme qui a découvert qu’elle était enceinte de son cinquième enfant à 34 semaines de grossesse ! Non, cette femme n’était pas obèse, non, elle n’était pas non plus déconnectée de son corps, seulement un gentil Thomas qui lui a joué un tour. J’ai aussi eu une ancienne cliente sous le choc de découvrir une cinquième grossesse deux ans après la vasectomie approuvée de son mari. Et je vous épargne le bébé stérilet, celui qui a persisté après la pilule de lendemain, ou celui fait pendant que madame avait ses dans la dernière année j’ai compris encore plus à quel point on n’a pas de réel pouvoir sur les vies qui décident de s’implanter en nous. Entre celles qui prient tous les saints pour concevoir et celles qui deviennent enceintes par un simple regard, la vie nous rappelle que l’humilité et la confiance sont les principales vertus pour découvrir les surprises que nous réserve notre propre vous, vos enfants étaient-ils tous planifiés ?1 Holà . Je suis Karine, la créatrice de tout ce qui entoure l'univers de QUANTIK MAMA. Je suis une junkie assumée de tout ce qui entoure l’enfantement. Depuis deux décennies, j’ai assisté à des centaines de naissances, principalement à domicile, mais aussi en maison de naissance. D’abord en tant que doula, puis comme sage-femme pendant près de dix ans. En 2020, j'ai pris la décision de quitter mon titre de sage-femme pour briller sans compromis ma mission de blogueuse et de facilitatrice pour la naissance entre science et sacré. Je vis avec ma famille entre la jungle du Costa Rica et le Québec, où nous allons de moins en moins. Je suis aussi la co-fondatrice de l'École Quantik Doula et la podcaster de la chaîne Tisser l'invisible. C'est un honneur de vous recevoir dans mon humble dimension! Kxx Ce site utilise Akismet pour réduire le pourriel. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Page load link Aller en haut de la page
bonjourvoila j aurai aimer avoir votre aide svp je suis en essaie bb3 avec mon mari et j en suis a mon cycle 3 cycle 1 : 30 jours test de grossesse a j 28 posi . Accès rapide. FAQ; Forum. Forum envie de bébé. Votre courbe de température. je comprend pas ma courbe. Fonctionnement de la courbe de température, posez toutes vos questions ici. 10 messages •
Publié le 23/11/2014 à 22h35 , mis à jour le 03/10/2017 à 22h35 Validation médicale 03 October 2017 Ne pas aimer l’état de grossesse, ça arrive. Comment un tel sentiment peut-il naître ? Quelles en sont les causes ? Comment mieux vivre sa grossesse ? Le point sur la grossesse mal vécue. Ces neuf mois sont souvent synonyme de bonheur et d’épanouissement. Un état de bien-être qu’on ne cesse de nous vanter dans les magazines féminins et qui est ancré dans l’inconscient collectif. Mais ne pas aimer l’état de grossesse, ça arrive. Comment un tel sentiment peut-il naître ? Quelles en sont les causes ? Comment mieux vivre sa grossesse ? Lise Bartoli, psychologue clinicienne, spécialiste en périnatalité, fait le point sur la grossesse mal vécue. Ne pas aimer la grossesse des causes physiques Pendant ces neuf mois de grossesse, le corps d’une femme passe par de nombreuses transformations et bouleversements physiques plus ou moins bien vécues par les concernées. La prise de poids est souvent difficile à accepter pour une femme enceinte. Celles qui ont toujours idéalisé leur corps depuis qu’elles sont jeunes filles ne supporteront pas les kilos en trop. Ce changement brutal de morphologie peut créer une sensation de mal-être à cause des complexes, et ce, jusqu’à la fin de la grossesse. Comme si la future maman devait faire le deuil de son apparence "avant grossesse". Les changements physiologiques peuvent également faire naître chez la femme enceinte un sentiment de mal-être. Sur la première marche du podium des accusés les nausées et vomissements. Elles surviennent généralement autour de la 6ème semaine et cessent vers la 12ème semaine. Plus ou moins intenses, elles peuvent être un vrai handicap si elles s’installent pendant toute la grossesse. Le dégoût prend alors le dessus sur le bonheur d’être enceinte, allant même jusqu’à décourager la maman de retenter l’expérience dans le futur. Suivez votre grossesse semaine après semaine Ne pas aimer la grossesse des causes psychologiques "A partir du deuxième trimestre, la future maman s’ouvre aux informations inconscientes, explique la psychologue Lise Bartoli. Les blessures non résolues de sa petite enfance, voire celles de sa propre mère, risquent d’émerger, perturbant son équilibre émotionnel". Si la mère, la sœur ou même la grand-mère de la femme enceinte a eu une grossesse difficile, non désirée, ou a fait une fausse couche ; ces mauvais souvenirs peuvent revenir comme un boomerang et être une source d’inquiétude. Plus difficiles à identifier, les rapports houleux, les non-dits entre la mère et la fille dans le passé et qui ne sont toujours pas résolus, peuvent se répercuter sur la grossesse. Comprendre ce qui m’arrive Dans un premier temps, il est important d’identifier la cause du mal-être parmi celles citées précédemment ou d’autres encore, pour comprendre ce qu’il se passe. Si besoin est, faire une petite "enquête familiale", auprès de ses proches pour trouver le traumatisme qui n’a pas encore cicatrisé et le régler, pour pouvoir enfin vivre sa grossesse sereinement. Your browser cannot play this video. Les conseils pratiques "Je conseille à mes patientes qui vivent mal leur grossesse d’écrire tous les jours ce qu’elles ressentent sur un petit cahier pour évacuer les mauvaises pensées". Vous trouvez ce gros ventre disgracieux ? Sublimez-le avec des vêtements qui épousent vos nouvelles courbes, testez le belly-painting, une variante du body-painting qui consiste à peindre son ventre. Et si le futur papa vous accompagne pendant ces neufs mois et vous couvre de compliments et de petites attentions, ça aide pour se sentir mieux ! Il a aussi le droit de vivre cette grossesse et de partager vos émotions, alors ne restez pas dans votre coin. Les complexes, le mal-être, les inquiétudes surviennent la plupart du temps chez les femmes primigestes première grossesse. La peur de l’inconnu et surtout de ce qui les attend elles sont sollicitées de toute part ne leur permet pas de vivre pleinement cette expérience unique. Mais la psychologue Lise Bartoli insiste "Il faut vivre pleinement la grossesse et rechercher toutes les belles choses qu’il y a en nous, car le bébé ressent aussi les émotions de sa mère. Parler à l’enfant et lui dire ce qui ne va pas est important, dès la grossesse vous construisez votre relation avec lui". À voir aussi Pour celles qui ont du mal avec les changements physiques et physiologiques, rassurez-vous, ils ne durent pas éternellement et pensez à votre bébé qui va arriver. La naissance fait en général tout oublier.
Monmari ne comprend pas ma fatigue grossesse - Forum - Psychologie; Mon mari, m'ordonne de me faire avorter - Forum - Psychologie; Comment avorter par les plantes ? - Forum - Contraception; 1 réponse. Réponse 1 / 1. Utilisateur anonyme
Quelques jours avant l’accouchement Le 21 mars 2014, nous avons l’écho du 7ème mois, le 22 mars, nous allons à l’anniversaire d’un ami, le 23 mars, nous avons la séance photos de grossesse avec Frimousse Photo. Je sors sur les rotules de ce weekend, je mets ça sur le compte des sorties à répétition, même si les gens me disent que j’ai l’air très fatiguée et que j’ai très mauvaise mine. Crédit photo Frimousse Photo Le 28 mars, nous allons à la maternité rendre visite à ma belle-sœur qui vient d’accoucher. J’en suis à 33SA, je suis épuisée, je compte littéralement les jours qui me sépare de ma date présumée d’accouchement, mais je ne me vois pas refuser d’aller voir la cousine de notre bébé. Il fait une chaleur infernale dans la chambre de la maternité. Je m’assoie dans un fauteuil, je félicite les parents, je prends la petite dans mes bras “pour m’entraîner” comme tout le monde me dit, mais je me sens mal. La célébration de la naissance continue chez mon beau-frère. Encore de la route, encore des sourires forcés pour cacher la douleur qui commence à arriver. On me répète que j’ai l’air fatiguée, ce à quoi je réponds “Encore 55 jours, je ne sais pas comment je vais tenir le coup”. Finalement, au bout de seulement 1 heure de présence, je supplie mon mari pour qu’on rentre à la maison, je n’en peux plus. Il me propose qu’on s’arrête au McDo sur la route car je n’ai pratiquement rien mangé. Mais je n’ai pas faim, je veux juste me coucher. Le weekend passe. Le 1er avril, je vais chez mon médecin traitant. Je lui explique que les remontées acides deviennent insupportables et qu’il me faut quelque chose pour calmer les douleurs car elles m’empêchent de dormir et me nourrir comme il faut. Je ne mange plus mais je bois beaucoup d’eau, malgré la douleur. Elle me diagnostique une oesophagite, un oesophage brûlé par les remontées acides, et me prescrit un médicament. Elle me prescrit également un comprimé contre la constipation qui me gêne et qui expliquerait, selon elle, mon mal aux reins. Mes mains et mes pieds me grattent, d’après elle, ce serait lié à une mauvaise circulation du sang. Je rentre chez moi en pensant que tout va rentrer dans l’ordre. Crédit photo Frimousse Photo Le lendemain, rien ne va mieux. Je ne dors pas, mon corps me semble couvert de bleus. Dès que mon mari me touche le bras ou le dos, c’est une torture. Je lui explique que cela fait une semaine que je rêve que je meurs les rares heures de la nuit où j’arrive à trouver le sommeil. Je me sens comme une feuille de papier qu’on froisse avant de la jeter, je sens mon corps me lâcher. On appelle le médecin traitant. Elle me conseille de doubler ma dose de médicaments et de prendre rendez-vous pour une écho abdominale si ça ne va pas mieux. Mon mari trouve cette solution stupide et en voyant l’état dans lequel je suis. Il m’aide à m’habiller et me conduit à la maternité. On est tout de suite pris en charge par une sage-femme pour un monitoring. Bébé va bien, malgré le fait que je n’ai pratiquement rien mangé les dernières 48 heures. Le médecin nous remet une ordonnance sur laquelle il prescrit de l’Omeoprazole. J’ai aussi un test à faire en labo en fin de semaine. Le médicament m’aide un peu, j’arrive à avaler un peu de nourriture dans la journée. Le 3 avril, midi arrive et je n’ai rien mangé depuis le soir précédent. Je suis enceinte de bientôt 34SA, il faut que je mange pour mon petit bout. Je me force alors à avaler quelques légumes. La première bouchée descend, mais la seconde, je sens tout de suite quelque chose remonter. Je cours aux toilettes et je vomis je ne sais quoi car je n’ai rien dans le ventre depuis un moment. Je suis prise de spasmes violents pendant les vomissements, je suis à moitié allongée devant la cuvette des toilettes, mes jambes ont ouvert la porte à cause des spasmes. Une fois le calvaire terminé, j’appelle mon mari en larmes “Il faut que tu rentres, il y a quelque chose qui ne va pas”. Il me rejoint 30 minutes plus tard. Après un nouveau passage à la maternité, on me conseille de doubler ma dose de médicament et de faire un test sanguin le lendemain. De retour à la maison, j’essaie de me reposer. Vers 21h, mon mari me demande de manger un peu pour moi et pour le bébé. Il m’apporte une compote que je mange pour lui faire plaisir. Puis je lui demande d’aller rapidement me chercher une bassine. Et pour une petite compote, je vomis toute une bassine de je-ne-sais-quoi. Je dis à mon mari que je vais mourir, je le sais, je le sens. Il rappelle la clinique en panique. Le médecin au bout du fil n’a pas l’air de prêter grande attention à ce que mon mari lui dit. Il insiste en me disant qu’il ne m’a jamais vu comme ça et qu’il me connaît par cœur, je ne suis vraiment pas bien. Le médecin lui demande s’il nous est possible de revenir le lendemain matin car ils n’ont pas de place pour le moment. Il me pose la question et je lui réponds OK, je suis trop épuisée pour me battre contre l’avis du médecin. Je me recouche, j’ai peur, mais j’essaie de ne pas le montrer. Mon mari reste à côté de moi puis va prendre une douche. A ce moment-là , mon téléphone sonne. C’est le médecin de la maternité qui me dit qu’elle vient d’avoir mon mari, et qu’après réflexion, il serait sans doute mieux que j’aille à la maternité dès maintenant car elle voit dans mon dossier que j’ai fait un peu de tension pendant ma grossesse. Elle me demande de lui lister mes symptômes à nouveau. Je lui explique que j’ai des fourmis dans les pieds et les mains à cause d’une mauvaise circulation sanguine, que j’ai mal aux reins à cause de la constipation, que j’ai récemment fait de la tension, que je ne peux plus m’alimenter et que je vomis tout ce que je mange mais que je suis tout le temps assoiffée, que j’ai l’impression que mon corps est couvert de bleus douloureux. Puis je raccroche, mon mari sort de la douche, je lui explique l’appelle du médecin, on s’habille et on reprend la route de la maternité. Dans la voiture, il me dit qu’il a comme l’impression qu’on ne rentrera pas à la maison ce coup-ci et qu’ils vont nous garder. J’espère qu’il a tort, mais je me sens tellement mal que je n’espère qu’une chose, qu’on me libère de mes douleurs. Crédit photo Frimousse Photo La naissance de notre fils En arrivant à la maison de la naissance, on ne demande plus notre route, nous savons où nous devons aller. Je m’assois sur un fauteuil et mon mari va chercher une sage-femme. Je lui ré-explique tout mes symptômes et c’est reparti pour un monitoring. J’essaie tant bien que mal de me détendre pendant l’examen, mon mari ne me quitte pas. J’ai peur… La sage-femme revient et récupère le monitoring sans rien dire et part le transmettre au médecin. Elle revient et me fait faire un test urinaire. Mon urine est très foncée mais je n’y prête pas attention sur le moment. Après quelques instants, la sage-femme revient, je vois à son visage qu’elle est embarrassée. Elle me dit que d’après le monitoring, le cœur du bébé bas moins vite à chaque contraction et qu’il est possible que j’accouche ce soir mais qu’elle va me laisser voir avec le médecin. Elle me dit qu’elle va être obligée de me poser une perfusion. Je suis paniquée car j’ai eu une très mauvaise expérience lors d’une précédente opération. L’anesthésiste m’avait piqué 4 fois dans le poignet sans trouver de veine pour finalement me piquer dans le creux du bras. J’explique tout ça à la sage-femme mais elle insiste pour me piquer au poignet. Elle me dit de respirer et je sens la douleur de l’aiguille qui rentre dans mon poignet. Mais elle s’y prend super bien et ça marche dès le premier essai. Puis elle nous accompagne dans une salle de naissance. Pour détendre l’atmosphère, mon mari monte sur le lit et me dit “Bon, alors ça fait quoi d’accoucher ?” et il pose ses pieds dans les étriers comme Ross dans Friends quand Rachel va accoucher. Il arrive à me décrocher un sourire. J’ai peur et en même temps, je me dis que mes souffrances touchent sans doute à leur fin donc ça me soulage un peu. Le médecin entre dans la pièce. Ce n’est pas le gynéco-obstétricien qui nous a suivi jusqu’à présent car il n’est pas là ce soir. C’est une femme, plutôt cool et sympathique. Elle nous emmène faire une échographie pour vérifier la position du bébé, son poids, etc… Puis on retourne à la salle de naissance. Elle m’explique qu’étant donné que le cœur de bébé bat moins vite à chaque contraction, il va falloir accoucher ce soir. Ok, on prend la nouvelle comme elle vient, de toute façon, si le médecin le dit, on n’a pas trop le choix que de suivre son avis. J’appelle ma mère. Il est presque 4h du matin mais elle n’a pas l’air endormi du tout, comme si elle s’attendait étrangement à ce qu’il se passe quelque chose ce soir-là . Elle me rassure, me dit que tout va bien se passer et me dit de demander à mon mari de tenir la famille au courant. Je me déshabille et j’enfile une blouse d’hospitalisation. Puis la gynéco vérifie mon col. Il est haut, il est fermé et je suis trop épuisée pour pousser. Conclusion pas question d’accoucher naturellement, ce sera une césarienne sous anesthésie générale. Elle me demande ma carte de groupe sanguin et quitte la pièce. La sage-femme revient pour me faire une piqûre de je-ne-sais-plus-quoi. Apparemment, c’est pour aider la maturation des poumons de bébé. Je flippe et j’envisage tout les scénarios catastrophes possibles dans ma tête. Le médecin revient à son tour avec un rasoir. Elle me rase un petit peu et me dit qu’elle va me poser une sonde urinaire. Ça ne va pas être agréable, mais l’avantage, c’est que le canal est bien plus court chez les femmes donc c’est plus rapide que chez les hommes je vois mon mari qui grimace, lol. Effectivement, ce n’est pas agréable, mais ce ne sera pas la pire souffrance du séjour à la maternité… Le médecin et la sage-femme sortent de la pièce et un homme entre. C’est l’anesthésiste. Il m’explique qu’il va me faire une anesthésie générale et que tout se passera bien, puis me donne un médicament pour me détendre. Il sort à son tour et c’est la pédiatre qui entre. Elle nous rassure également et nous explique que c’est elle qui prendra en charge le bébé dès son arrivée. Ça y est, il faut y aller. Deux infirmiers arrivent, débloquent mon lit et nous partons pour le bloc opératoire. On s’arrête devant une première pièce. La pédiatre y est, et à côté d’elle, une couveuse. Elle m’explique qu’elle récupérera le bébé à son arrivée et le mettra dans la couveuse. On continue notre chemin jusqu’à une seconde pièce, juste à côté de la première. J’entends l’anesthésiste dire à mon mari qu’il ne peut pas me suivre. Je commence à trembler comme une feuille, impossible de contrôler mes mains. Mon mari me racontera par la suite qu’il est pris en charge par la pédiatre. Elle le conduit dans une pièce pour qu’il puisse se changer et enfiler une tenue stérile, comme les médecins. Puis elle l’accompagne dans la pièce où se trouve la couveuse, juste à côté de la salle où j’attends qu’on m’endorme. Il y a une grande baie vitrée donc il peut me voir. La pédiatre lui explique que lorsque le bébé sortira de mon ventre, son cœur s’arrêtera quelques secondes puis ils le feront repartir mais que c’est normal. Ensuite, on le lui amènera et c’est elle qui s’occupera de le nettoyer, de lui faire tout ses branchements et de le mettre en couveuse. Puis le CHU viendra le récupérer. Elle lui dit de préparer son smartphone pour prendre des photos. De mon côté, les deux infirmiers se présentent à moi et me disent que tout va bien se passer. Je leur dis que je suis désolée car je tremble très fortement et de façon incontrôlée. L’un d’eux me répond de ne pas m’inquiéter, c’est tout a fait normal. Mes bras sont écartés de chaque côté de mon corps. Il me maintient la main et me pique au creux du bras. Tout à coup, j’entends mon mari derrière moi qui me crie “Je t’aime bébé !”. Je lui réponds au bord des larmes “Moi aussi” mais je ne suis pas sûre qu’il m’ait entendu. Il me dira plus tard qu’il m’a bien entendu et que tout le monde autour de nous était très ému. L’anesthésiste arrive et me dit qu’il va m’injecter le produit. Il me dit de respirer profondément. Je sens quelque chose de chaud dans mes veines. Ma mâchoire se crispe et ma tête par en arrière. Mes jambes se mettent à battre de manière incontrôlable et à une vitesse folle sur la table d’opération. Je ressens une peur immense puis c’est le trou noir. Mon mari me racontera par la suite qu’on l’a fait sortir de la pièce derrière la mienne avant qu’on m’injecte l’anesthésiant. Heureusement, car quand je lui ai dit comment je m’étais endormi, il m’ a répondu que ça l’aurait encore plus paniqué. Pendant la césarienne, il attend dans le couloir et s’assoit sur un lit. Nous ne sommes pas croyants ni l’un ni l’autre, mais il a prié pour que tout se passe bien. Les sages-femmes sont passées le voir et il pleurait. Elles essayaient de le rassurer en lui disant que tout se passait très bien. Vers 6 heures du matin on lui dit de repasser dans la pièce derrière la mienne et de préparer son appareil photo. Comme on le lui avait expliqué, le cœur de bébé s’arrête quelques secondes. Le bruit de la ligne plate de l’électrocardiogramme indiquant que le cœur s’est arrêté de battre est un son qui reste ancré en lui encore aujourd’hui. Aussi courtes ces quelques secondes soient-elles, elles lui ont paru durer une éternité. Puis le bip » reprend et le petit cœur se remet à battre. MiniLeg0 est né La pédiatre explique à mon mari que la procédure veut que bébé soit emmené au CHU, mais d’après elle, il n’y resterait pas longtemps car elle le trouve en pleine forme. Notre fils est né 7 semaines en avance et pèse 2,2kg pour 46 cm. Pendant ce temps, on m’emmène en salle de réveil. J’émerge vers 9h00 en entendant la voix de mon mari “Tout s’est bien passé, tu vas bien et bébé va bien. Regarde, il est là !”. J’ouvre les yeux avec difficulté mais je ne vois que la couveuse. J’entends mon mari dire “Elle ne le voit pas”. Puis la couveuse se baisse et je vois une petite main qui se tend vers moi. Je réunis le peu de force que j’ai et je touche la petite main toute douce en disant “Oh mon bébé”. Je n’ai pas vu son visage, juste sa main, puis on l’emmène à nouveau pour qu’il soit transféré au CHU. Mon mari reste à mes côtés et me tient l’autre main en me parlant doucement “Il est beau, il est en pleine forme”. Puis on lui dit qu’il faut partir car pour l’instant, je suis seule dans la salle de réveil mais d’autres patients arrivent. Il me dit au revoir et me lâche la main. J’ai touché la main de mon fils puis il est parti et celle de mon mari qui part à son tour, j’ai l’impression que je suis en train de mourir et de les quitter. Je me rendors à nouveau. En sortant de la salle de réveil, mon mari tombe sur le médecin qui nous a reçu et m’a accouché et elle lui dit “Monsieur, il était grand temps que votre femme accouche”. Il comprend que quelque chose de grave vient d’être évité mais il n’en saura pas plus pour le moment. Il appelle tout le monde pour annoncer la naissance de notre fils. Les heures passant, il demande s’il peut m’appeler pour voir si je vais bien. Les sages-femmes m’amènent un téléphone en salle de réveil et j’entends à nouveau la voix de mon mari qui me dit qu’il a appelé toute la famille. Je suis faible mais de l’entendre me fait du bien. Vers 12h00, je suis réveillée bien que vaseuse. On me dit que je vais être conduite en salle de soins. Mon mari m’y rejoint. J’ai mal à la gorge à cause de l’intubation et je suis encore bien fatiguée. Je suis perfusée de partout. Mon mari somnole sur un fauteuil à côté de mon lit. Dans l’après-midi, le gynéco-obstétricien qui m’a suivi lors de ma grossesse passe dans ma chambre. Il nous dit que notre fils est au CHU mais qu’il est en pleine forme et qu’il devrait revenir très rapidement à la maternité. Il sera en couveuse au service néonat car il n’a que 34 semaines d’aménorrhées et que pour l’instant il a une sonde et des patchs. Il devra y rester jusqu’à la 36ème semaine d’aménorrhées, soit encore 2 semaines. Mais il respire déjà très bien et va pouvoir s’alimenter normalement très vite. Puis son ton devient plus grave lorsqu’il commence à parler de mon cas. Il nous explique alors que j’ai fait une stéatose hépatique aiguë gravidique ou stéatose hépatique aiguë de la grossesse. C’est une maladie très rare qui survient en fin de grossesse et qui est difficile à diagnostiquer car les symptômes sont trompeurs. La stéatose hépatique aiguë de la grossesse ou gravidique SHAG est un état grave qui survient au cours du troisième trimestre de la grossesse. Il survient dans 1 grossesse sur 13 000. Bien que rare, la SHAG peut entraîner une insuffisance hépatique et une encéphalopathie confusion mentale et coma. Si le diagnostic est posé à des stades avancés de la maladie, le fœtus et la mère pourraient tous deux en mourir. Des études récentes ont démontré un taux de mortalité maternelle de 10 à 20 % en présence de SHAG ce qui indique qu’une meilleure compréhension de la maladie est nécessaire afin de poser un diagnostic et d’amorcer un traitement précoces. Les symptômes de la SHAG incluent fatigue, nausées, vomissements et douleur abdominale. L’ictère pigmentation jaune de la peau peut survenir à mesure que la maladie progresse. Un accouchement précoce du bébé peut souvent inverser les lésions au foie. En gros, mon foie a réagit comme si je faisais une hépatite, j’avais la peau jaune, mes reins aussi en ont pris pour leur grade. La seule solution était l’accouchement. Une fois bébé sorti, la douleur avait disparu. Par contre, mes bilans sanguins montraient une faiblesse au niveau de mes reins et de mon foie qui exigeait que je reste en unité de soins. Encore une fois, le médecin nous a dit “Il était grand temps que vous accouchiez”. Je suis fatiguée, encore sous le choc de la césarienne, je ne percute pas encore la gravité de la situation. Mon mari reste avec moi jusqu’à 20h, puis il est obligé de me quitter car il n’a pas le droit de dormir dans ma chambre tant que je ne suis pas au service maternité. Il a du mal à partir et il me racontera plus tard qu’il a de nouveau pleurer sur la route de la maison. Je m’endors peu de temps après qu’il ait fermé la porte de ma chambre sous l’effet des médicaments. Nous passons la première nuit après la naissance de notre fils seuls dans nos coins respectifs, bébé au CHU, papa à la maison, et maman en unité de soins. Et ce n’est que le début de ce qui sera sans doute les deux plus longues semaines de nos vies… Le lendemain Le lendemain matin de la naissance de notre fils, les aide-soignants s’occupent de moi. Ils changent mes perfs, me font ma toilette, regardent mon pansement. Ils essaient de me lever mais je n’y arrive pas, la douleur est encore trop présente. On me fait des prises de sang, puis on m’emmène faire une écho du foie. On ne me trouve rien d’étrange, mon foie a une taille normale. Mon mari me rejoint dans la matinée. Le médecin vient nous voir et nous explique que mon foie a réagit durant la grossesse mais qu’il a repris sa taille normale après l’accouchement. Par contre, mes reins ont pris cher mon urine est très foncée car le foie n’a pas bien fonctionné les jours précédents, ma peau et le fond de mes yeux sont jaunes, et mes bilans sanguins ne sont pas bons. D’après elle, il faudra 1 mois avant que tout ne rentre dans l’ordre. Donc ils me gardent en unités de soins jusqu’à ce que je récupère un peu, ils ne veulent pas prendre le risque de me transférer à la maternité et que je tombe dans le coma. Elle nous annonce ensuite que bébé est revenu du CHU le matin-même car il s’en sortait très bien. Il est au service néonat et mon mari va pouvoir aller le voir. Je suis heureuse qu’il soit de retour car il est en pleine forme et triste à la fois car je ne pourrai pas le voir. En attendant, elle nous transmet une photo prise par le personnel du CHU. Puis son ton change, son visage a l’air triste et elle s’adresse à moi “Je tenais à vous présenter mes excuses. Quand votre mari a appelé jeudi soir, je n’avais pas réussi à mesurer la gravité de la situation parce que c’est une maladie qui est difficile à diagnostiquer. Je suis vraiment contente que votre mari ait autant insisté sur le fait que vous n’alliez pas bien. Je ne veux même pas penser à ce qui aurait pu se passer si vous aviez attendu le lendemain comme je vous l’avais dit.” C’est à ce moment-là que je percute enfin ce qui aurait pu se passer. Notre fils et moi avons failli mourir. Ce n’est pas arrivé à quelqu’un d’autre, ce n’est pas un film ou une série. Mon mari aurait pu rentrer seul à la maison s’il n’avait pas insisté pour que nous allions à la maternité. Lorsque le médecin quitte la pièce, je suis envahie par l’émotion et je pleure de manière incontrôlable. Mon mari me prend dans ses bras et me dit de pleurer tout ce que j’ai, que ça va me faire du bien. Je le sens triste lui aussi, mais il reste calme pour moi. Le téléphone sonne, mon mari peut descendre à la néonat voir notre fils. Pendant son absence, le gynéco-obstétricien qui me suivait pendant la grossesse passe et me dit qu’ils vont me faire passer des tests et me prendre rendez-vous avec des spécialistes pour mieux comprendre ce qu’il s’est passé. D’après lui, il y aurait de fortes chances pour que la même chose se reproduise lors d’une seconde grossesse. On ne voulait qu’un enfant, la nature confirme notre choix. Puis l’anesthésiste qui va me suivre durant tout mon séjour en unité de soins passe à son tour et en remet une couche sur les tests, la gravité de la situation, etc… Je comprends qu’on m’explique et j’apprécie la transparence, mais dans ma tête et dans mon cœur, ça commence à faire beaucoup… Quelques minutes plus tard, mon mari revient de la néonat, le sourire jusqu’aux oreilles. Voir son fils a été sa bouffée d’oxygène, il est pimpant. Il me dit qu’il y retournera plus tard avec un de mes t-shirts que les sages-femmes mettront dans la couveuse pour que bébé ait mon odeur prêt de lui. Et il me ramène une vidéo pour que je vois mon fils. En la visionnant, je m’effondre à nouveau en larmes. Il a l’air si petit et fragile. Pourquoi je n’ai pas réussi à le protéger plus longtemps dans mon ventre ? Ma sœur passe dans l’après-midi pour nous offrir des petits pyjamas et un doudou. On discute un peu puis mon mari sort de la chambre. La porte reste ouverte et je l’entends poser une question à quelqu’un pendant que je continue de discuter avec ma sœur. Puis il entre à nouveau dans la chambre et me dit “Il y a une surprise pour toi”… Et là deux sages-femmes entre avec une petite couverture orange dans les bras et à l’intérieur, mon bébé ! Je ne sais pas comment décrire l’émotion que je ressens à ce moment-là . C’est comme un mélange de douleur, de joie, de culpabilité et d’amour tout en même temps qui me sert la gorge et qui fait battre mon cœur plus vite. Je tends les bras pour le prendre. A nouveau, les larmes me viennent. Je rencontre enfin mon fils pour la première fois. Les sages-femmes précisent qu’elles ne font jamais ce genre de choses avec un préma mais qu’il est tellement en forme qu’elles lui ont exceptionnellement fait faire le voyage de la néonat à l’unité de soins. Ma sœur et mon mari prennent des photos puis restent auprès de nous. Ça ne dure que quelques minutes, les sages-femmes le récupèrent et me disent de me remettre vite pour pouvoir venir le voir. Je me sens regonflée à bloc malgré la fatigue, je retrouve le sourire. Mon mari est heureux de me voir comme ça. Son départ est d’autant plus difficile le soir, il insiste pour rester avec moi mais les aides-soignants refusent. Il part à contrecoeur mais en y repensant, c’était pour le mieux, car je ne le sais pas encore, mais je m’apprête à vivre une nuit très difficile et des soins de plus en plus douloureux… Le séjour en unité de soins Je vais passer 5 jours en unité de soins. Pas de repas avant le 4ème jour et des perfs toujours plus douloureuses. Parfois, les tuyaux se bloquent et le liquide ne passe plus. Dans ce cas les aides-soignants injectent je-ne-sais-quoi dans les tuyaux pour faire repartir le flux et ça crée une douleur extrême dans les veines. J’en ai hurlé une nuit et je redoutais toujours le changement de poche qui entraînait souvent des blocages des tuyaux. Je suis gonflée comme une baudruche et les aides-soignants galèrent à me faire mes prises de sang quotidiennes. Jusqu’au jour où il devient impossible de me piquer au creux des bras. C’est donc l’anesthésiste qui prend la suite. Elle me pique sur le côté du poignet et rien ne sort. Dernier recours, elle va passer par la veine à l’intérieur du poignet en-dessous de la paume de la main. La douleur est insoutenable dès que l’aiguille pénètre, et comme elle ne trouve pas de sang, elle bouge l’aiguille jusqu’à ce que le sang coule enfin. Je me souviens m’être contorsionnée dans tout les sens dans mon lit en hurlant, pourtant je ne suis pas douillette. Au début du séjour, impossible de me lever. Puis on m’aide à m’asseoir sur le lit, à me lever, à m’asseoir à nouveau sur un fauteuil roulant puis on me pousse jusqu’au lavabo. Au fil des jours, je fais les quelques pas qui me séparent du lavabo en marchant avec un aide-soignant à côté de moi. Ma tête tourne, mes muscles me lâchent. Faire trois pas me fatigue plus que 5 heures de Body Attack et me donne la nausée. Ma cicatrice me fait un peu mal, je fais une allergie à la colle du pansement qui me provoque une brûlure entre le ventre et ma cuisse droite. La sonde urinaire me gêne beaucoup, c’est parfois douloureux. On me pique le doigt plusieurs fois par jour pour vérifier ma glycémie et j’ai aussi des injections d’anti-coagulant qui brûlent dans la cuisse. Psychologiquement, c’est très dur. Mon mari fait des allers et retours entre la maison et l’unité de soins, entre l’unité de soins et la néonat. Malgré la fatigue, il profite de notre fils, apprend à le changer, lui donner le biberon, lui faire son bain. Il me raconte qu’il est en pleine forme et qu’il est le seul bébé de la néonat donc on prend grand soin de lui. Et tout le monde l’aime bien, apparemment, il n’est pas difficile du tout. Moi je ne dors plus, je suis en souffrance tout les jours et je ne peux pas m’occuper de mon fils. Malgré la gentillesse des aides-soignants, les jours me semblent être des mois. Je n’attends qu’une chose, pouvoir rejoindre le service maternité, me rapprocher de mon bébé et que mon mari puisse dormir dans la chambre avec moi. Tous les jours mes bilans sanguins reviennent, jamais assez bon pour que mon attente soit récompensée, et tout les jours, les médecins me disent de patienter car ce que j’ai eu est grave. Je n’en peux plus d’entendre que ce que j’ai eu est grave. Je pleure tout les jours et toutes les nuits, je fais des crises d’angoisse, j’ai souvent des pensées morbides. Après 5 jours d’attente, mes résultats vont enfin vers le mieux. Les médecins m’autorisent à rejoindre le service maternité mais me gardent à l’œil car il y a toujours un risque que je tombe dans le coma. Si jamais je ressens quoi que ce soit d’anormal, il ne faudra pas que j’attende pour appeler les sages-femmes. On m’enlève toutes mes perfs, on m’enlève la sonde urinaire et tout mes patchs. Deux sages-femmes viennent me chercher et me disent que je serai bien avec elles. Mon mari nous suit avec la valise contenant mes affaires et qu’il a ramené de la maison. Je suis aux anges, c’est enfin la libération, j’ai l’impression que tout mes problèmes s’envolent… Le séjour à la maternité Un seul mot pour résumer ce séjour de 9 jours contradiction. Tout n’a été que contradiction, dans le discours des médecins en passant par celui des sages-femmes, des pédiatres et dans ma tête également. D’abord les médecins. Pendant 9 jours tout ce que j’ai entendu c’est “Aujourd’hui ça va” et le lendemain “Ah non, ça ne va plus”. Les prises de sang ont continué, mais comme je n’étais plus perfusée, j’ai dégonflé et on pouvait à nouveau me piquer au creux des bras. Mes résultats étaient en dents de scies et les médecins ne s’entendaient pas. Le gynéco-obstétricien me disait qu’il fallait attendre que ce soit nickel, l’anesthésiste disait que de toute façon, il faudrait 1 mois avant que ça ne revienne à la normal et que les résultats en dents de scie ne voulait rien dire. Les sages-femmes, c’était la guerre entre celles qui me disaient qu’il fallait que je me tienne debout toute seule et que j’aille à la néonat à pieds et celles qui me disaient de me reposer parce que ce que j’avais eu c’était grave et qui me disait d’aller à la néonat en fauteuil roulant avec mon mari. Conclusion, un jour, je suis allée à la néonat seule à pieds et ma cicatrice de césarienne s’est mise à saigner. Le lendemain, j’y vais en fauteuil avec mon mari, et à la néonat on me sort “Faudrait commencer à venir en marchant quand même, faut s’entraîner pour quand vous serez chez vous”. J’ai attendu que tout le monde ait le dos tourné et j’ai pleuré en silence. J’avais l’impression qu’elle me prenait pour une feignasse et une mauvaise mère parce que je ne faisais pas d’efforts. J’avais séché mes larmes avant qu’on m’amène mon fils pour son biberon. Les pédiatres n’arrivaient pas à se mettre d’accord sur la date où bébé allait pouvoir sortir et s’il pourrait ou non passer une journée et une nuit complètes dans la chambre avec nous avant de partir. Un jour on nous disait “oui”, le lendemain, une autre personne nous disait “non”. Du coup, c’était le bordel dans ma tête. J’ai rencontré la psy du service 3 fois, 1 fois avec mon mari et 2 fois seule. Je culpabilisais de ne pas avoir gardé mon bébé dans mon ventre plus longtemps, j’avais l’impression d’avoir râté mon accouchement. Quand mon fils me regardait, j’avais l’impression de lire du ressentiment dans ses yeux, comme s’il me disait “Tu a failli me tuer maman”. Et les réflexions qu’on me sortaient parfois à la néonat me faisaient douter de mes capacités à être une bonne mère “Nous on rattrape vos couches alors faudrait les faire mieux que ça”, “Le biberon faut pas que ça dure 3 heures non plus”, “Si vous mettez trop longtemps à lui changer sa couche il ne va pas apprécier”. La psy m’a dit qu’il fallait que je fasse le deuil de mon accouchement et que les réflexions de la néonat étaient débiles elle en a d’ailleurs parlé avec le service. Je culpabilisais aussi car je ne sentais pas de connexion avec mon fils. Je savais que c’était mon enfant et que je l’aimais mais je ne le ressentais pas. En même temps, c’est difficile de créer une relation quand vous n’êtes jamais seule avec votre enfant et que vous ne l’avez pas vu pendant presque une semaine après l’accouchement. La psy m’a dit que c’était normal car, malgré que ce soit mon fils, c’était aussi un inconnu et qu’il fallait qu’on fasse connaissance tout les deux. Elle m’a aussi dit de lui parler et de lui expliquer tout ça. Un jour où je l’ai eu dans la chambre avec moi, je lui ai dit en pleurant que je l’aimais, que j’étais désolée que ça se soit passé comme ça et que j’avais hâte qu’on rentre à la maison pour faire connaissance. Je n’osais pas en parler à mon mari car j’avais peur qu’il le prenne mal et quand je lui ai enfin dit, il a totalement compris et m’a rassuré en me disant que c’était normal. Pendant que j’en passais pas toutes ces étapes, mon mari gérait notre fils, les papiers, la maison, mes humeurs, nos chats… Bébé gérait aussi comme un chef. Il est passé rapidement de la couveuse, au berceau chauffé, au berceau normal. De 2,2kg et 46cm à la naissance, il est passé à 2,690kg et 48cm en deux semaines. Finalement, après des symptômes atroces, un accouchement en urgence, un séjour en unité de soins et 9 jours en maternité, notre fils a eu ses 36 semaines d’aménorrhées et on nous a autorisé à rentrer chez nous. Crédit photo Frimousse Photo Le retour à la maison Mon mari est venu nous chercher en début d’après-midi le 18 avril, 2 semaines après l’accouchement. Bébé ayant atteint ses 36 semaines d’aménorrhées, il n’était plus considéré comme prématuré, nous pouvions donc rentrer chez nous. Les médecins sont passés dans ma chambre le matin pour me souhaiter un bon retour. Nous avons ensuite fait le tour des services pour déposer des bonbons afin de remercier le personnel d’avoir pris soin de nous durant ces 15 jours. Le plus dur a été de passer par l’unité de soins. Je ne savais pas comment on y allait car je ne me souvenais plus comment j’y étais arrivée. Les aides-soignants étaient très touchés qu’on passe leur dire au revoir et qu’on leur présente notre fils. En sortant du service, j’ai encore pleuré, c’était comme revenir sur les lieux d’un accident. Puis nous sommes montés en voiture et nous avons pris la route du retour. Tout me semblait différent, comme si je me réveillais après un mini-coma. Le soleil brillait, les arbres étaient vert, mon cœur était de plus en plus léger à mesure qu’on se rapprochait de chez nous… Et nous voilà à la maison ! Nous profitons enfin de notre chance et de notre bonheur d’être 3. Pour finir, je vous dirai ceci si vous ressentez ces symptômes, n’hésitez pas à insister pour être vu par un médecin. Il en va peut-être de la vie de votre enfant et de la vôtre. Lettre à mon bébé Nous avions choisi ton prénom en hommage à un grand homme, sans savoir qu’il signifiait “fils du champion”. Je n’ai pas pu te garder dans mon ventre pendant 9 mois comme la plupart des mamans. La SHAG stéatose hépatique aiguë gravidique nous a pris de court, et tu es arrivé par surprise ce matin du Crédit photo Frimousse Photo Ton papa a été un champion en insistant vigoureusement auprès des médecins de la maternité pour qu’ils s’occupent de moi. Il a été un champion en veillant sur nous après ta naissance, moi en unité de soins, toi en néonat. Et il sera toujours un champion, car il continue de prendre grand soin de nous au quotidien. Tu as été un champion en résistant à la méchante SHAG qui rôdait autour du ventre de maman. Tu as été un champion en revenant du CHU en seulement 24 heures. Tu as été un champion, car c’est le surnom que le personnel de la maison de la naissance t’avait donné, petit bébé sage, mais tonique, qui buvait ses biberons jusqu’à la dernière goutte et qui a surpris tout le monde par sa force et son énergie malgré ses 2,2 kg pour 46 cm, et surtout malgré ses 7 semaines d’avance sur la date présumée de son arrivée. Crédit photo Frimousse Photo Je ne me sens pas championne de n’avoir pu te protéger plus longtemps. Je ne me sens pas championne de n’avoir pu te serrer dans mes bras le jour de ta naissance. Je ne me sens pas championne d’avoir passé 5 jours en unité de soins loin de toi. Malgré ces “ratés”, je me sens victorieuse lorsque je regarde ces photos, je me sens victorieuse oui, car elles sont la preuve que, malgré les épreuves, ce les jours qui ont suivi et les éventuels jours difficiles à venir, toi, ton papa et moi, nous étions, nous sommes et nous resterons des champions. Crédit photo Frimousse Photo
mariqui ne comprend pas ma fatigue grossesse Please Share This Share this content. parc de jeux avignon Opens in a new window; montfort l'amaury balade Opens in a new window; clavius aquila valerius niger wikipedia Opens in a new window; les noms musulmans selon les jours de naissance Opens in a new window; salaire université de genève Opens in a
bonjour à toutes,je suis entrée dans mon 3ème mois de grossesse et mon ventre commence à sortir. Je vois mon corps changer et surtout se ramollir car je ne fais plus d sport... effectivement ça m’est fortement déconseillé. Un peu de marche de temps en temps quand je n’ai pas de sciatique et faudrait que j’aille un peu nager en piscine mais je suis tellement fatiguée que je n’en ai pas le courage. Je suis heureuse d’être enceinte mais je vis mal le fait que mon corps change. Je suis mince et je fais régulièrement du sport. Mon mari est très accès sur l’apparence, il fait du sport en club et de la muscu à la maison et en ce moment je ne supporte plus qu’il fasse tout ça devant moi.. le sport en club lui fait beaucoup de bien tant sur le plan physique que mental donc je ne vois aucun problème à cela au qu’il fasse de la muscu pour être bien muscler alors que moi je vais être grosse mole et avec de la cellulite ça commence à bien s’installer ça me fou les nerfs mais d’une telle sera notre enfant donc pourquoi moi je devrais sacrifier mon corps et lui continuer d’être bien, attirant etc...pour moi c’est quelque chose que l’on vit ensemble pour nous et j’aimerais qu’il fasse des concessions avec lui en ai parlé en début de semaine et ça a été la grosse prise de tête. Il ne comprend pas et dit que c’est comme ça qu’il ne va pas arrêter son sport parce que moi je vais grossir. Je le vois partir bien habillé avec des vêtements qui mettent sa silhouette en valeur quand il va travailler et ça me fait beaucoup de mal...au lit c’est pas trop ça j’ai souvent le ventre qui me tire donc on fait pas des folies et c’est moins fréquent...je m’habille pas très bien je mets toujours des gilets pour cacher mon ventre et mes seins vu que je ne peux pas encore en parler au boulot avant les 3 mois...je vis mal cette période et j’ai peur que mon mari me trompe qu’il cherche à séduire d’autres femmes.. et qu’il me fasse autant la gueule parce que je lui demande de ne plus faire de muscu qu’il ne veuille plus manger le soir pour ne pas grossir ça me fait peter les plomb. Si vous avez vécu une histoire similaire ou avez des conseils à me donner, ils sont les d’avance Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. Pourquoi arrêter lui le sport si tu ne peux plus en faire ? C est un peu égoïste non ? Toi après la grossesse tu va en refaire et sûrement retrouver ta silhouette . Le problème c est surtout que tu ne t accepte pas et tu n accepte pas me changement de ton corps pendants la grossesse pourtant c est un peu le passage obliger malheureusement.... tu dzvrais travailler un peu ma perception de ton corp plutôt que celle de ton mari ce n est que mon avis mais je te trouve pas logique dans ta façon d être ... et peut être revoir la confiance que tu as en ton mari car visiblement le soucis est la aussi . Tu as peur qu'il te trompe parce que tu es enceinte mais avant ? Tu avais la ? Pourquoi ne pas avoir simplement confiance en lui ? J'aime En réponse à aissam_972475 bonjour à toutes,je suis entrée dans mon 3ème mois de grossesse et mon ventre commence à sortir. Je vois mon corps changer et surtout se ramollir car je ne fais plus d sport... effectivement ça m’est fortement déconseillé. Un peu de marche de temps en temps quand je n’ai pas de sciatique et faudrait que j’aille un peu nager en piscine mais je suis tellement fatiguée que je n’en ai pas le courage. Je suis heureuse d’être enceinte mais je vis mal le fait que mon corps change. Je suis mince et je fais régulièrement du sport. Mon mari est très accès sur l’apparence, il fait du sport en club et de la muscu à la maison et en ce moment je ne supporte plus qu’il fasse tout ça devant moi.. le sport en club lui fait beaucoup de bien tant sur le plan physique que mental donc je ne vois aucun problème à cela au qu’il fasse de la muscu pour être bien muscler alors que moi je vais être grosse mole et avec de la cellulite ça commence à bien s’installer ça me fou les nerfs mais d’une telle sera notre enfant donc pourquoi moi je devrais sacrifier mon corps et lui continuer d’être bien, attirant etc...pour moi c’est quelque chose que l’on vit ensemble pour nous et j’aimerais qu’il fasse des concessions avec lui en ai parlé en début de semaine et ça a été la grosse prise de tête. Il ne comprend pas et dit que c’est comme ça qu’il ne va pas arrêter son sport parce que moi je vais grossir. Je le vois partir bien habillé avec des vêtements qui mettent sa silhouette en valeur quand il va travailler et ça me fait beaucoup de mal...au lit c’est pas trop ça j’ai souvent le ventre qui me tire donc on fait pas des folies et c’est moins fréquent...je m’habille pas très bien je mets toujours des gilets pour cacher mon ventre et mes seins vu que je ne peux pas encore en parler au boulot avant les 3 mois...je vis mal cette période et j’ai peur que mon mari me trompe qu’il cherche à séduire d’autres femmes.. et qu’il me fasse autant la gueule parce que je lui demande de ne plus faire de muscu qu’il ne veuille plus manger le soir pour ne pas grossir ça me fait peter les plomb. Si vous avez vécu une histoire similaire ou avez des conseils à me donner, ils sont les d’avance Bonjour, Sans jugement... Votre couple est-il basé sur autre chose que le sport à outrance et le culte du corps ?... parce que là ça sonne un peu superficiel. Comme si la plus belle chose au monde, que vous êtes en train de vivre, était vachement moins importante. 2 - J'aime je trouve ça injuste. Jai confiance en temps normal même si je reste quand même sur mes gardes effet je ne vais pas avoir confiance en moi durant cette période mais ça ne changera pas au contraire et je vais pas aller voir un psy pour beau de pouvoir porter un enfant et donner la vie mais je trouve que c’est injuste que ce soit moi qui ai tous les inconvénients et que lui continu sa vie, de se faire beau pour cet été... pour plaire à qui? Il sait que j’aime les hommes qui se portent bien donc que je n’ai aucun problème avec le fait qu’il prennent quelques kilos et qu’il m’accompagne. On pourra se motiver ensemble pour perdre les kilos plus tard. En fait je ne sens aucune suis malade à cause des nausées, j’ai des baisses de tension de la grosse fatigue etc... lui continu sa vie comme si tout allait bien. C’est injuste et ça me dégoûte ça m’énerve a un point et au lieu de comprendre de compatir un minimum, ben non il me fait la gueule et préfère m’ viens d’en parler à ma grand mère avec qui je suis très proche elle est ouverte d’esprit et m’a répondu qu’il ne faut pas s’étonner si les couples ne tiennent plus... être égoïste et aimer autant son apparence c’est quand même dingue! J'aime En réponse à aissam_972475 je trouve ça injuste. Jai confiance en temps normal même si je reste quand même sur mes gardes effet je ne vais pas avoir confiance en moi durant cette période mais ça ne changera pas au contraire et je vais pas aller voir un psy pour beau de pouvoir porter un enfant et donner la vie mais je trouve que c’est injuste que ce soit moi qui ai tous les inconvénients et que lui continu sa vie, de se faire beau pour cet été... pour plaire à qui? Il sait que j’aime les hommes qui se portent bien donc que je n’ai aucun problème avec le fait qu’il prennent quelques kilos et qu’il m’accompagne. On pourra se motiver ensemble pour perdre les kilos plus tard. En fait je ne sens aucune suis malade à cause des nausées, j’ai des baisses de tension de la grosse fatigue etc... lui continu sa vie comme si tout allait bien. C’est injuste et ça me dégoûte ça m’énerve a un point et au lieu de comprendre de compatir un minimum, ben non il me fait la gueule et préfère m’ viens d’en parler à ma grand mère avec qui je suis très proche elle est ouverte d’esprit et m’a répondu qu’il ne faut pas s’étonner si les couples ne tiennent plus... être égoïste et aimer autant son apparence c’est quand même dingue! Non mais ta grand mère sera forcément de ton côté ... lol je pense que tes hormones doivent tourbilloner déjà ... et si tu as je pense besoin d un psy vu ce que tu raconte car visiblement tu vie très mal cette grossesse physiquement et psychologiquement.... il a quand même le droit de prendre soins de lui quand même! Tu es jalouse que lui son corp ne change pas et tu es jalouse car tu as peur qu' il te trompe ... mais que tu sois enceinte ou non si il n est pas fidèle il te trompera par contre si jusqu' ici tu n as jamais eu à douter de sa fidélité et de son amourbpour toi ce qui visiblement est le cas puisque vous avez fais un bebe quand même pourquoi douter maintenant? Si tu n as aucune confiance en ton conjoint pourquoi faire un bebe ? Si tu ne veux pas que ton corps change pourquoi faire un bebe ? J'aime Tu as lnaire très en colère mais je pense que t'es hormones joue beaucoup la dedans ... elles ont bon dos les hormones J'aime En réponse à aissam_972475 je trouve ça injuste. Jai confiance en temps normal même si je reste quand même sur mes gardes effet je ne vais pas avoir confiance en moi durant cette période mais ça ne changera pas au contraire et je vais pas aller voir un psy pour beau de pouvoir porter un enfant et donner la vie mais je trouve que c’est injuste que ce soit moi qui ai tous les inconvénients et que lui continu sa vie, de se faire beau pour cet été... pour plaire à qui? Il sait que j’aime les hommes qui se portent bien donc que je n’ai aucun problème avec le fait qu’il prennent quelques kilos et qu’il m’accompagne. On pourra se motiver ensemble pour perdre les kilos plus tard. En fait je ne sens aucune suis malade à cause des nausées, j’ai des baisses de tension de la grosse fatigue etc... lui continu sa vie comme si tout allait bien. C’est injuste et ça me dégoûte ça m’énerve a un point et au lieu de comprendre de compatir un minimum, ben non il me fait la gueule et préfère m’ viens d’en parler à ma grand mère avec qui je suis très proche elle est ouverte d’esprit et m’a répondu qu’il ne faut pas s’étonner si les couples ne tiennent plus... être égoïste et aimer autant son apparence c’est quand même dingue! Tu ne lui demande pas de compatir, tu lui demande de changer son mode de vie, car tu ne fais plus le sport que tu faisais tu lui reproches la grossesse que tu vis... fallait y penser avant et ne pas faire d' mon sens, c'est toi qui est égoiste. Tu veux l'empêcher de vivre pour un choix que VOUS avez fait avoir un enfant et pour lequel, j'ose imaginer que tu avais une vague idée des changements corporels que ca allait n'aime pas plus son apparance qu'avant. Il est pareil comme avant. C'est toi qui ne supporte pas TON apparence. Et tu lui reproche !!Si votre couple ne tient qu'a l'apparence physique... vous allez inévitablement clasher dans la 40-50 aine, grossesse ou pas. 2 - J'aime En réponse à aissam_972475 je trouve ça injuste. Jai confiance en temps normal même si je reste quand même sur mes gardes effet je ne vais pas avoir confiance en moi durant cette période mais ça ne changera pas au contraire et je vais pas aller voir un psy pour beau de pouvoir porter un enfant et donner la vie mais je trouve que c’est injuste que ce soit moi qui ai tous les inconvénients et que lui continu sa vie, de se faire beau pour cet été... pour plaire à qui? Il sait que j’aime les hommes qui se portent bien donc que je n’ai aucun problème avec le fait qu’il prennent quelques kilos et qu’il m’accompagne. On pourra se motiver ensemble pour perdre les kilos plus tard. En fait je ne sens aucune suis malade à cause des nausées, j’ai des baisses de tension de la grosse fatigue etc... lui continu sa vie comme si tout allait bien. C’est injuste et ça me dégoûte ça m’énerve a un point et au lieu de comprendre de compatir un minimum, ben non il me fait la gueule et préfère m’ viens d’en parler à ma grand mère avec qui je suis très proche elle est ouverte d’esprit et m’a répondu qu’il ne faut pas s’étonner si les couples ne tiennent plus... être égoïste et aimer autant son apparence c’est quand même dingue! Compatir un minimum ?... Mais les autres femmes enceintes ne demandent pas à leur conjoint d’arrêter de boire l’apéro, de fumer ou de ne plus faire leur sport sous prétexte qu’elles sont enceintes. Votre problème semble être axé sur l’apparence physique et la jalousie. 1 - J'aime Eh bien je ne suis pas d’accord. Ca sera NOTRE enfant on le voulait ce bébé lui autant que moi et mon mari aime les femmes minces qui s’entretiennent qui prennent soin d’elles etc... il a du mal à comprendre comment certaines peuvent se laisse aller après avoir eu un enfant et que so on devient grosse c’est parce qu’on le veut bien! Super réaction! en revanche lui mise tout sur son paraître il sait qu’il plaît il aime avoir une corpulence musclée etc... et durant ces quelques mois j’aimerais qu’il fasse moins de sport, est ce vital est ce un drame s’il prend quelques kilos ou n’est plus autant musclé? Les filles le regarderont moins sur la plage c’est ça le problème? Surtout que personnellement ça ne me gêne pas j’aime les hommes bien en chaire. Jaimerais de la compassion... déjà qu’à mon boulot ça va être mal perçu car j’ai pris un nouveau poste il y a quelques mois... je vais pas évoluer d’ici de bonnes longues années... je vais grossir, changer mais pour la bonne cause certe mais on est 2 dans l’histoire! J’en ai marre de ce monde de misogyne ou on doit tout sacrifier parce qu’on est des femmes! Et les femmes acceptent cette injustice... J'aime En réponse à aissam_972475 Eh bien je ne suis pas d’accord. Ca sera NOTRE enfant on le voulait ce bébé lui autant que moi et mon mari aime les femmes minces qui s’entretiennent qui prennent soin d’elles etc... il a du mal à comprendre comment certaines peuvent se laisse aller après avoir eu un enfant et que so on devient grosse c’est parce qu’on le veut bien! Super réaction! en revanche lui mise tout sur son paraître il sait qu’il plaît il aime avoir une corpulence musclée etc... et durant ces quelques mois j’aimerais qu’il fasse moins de sport, est ce vital est ce un drame s’il prend quelques kilos ou n’est plus autant musclé? Les filles le regarderont moins sur la plage c’est ça le problème? Surtout que personnellement ça ne me gêne pas j’aime les hommes bien en chaire. Jaimerais de la compassion... déjà qu’à mon boulot ça va être mal perçu car j’ai pris un nouveau poste il y a quelques mois... je vais pas évoluer d’ici de bonnes longues années... je vais grossir, changer mais pour la bonne cause certe mais on est 2 dans l’histoire! J’en ai marre de ce monde de misogyne ou on doit tout sacrifier parce qu’on est des femmes! Et les femmes acceptent cette injustice... Sérieux... enceinte, on devient toutes un peu égocentrée, mais la... tu fracasses des records Monde mysogyne injuste car se sont les femmes qui donnent la vie... Perso, à ce stade, je consulterais en urgence... 1 - J'aime En réponse à aissam_972475 Eh bien je ne suis pas d’accord. Ca sera NOTRE enfant on le voulait ce bébé lui autant que moi et mon mari aime les femmes minces qui s’entretiennent qui prennent soin d’elles etc... il a du mal à comprendre comment certaines peuvent se laisse aller après avoir eu un enfant et que so on devient grosse c’est parce qu’on le veut bien! Super réaction! en revanche lui mise tout sur son paraître il sait qu’il plaît il aime avoir une corpulence musclée etc... et durant ces quelques mois j’aimerais qu’il fasse moins de sport, est ce vital est ce un drame s’il prend quelques kilos ou n’est plus autant musclé? Les filles le regarderont moins sur la plage c’est ça le problème? Surtout que personnellement ça ne me gêne pas j’aime les hommes bien en chaire. Jaimerais de la compassion... déjà qu’à mon boulot ça va être mal perçu car j’ai pris un nouveau poste il y a quelques mois... je vais pas évoluer d’ici de bonnes longues années... je vais grossir, changer mais pour la bonne cause certe mais on est 2 dans l’histoire! J’en ai marre de ce monde de misogyne ou on doit tout sacrifier parce qu’on est des femmes! Et les femmes acceptent cette injustice... PSY !!!! Et puis il y a l’inégalité des salaires, les règles, les tampaxs, les poils, le maquillage, etc... Donc, enceinte, j’aurais dû exiger de mon mari qu’il arrête le foot et les apéros sous pretexte que j’étais enceinte et par compassion ? Bon courage pour la suite et pour l’éducation. Vos vies manquent un peu de profondeur et de valeurs essentielles. 1 - J'aime Consulte en urgence tu es vraiment grave ... t a t il dit qu' il ne t aimerais plus si tu avais pris du poid pendant la grossesse? T à t il interdit se prendre du poid ? C est toi qui te met la pression et en plus tu te fais du mal la ... Je trouve ça limite et je suis désolé du terme pathétique à miser sur le paraître à ce point.... J'aime Et si votre bebe est grassouillet comme beaucoup de bebe au début tu va lui faire faire du sport et le mettre au régime? D ailleurs tu te nourris correctement au moins vu ton obsession du paraître? Se renseigner un minimum avant de faire un bebe c est bien aussi oui tu va sûrement prendre au minimum 9 kg ton ventre va ce tendre tes seins gonfler ....tu risques d avoir des vergetures c est la loterie de .... et tu ne peux rien ou presque rien contrôler ... Je me répète maos consulte un psychologue .... J'aime Vous ne trouvez pas votre réponse ? vous allez me dire que tous les hommes sont fidèles et acceptent le changement de corps de leur femme après la grossesse? Faux! Jai un travail qui me permet de rencontrer beaucoup de gens et tout type de personnes, ils me racontent pas mal leur vie et si vous saviez tout ce qu’il se passe pendant et après les grossesses vous la mettrez sûrement en sourdine! Beaucoup sont ravis de devenir père et aiment leur femme sauf que quand ils se rendent compte qu’elles changent quelles sont plus autant portées sur le cul pendant et après la grossesse que si que là eh ben ils vont voir ailleurs. Encore ce week-end je suis allée boire un verre avec mes amies on était 4 et sur les 4, 2 ont des pères qui ont été infidèles durant la grossesse de leur femme. Enfin un pendant et l’autre durant le retour de couche... et comment elles l’ont su? Eh ben tout simplement les mecs avaient des maîtresses et ils ont fait des gosses a ces femmes là et ce sont barrés après! Et idem des hommes qui sont portés sur le physique!Moi je m’en fou de grossir c’est comme ça c’est la vie c’est un passage obligatoire mais dans une société ou tout est accès sur le paraître ou même mon mari veut à tout pris ressembler à je ne sais quoi alors que je l’aimerais toujours autant s’il prenait du poids ou en perdait peu importe je l’aime comme il est ça m’énerve mais en réalité ce qui m’énerve c’est qu’il le prenne si mal alors qu’on ne se dispute pas souvent et que les petites disputes durent vraiment pas longtemps d’ chose, sans vouloir rentrer dans les détails, mon mari m’a trompé au début de notre relation, il a revu son ex plusieurs fois et l’avait meme fait avorter avant qu’on se mette ensemble, car ça n’allait plus entre eux mais ils voulaient tous les 2 ce bébé a la base...bref il m’a pas mal menti car il parlait sexe avec plein de filles ou plutôt des ex qui n’habitaient pas la région, via les réseaux sociaux il aimait beaucoup plaire se faire accoster et était toujours à échanger des photos sexy etc... et un jour je m’en suis aperçue j’ai mis le haut là et je lui ai posé un ultimatum, soit il arrête immédiatement tout ça soit il dégage! Il a décidé de tout arrêté s’est rangé, j’ai mis un peu de temps a avoir confiance mais avec le temps ça c’est arrangé... on s’est marié on s’entend bien on est heureux mais j’ai l’impression qu’il cherche a plaire et j’ai du mal à l’accepter... surtout que je ne suis pas à mon peur que ce changement dans notre vie le fasse changer J'aime En réponse à aissam_972475 vous allez me dire que tous les hommes sont fidèles et acceptent le changement de corps de leur femme après la grossesse? Faux! Jai un travail qui me permet de rencontrer beaucoup de gens et tout type de personnes, ils me racontent pas mal leur vie et si vous saviez tout ce qu’il se passe pendant et après les grossesses vous la mettrez sûrement en sourdine! Beaucoup sont ravis de devenir père et aiment leur femme sauf que quand ils se rendent compte qu’elles changent quelles sont plus autant portées sur le cul pendant et après la grossesse que si que là eh ben ils vont voir ailleurs. Encore ce week-end je suis allée boire un verre avec mes amies on était 4 et sur les 4, 2 ont des pères qui ont été infidèles durant la grossesse de leur femme. Enfin un pendant et l’autre durant le retour de couche... et comment elles l’ont su? Eh ben tout simplement les mecs avaient des maîtresses et ils ont fait des gosses a ces femmes là et ce sont barrés après! Et idem des hommes qui sont portés sur le physique!Moi je m’en fou de grossir c’est comme ça c’est la vie c’est un passage obligatoire mais dans une société ou tout est accès sur le paraître ou même mon mari veut à tout pris ressembler à je ne sais quoi alors que je l’aimerais toujours autant s’il prenait du poids ou en perdait peu importe je l’aime comme il est ça m’énerve mais en réalité ce qui m’énerve c’est qu’il le prenne si mal alors qu’on ne se dispute pas souvent et que les petites disputes durent vraiment pas longtemps d’ chose, sans vouloir rentrer dans les détails, mon mari m’a trompé au début de notre relation, il a revu son ex plusieurs fois et l’avait meme fait avorter avant qu’on se mette ensemble, car ça n’allait plus entre eux mais ils voulaient tous les 2 ce bébé a la base...bref il m’a pas mal menti car il parlait sexe avec plein de filles ou plutôt des ex qui n’habitaient pas la région, via les réseaux sociaux il aimait beaucoup plaire se faire accoster et était toujours à échanger des photos sexy etc... et un jour je m’en suis aperçue j’ai mis le haut là et je lui ai posé un ultimatum, soit il arrête immédiatement tout ça soit il dégage! Il a décidé de tout arrêté s’est rangé, j’ai mis un peu de temps a avoir confiance mais avec le temps ça c’est arrangé... on s’est marié on s’entend bien on est heureux mais j’ai l’impression qu’il cherche a plaire et j’ai du mal à l’accepter... surtout que je ne suis pas à mon peur que ce changement dans notre vie le fasse changer Encore une fois pourquoi avoir fait un enfant si tu n’est pas sûr de ton couple et si tu na pas confiance en ton homme ?? 1 - J'aime En réponse à lunalunaire Encore une fois pourquoi avoir fait un enfant si tu n’est pas sûr de ton couple et si tu na pas confiance en ton homme ??+1 pourquoi te marier et faire un enfant? de ce que tu dis que quoi qu' on te dise tu ne changera pas d avis ... J'aime En réponse à shadowleyla Sérieux... enceinte, on devient toutes un peu égocentrée, mais la... tu fracasses des records Monde mysogyne injuste car se sont les femmes qui donnent la vie... Perso, à ce stade, je consulterais en urgence...Heu, je suis la première à souligner le sexisme de certains propos écris sur ce forum, mais là je ne comprend absolument pas le pont que tu personne qui tombe enceinte en subi également les désagréments, tu le savais p-e mais tu ne te rends compte que aussi que dans son comportement ton homme est moins tendre, moins à ton écoute ?En tt cas tu as un sérieux travail à faire sur toi, car ce n' est pas normal de se détester à ce point et de rediriger sa morgue sur les autres. Ce serait dommage pour toi de continuer à découvrir la maternité avec ces sentiments... J'aime J'ai l'impression que votre grossesse ne fait en fait que mettre au grand jour ce que vous et votre mari avez enfoui sous un joli mouchoir son comportement irresponsable avec son ex, son infidélité qui semble plus ou moins toujours d'actualité... , le fait que vous croyez qu'une majorité des hommes agissent de même... En fait, tout était superficiel, caché derrière les apparences d'un beau couple sportif... Alors que les questions de fond, fondamentales et piliers de la pérennité de votre couplé n'avaient en réalité jamais vraiment été abordées et surtout résolues... 1 - J'aime En réponse à joad_3444708 Heu, je suis la première à souligner le sexisme de certains propos écris sur ce forum, mais là je ne comprend absolument pas le pont que tu personne qui tombe enceinte en subi également les désagréments, tu le savais p-e mais tu ne te rends compte que aussi que dans son comportement ton homme est moins tendre, moins à ton écoute ?En tt cas tu as un sérieux travail à faire sur toi, car ce n' est pas normal de se détester à ce point et de rediriger sa morgue sur les autres. Ce serait dommage pour toi de continuer à découvrir la maternité avec ces sentiments...C’est sur que lui ne parle pas beaucoup du bébé en même temps on attend que les 3 mois soient passés pour être bien sûr parce que j’ai eu pas mal de complications qui m’ont conduit à des arrêts maladies... mais j essaie quand même de positiver et je regarde les prénoms, les chambres etc... je ne me projete pas encore c’est troo tôt mais j’y pense tout le temps et m’y sa vie c’est son sport ces jeux sur son téléphone la tv le soir et son boulot. il ne regarde jamais quoi que ce soit sur son internet qui concerne notre futur bébé. Quand je lui en parle il me dit qu’il a peur que ça ne tienne pas, c’est vrai qu’on a peur que je fasse une fausse couche surtout que les urgences m’ont dit que j’en avais fait une à 4 semaines alors que c’était faux. Ceci dit jai quand même envie de vivre cette grossesse même si j’ai un risque. Je parle à mon bébé ça peut paraître bête parce qu’il est tout petit à ce stade mais je l’aime deja et je n’ai pas peur du changement j’ai peur de la réduction de mon mari quand je vais changer et je ne comprends pas pourquoi il cherche autant à être si bien physiquement alors que ce n’est pas le moment de penser à ça et que ce n’est surtout pas important! J'aime Encore une fois, dans un couple mature et équilibré, le physique et ses variations provisoires en cas de grossesse qui plus est ne devrait absolument pas être un sujet d'inquiétude... Y'a un réel problème de fond là . Il a parfaitement le droit de continuer à vivre sa vie. Les hommes, qui plu est, ont leur manière bien à eux de gérer la grossesse de leur femmes, et ça passe assez fréquemment par une sorte d'indifférence /régression, c'est comme ça... Si vous n'avez pas confiance en lui, cela date de bien avant votre grossesse, j'en suis persuadée. C'est juste dommage de l'exprimer seulement maintenant que vous êtes enceinte. Ces questions de fond auraient dû être discutées il y a bien longtemps entre vous deux. J'aime En réponse à aissam_972475 C’est sur que lui ne parle pas beaucoup du bébé en même temps on attend que les 3 mois soient passés pour être bien sûr parce que j’ai eu pas mal de complications qui m’ont conduit à des arrêts maladies... mais j essaie quand même de positiver et je regarde les prénoms, les chambres etc... je ne me projete pas encore c’est troo tôt mais j’y pense tout le temps et m’y sa vie c’est son sport ces jeux sur son téléphone la tv le soir et son boulot. il ne regarde jamais quoi que ce soit sur son internet qui concerne notre futur bébé. Quand je lui en parle il me dit qu’il a peur que ça ne tienne pas, c’est vrai qu’on a peur que je fasse une fausse couche surtout que les urgences m’ont dit que j’en avais fait une à 4 semaines alors que c’était faux. Ceci dit jai quand même envie de vivre cette grossesse même si j’ai un risque. Je parle à mon bébé ça peut paraître bête parce qu’il est tout petit à ce stade mais je l’aime deja et je n’ai pas peur du changement j’ai peur de la réduction de mon mari quand je vais changer et je ne comprends pas pourquoi il cherche autant à être si bien physiquement alors que ce n’est pas le moment de penser à ça et que ce n’est surtout pas important! Je ne comprends pas trop bien ta choisis consciemment de fonder ton couple et ta famille lire contrat a vie avec un mec superficiel, amoureux de l'aspect extérieur et adultère.Ensuite, tu viens lui reprocher d'être ce qu'il est et ce qu'il a toujours été, car ca ne correspond plus a ce que toi tu voudrais. Mais personne ne t'a cassé un bras pour rester avec lui et en plus, lui faire un enfant, je maintenant, c'est la société mysogine qui est responsable du fait que tu as signé un contrat a vie avec ce que tu décris presque être comme un peut-être que tu penses a assumer TES choix, plutot que de remettre les responsabilités sur tous les autres sauf toi. TU a fait un choix, des choix. Il est temps de maturer et de les assumer. 1 - J'aime bon, alors, je vais juste me prononcer sur le post initial car effectivement, il y a visiblement des problèmes bien plus graves que le fait qu'il ne veuille pas arrêter le sport...Je trouve votre réaction très puerile en fait. Bien sûr que son corps à lui ne va pas changer...mais il n'aura jamais non plus le bonheur de sentir les coups de l'intérieur, la joie de porter un enfant...la grossesse ne comporte pas que des inconvénients quand même ! qu'est ce que vous allez faire à l'accouchement ? Lui coller une beigne chaque fois que vous avez une contraction ? J'aime Bon ... Je rejoins tous le monde qui vous parle avec diplomatie et psychologie, moi je vais le dire franchement vous êtes chiante pour être polie ! Franchement je crois surtout que votre couple ne tiendra pas, vous vous êtes fait des films, rassurez comme vous pouvez et vous avez fait une erreur de faire un enfant avec cet homme l'enfant n'est pas une erreur, c'est vôtre choix d'en faiee un avec lui qui est une erreur. Déjà un homme ne se rends compte réellement qu'il va avoor un enfant que quand l'enfant est dans ses bras, ce qui ce passe avant est abstrait pour eux parce qu'ils n'ont pas de changements physique, hormonale, alors que nois femmes le changement se produit tout de suite. D'ou le sentiment de beaucoup de femmes que le papa ne s'investit pas assez. Et je rejoins... allez consulter un psy en urgences ! J'aime En réponse à cayo270604 bon, alors, je vais juste me prononcer sur le post initial car effectivement, il y a visiblement des problèmes bien plus graves que le fait qu'il ne veuille pas arrêter le sport...Je trouve votre réaction très puerile en fait. Bien sûr que son corps à lui ne va pas changer...mais il n'aura jamais non plus le bonheur de sentir les coups de l'intérieur, la joie de porter un enfant...la grossesse ne comporte pas que des inconvénients quand même ! qu'est ce que vous allez faire à l'accouchement ? Lui coller une beigne chaque fois que vous avez une contraction ? LOLOLOLLui coller une beigne chaque fois que vous avez une contraction ? !!Tu m'as tuée ! LOL 2 - J'aime En réponse à shadowleyla LOLOLOLLui coller une beigne chaque fois que vous avez une contraction ? !!Tu m'as tuée ! LOLLe probleme dans cette histoire c que t a peur qu il te trompe. Si tu continu a etre chiente et lui prendre la tete pour des connerie c est sur qu il va te passage commence a savourer ta grossesse sa dur que 9 mois apres ce serai dommage que tu les passe a deprimer J'aime
Nousne voulions pas subir cette nouvelle vie, mais en profiter. Mon mari a des horaires très variables et j’ai donc choisi de travailler à la maison en lançant mon entreprise. Je fais donc partie des nombreuses “mumpreneuses” qui organisent leur planning en fonction de leur vie de famille. Aujourd’hui, nous avons notre routine quotidienne et tout se passe bien on
J’ai comme un souci, si l’on peut nommer cela ainsi. Je suis à la fin de mon premier trimestre de grossesse et je ne me sens toujours pas enceinte. Certes, j’ai vécu et pas forcément bien les désagréments du début de grossesse qui m’ont bien rappelé mon état… mais c’est étrange… je n’ai pas l’impression d’héberger notre futur bébé, même si je l’ai vu à l’échographie. Quand j’ai projeté ce deuxième enfant, j’imaginais vivre une grossesse plus sereine. Pour Petit Girafon j’avais détesté être enceinte, même si j’avais eu une grossesse relativement calme. Pour celle-ci, je me disais que sachant ce que c’est la grossesse, je ferais tout pour la vivre mieux. Malgré les horribles nausées, mon incapacité à m’alimenter tellement les dégoûts étaient importants… je savais que cela passerait. Je me répétais que ça irait, que ça n’était que la mauvaise passe de ce premier trimestre. J’envisageais une grossesse la moins médicale » possible. J’ai choisi un suivi sage-femme pour éviter de voir les médecins. J’ai choisi de nouveau la maternité où j’ai accouché pour Petit Girafon car ils accompagnent le souhait d’un accouchement physiologique, car ils encouragent l’allaitement. Je voulais me ménager du temps pour moi, pour me reposer, pour me ressourcer. J’étais optimiste et heureuse à l’idée de vivre une grossesse d’été, avec le soleil! Bref, je voulais vraiment vivre cette grossesse avec sérénité. C’était sans compter sur ce diabète gestationnel qu’on m’a diagnostiqué à cause d’un taux 0,01 au-dessus de la norme. Sans compter sur le régime alimentaire auquel je dois me restreindre. Certes, il n’est pas trop strict, mais laisse peu de place à l’imprévu et à la gourmandise… très peu de place… Et sans compter sur la dictature de ces chiffres qui s’affichent sur mon dextro… Mes taux sont bons, même très bons, mais je dois m’astreindre à ce contrôle… 6 fois par jour me piquer le bout du doigt… Alors on me dit que c’est pas si contraignant, que ça va aller, que je vais m’y faire, qu’il y a pire, que je dois penser au bébé avant tout… Certes. Mais pour l’instant je le vis très mal. Je ne suis pas quelqu’un qui fait des excès répétés dans l’alimentation, mais j’aime ne pas me prendre la tête. J’ai mis des années à me sortir de mes troubles alimentaires… des années à cesser d’être obnubilée par le contrôle de ce que je mangeais… Et je sens bien que je marche encore sur un fil fragile… Alors cette situation me pèse. Mais je dois faire avec, et surtout ne pas trop m’en plaindre… J’ai le sentiment que ça paraît indécent de se plaindre de sa grossesse, donc je garde ça pour moi et j’essaie de garder le cap. Mais voilà … Ca peut sembler dérisoire tout ça. Ca l’est sûrement. Cependant, moi, ça ne m’aide pas à me sentir enceinte… Pour l’instant la seule chose que je vis, c’est ma fatigue et le contrôle que je dois exercer sur mon corps par mon alimentation. Je n’ai pas de ventre… J’ai perdu 5kg… je suis encore plus plate qu’avant ma grossesse… Il est encore trop tôt pour que je sente ce petit être bouger en moi… C’est peut-être un genre de déni après tout? Mais un déni tout en sachant que je suis enceinte… Et pourtant c’est dire si on le voulait ce deuxième bébé et d’ailleurs on le veut toujours ^^… Et je suis vraiment heureuse à l’idée d’agrandir la famille. Mais je ne sais pas… Pour l’instant, je ne parviens pas à me sentir enceinte. Je le sais. Sans le ressentir. C’est assez étrange. C’est aussi assez culpabilisant. On nous montre tellement partout l’image de la future maman épanouie, heureuse, qui ne doit surtout pas se plaindre car c’est la plus belle chose de la vie… J’en finis par me demander si je n’ai pas vraiment un souci. Et ce qui est assez difficile au final, c’est que si l’on éprouve le besoin de parler de nos états d’âmes, de ce fait de ne pas aimer être enceinte, de mal vivre ceci ou cela… on trouve très peu d’empathie en face de nous. C’est déconcertant et encore une fois très culpabilisant. Je n’ai pas écrit cet article pour me plaindre, mais parce que j’avais besoin de partager ce sentiment étrange qui m’habite, cette incapacité à me sentir enceinte alors que ce bébé est tellement désiré. Je me dis que je ne suis peut-être pas la seule à vivre mal ma grossesse, à avoir du mal à l’investir… que je ne suis peut-être pas la seule à me sentir justement seule face à ça. À propos Articles récents Maman multi-casquettes, un brin écolo et pratiquant l'instruction en famille. Résolument optimiste, j'espère vous transmettre ma bonne humeur et ma douceur! Pour en savoir plus sur moi c'est par ici !
Ilne voit pas pourquoi je n'entame pas un vrai régime. Je lui ai expliqué en quoi ça consistait mais il ne Je lui ai expliqué en quoi ça consistait mais il ne Mon mari ne comprend pas | Linecoaching 1 | 12/07/2011 - 16:44
Enceinte et fatiguée on se repose !Fréquente en début de grossesse, la fatigue est notamment due à l'augmentation du taux de progestérone ainsi qu'à la formation du placenta et des fonctions vitales de l'embryon. L'envie de dormir est ainsi complètement normale. La solution on essaye de dormir au moins huit heures par nuit pas d'excuse si on n'a pas encore d'enfants et si on en ressent le besoin, et qu'on n'est pas en réunion ! on fait une sieste. Lorsqu'on est assise, on n'hésite pas à surélever ses jambes afin de se détendre et de faciliter la circulation du alimentation équilibrée contre la fatigue de la grossesseUne alimentation saine et régulière vous aidera à lutter contre la fatigue. Enceinte, on doit augmenter son apport calorique de 25 %. On aura ainsi besoin de 2 000 calories en début de grossesse et d'environ 2 500 calories dès le 6e mois. On fait attention aux carences. On mise donc sur les aliments riches en fer tels que la viande rouge, le poisson, les lentilles... De même, nous et notre bébé auront besoin tous les deux de calcium. On mise sur les amandes avec leur peau et les produits laitier à chaque repas. On consomme aussi des fruits et des légumes bio de préférence car ils sont riches en fibres et en vitamines. Quant aux aliments riches en folates ou vitamine B9 – ils fixent le fer dans l'organisme et diminuent le risque de malformation du tube neural chez l'embryon – comme les épinards, la viande, les noix, ils ne doivent pas être négligés. En effet, quand on est enceinte, on en a besoin deux fois plus au premier trimestre 400 microgrammes par jour, du fait de l'augmentation cellulaire. Au final, la règle à respecter est de manger de tout les lipides, qui fournissent de l'énergie et des acides gras, qui sont présents dans les huiles, beurre, fromage...; les protéines pour les muscles, végétales ou animales, dans les œufs, le poisson et la viande notamment ; et les glucides, indispensables à l'organisme et au bon développement de bébé, sont présents dans le pain, les pâtes, les pommes de terre, le riz… Et on boit de l'eau souvent, car durant la grossesse, nos reins travaillent plus que d'habitude ! Enceinte et fatiguée on ne saute plus aucun repasLe fœtus absorbe toutes nos vitamines et nos minéraux, donc pour pallier ce manque, on prends bien trois repas par jour, c'est-à -dire le matin, le midi et le soir. On évite notamment de faire l'impasse sur le petit-déjeuner. On ajoute ces repas deux "en-cas " un dans la matinée et un dans l'après-midi, toujours pour faire le plein de vitamines. Se nourrir régulièrement permet aussi de moins remplir son estomac d'un coup. Au final, on évite les remontées acides et les et fatiguée on fait du sport !Si on n'a jamais fait de sport depuis le lycée !, c'est le moment de s'y mettre et peut-être d'y prendrez-vous goût... Le sport est conseillé aux femmes enceintes notamment pour limiter les problèmes circulatoires. Mais quels exercices physiques sont préconisés ? La marche, tout d'abord. Pour s'oxygéner, on fait une promenade d'au moins trente minutes trois fois par semaine. La natation est aussi un exercice physique recommandé durant la grossesse, car en se sentant plus légère, on se détend plus facilement. Dans le même esprit, on peut pratiquer l'aquagym. On n'hésite pas à consulter sa sage-femme ou son médecin si on se pose des questions à propos d'un sport. A noter toutefois que les sports collectifs et ceux qui comportent un risque de chute équitation, vélo... sont fortement déconseillés.
LSSpavv. tu7d6ow1vu.pages.dev/328tu7d6ow1vu.pages.dev/47tu7d6ow1vu.pages.dev/68tu7d6ow1vu.pages.dev/257tu7d6ow1vu.pages.dev/228tu7d6ow1vu.pages.dev/295tu7d6ow1vu.pages.dev/90tu7d6ow1vu.pages.dev/172tu7d6ow1vu.pages.dev/37
mon mari ne comprend pas ma fatigue grossesse